lundi 23 avril 2007

Revue de presse Mediscoop

Je la reçois chaque jour. Ca vaut le coup !
Voici un extrait de celle d'aujourd'hui (je prends des risques ! je n'ai pas de carte de journaliste ...)

 L’Ordre des médecins de Paris sur la sellette »
Le Parisien
Le Parisien fait savoir que « l’Inspection générale des affaires
sociales mène une enquête au siège du Conseil [de l’Ordre des
médecins de Paris]. Dans le collimateur : des indemnités et des
parachutes dorés offerts à certains conseillers, en théorie
bénévoles ».

Le quotidien relève ainsi : « Bilans financiers, appels d’offres,
bulletins de vote…

Depuis jeudi, les enquêteurs de l’Igas épluchent tous les
documents de cette maison

à l’ambiance feutrée. […] L’Igas restera dans les murs
jusqu’à la fin juin ».


Le journal observe que « depuis plusieurs semaines,
le gendarme de la profession est

au coeur d’une violente polémique. Non seulement
une dizaine de conseillers

parisiens contestent, pour la quatrième fois en 1 an,
l’élection du président,

Didier Rougemont, mais ils demandent aussi,
avec d’autres élus de province, que la

lumière soit faite sur la gestion de cette institution ».

Le Parisien revient ainsi sur « l’existence de juteuses
primes allouées aux élus, en

toute opacité ».

« Des «indemnités de perte de ressources»,
tout d’abord », alors que « les

conseillers sont bénévoles » et « continuent
d’exercer », poursuit le quotidien.


Le Parisien note que « le président émarge à
85 000 euros par an, le secrétaire

général à 84 000 euros, le trésorier à 45 000
euros… ».


Le journal constate par ailleurs qu’« à l’image
de ce que font les grands patrons du

privé, les élus parisiens s’offrent désormais
des parachutes dorés (3 à 6 mois

d’indemnités environ) lorsque leur mandat
arrive à échéance : en 2006, 42 000 euros

ont ainsi été versés à un ancien président.
Pis, en 2004, un médecin a touché 40 000

euros… avant de redevenir trésorier en 2006 ! ».

Le Parisien ajoute que « la liste des dérives
est longue : une «carte bleue maison»

qui n’apparaît pas dans les comptes […],
d’importants travaux réalisés sans appels

d’offres… ».

Le quotidien constate que certains
conseillers « ont fait part, par écrit, de leur

«écoeurement» » au Conseil national
de l’Ordre.


« Aujourd’hui, tous se réjouissent de
la «descente» en cours de l’Igas », conclut Le

Parisien.

Revue de presse rédigée par Laurent Frichet"

Et dire que certains considérent que Frémont exagére

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