dimanche 25 janvier 2009

Les mots d'un thésard français à Zürich

"et comme il y a de l'argent plus qu'ailleurs ils vont chercher ailleurs : 98% des thésards à Zurich sont non-suisses et il y a peu de chercheurs qui viennent de la confédération. C'est devenu à un tel point que seul l'anglais est parlé et que les cours se font aussi dans la langue de Sheakspeare ! Mais imaginons si on appliquait les mêmes recettes partout en se contentant de payer (assez cher d'ailleurs) les éléments formés ailleurs? Il finirait par n'y avoir plus « d'ailleurs » et là on serait vraiment arrivé à bout."

http://antithese.canalblog.com/

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