Voici un extrait de celle d'aujourd'hui (je prends des risques ! je n'ai pas de carte de journaliste ...)
"« L’Ordre des médecins de Paris sur la sellette »
Le Parisien
Le Parisien fait savoir que « l’Inspection générale des affaires
sociales mène une enquête au siège du Conseil [de l’Ordre des
médecins de Paris]. Dans le collimateur : des indemnités et des
parachutes dorés offerts à certains conseillers, en théorie
bénévoles ».
Le quotidien relève ainsi : « Bilans financiers, appels d’offres,
bulletins de vote…
Depuis jeudi, les enquêteurs de l’Igas épluchent tous les
documents de cette maison
à l’ambiance feutrée. […] L’Igas restera dans les murs
jusqu’à la fin juin ».
Le journal observe que « depuis plusieurs semaines,
le gendarme de la profession est
au coeur d’une violente polémique. Non seulement
une dizaine de conseillers
parisiens contestent, pour la quatrième fois en 1 an,
l’élection du président,
Didier Rougemont, mais ils demandent aussi,
avec d’autres élus de province, que la
lumière soit faite sur la gestion de cette institution ».
Le Parisien revient ainsi sur « l’existence de juteuses
primes allouées aux élus, en
toute opacité ».
« Des «indemnités de perte de ressources»,
tout d’abord », alors que « les
conseillers sont bénévoles » et « continuent
d’exercer », poursuit le quotidien.
Le Parisien note que « le président émarge à
85 000 euros par an, le secrétaire
général à 84 000 euros, le trésorier à 45 000
euros… ».
Le journal constate par ailleurs qu’« à l’image
de ce que font les grands patrons du
privé, les élus parisiens s’offrent désormais
des parachutes dorés (3 à 6 mois
d’indemnités environ) lorsque leur mandat
arrive à échéance : en 2006, 42 000 euros
ont ainsi été versés à un ancien président.
Pis, en 2004, un médecin a touché 40 000
euros… avant de redevenir trésorier en 2006 ! ».
Le Parisien ajoute que « la liste des dérives
est longue : une «carte bleue maison»
qui n’apparaît pas dans les comptes […],
d’importants travaux réalisés sans appels
d’offres… ».
Le quotidien constate que certains
conseillers « ont fait part, par écrit, de leur
«écoeurement» » au Conseil national
de l’Ordre.
« Aujourd’hui, tous se réjouissent de
la «descente» en cours de l’Igas », conclut Le
Parisien.
Revue de presse rédigée par Laurent Frichet"
Et dire que certains considérent que Frémont exagére
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