- Georges Guingouin, "préfet du maquis", paria du PC http://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Guingouin
- Les maquis du Limousin
http://fr.wikipedia.org/wiki/Maquis_du_Limousin - résistance dans le nord de la Dordogne http://francisfoxonet.free.fr/Resistance/Barney4.htm
Sur la Toile, nous avons trouvé très peu de textes relatifs à la résistance dans la région de St-Yrieix (Haute-Vienne/Dordogne).
Il y a des livres :
- Pont Lasveyras de Miche Maureau ches Fanlac
- La brigade RAC AS Dordogne Nord. Capitaine Fred. Imp. Fabregue (St-Yrieix, 87), 1977
Le capitaine Fred est Dutheillet de la Mothe" Le 16 février 1944, à l'aube, trois colonnes allemandes convergent vers le Moulin de la forge de Pissac sur l'Auvézère, en amont du Pont Lasveyras près de Payzac. Leur but ? Anéantir un groupe de maquisards qui s'y est installé pour l'hiver.
Le Pont Lasveyras pose tant de questions, soulève encore tant de passions, est porteur de tant de ferveur, recèle tant de mystères que l'on ne peut se satisfaire de cette lapidaire information.
C'est tout un pan de la Résistance qui défile sous nos yeux. Depuis 1975, date de son premier entretien avec le commandant Violette, chef du mouvement de résistance AS de Dordogne-Nord, Michel Maureau a rencontré plus de cinquante témoins et acteurs. Il nous livre leurs récits. Des archives jusque là inédites nous sont révélées. Nous frémissons devant la froide énumération des cercueils des victimes, nous marchons dans les pas des brigades de gendarmerie de Corrèze et de Dordogne, nous sommes surpris par l'intensité des rivalités AS - FTP.
Le lecteur a entre les mains les pièces du dossier, avec des témoignages contradictoires, mais tous authentiques. Cette dramatique journée du 16 février 1944 est ainsi restituée, sans jamais quitter l'histoire de la Résistance, celle des maquisards avec leurs joies, leurs doutes et leurs souffrances. "
Extrait de http://www.fanlac.com/nouveaut.htm
L'affaire Philomène :
"la passion mortelle de sœur Philomène.
Nous sommes en 1943, à Périgueux. Toute la France est occupée. La répression contre les maquis s’intensifie, les dénonciations se multiplient aussi. Les passions se vivent en accéléré, les tabous sont transgressés et déjà, avant la Libération, "la guerre des deux France" n’est souvent qu’un prétexte pour assouvir jalousies et règlements de comptes.
Sœur Philomène alors âgée de quarante quatre ans est une religieuse de l’hôpital de Thiviers, entre Périgueux et Limoges. Sœur Philomène à un secret : elle aime l’aumônier du maquis et elle n’a pas supporté que celui-ci la quitte pour l’infirmière attachée à la Résistance ! C’est donc par dépit amoureux qu’elle décidera de se venger en dénonçant anonymement à la Gestapo une dizaine de membres de l’Armée Sécrète (AS) la branche armée de la résistance non communiste, dont elle avait recueillis les noms pendant sa liaison sulfureuse...
Sa dénonciation aurait pu devenir l’une des trahisons les plus terrifiantes de l’histoire de la seconde Guerre Mondiale... Elle fut habilement déjouée par les résistants mais son issue tragique, le jugement et l’exécution de la religieuse par les maquisards sur le lieux d’une de leurs caches, le Moulin de la forge, à Pont Lasveyras, semble être à l’origine de la sanglante opération punitive menée par les Allemands quelques jours après. Le 16 février 1944 le massacre de Pont Lasveyras, fit 34 morts et treize prisonniers. Le plus lourd tribu que la résistance périgourdine n’ait eu à livrer jusque là. "
extrait de http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/vifdusujet/fiche.php?diffusion_id=41513
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