À droite, on demande la dissolution : victoire assurée et cohabitation qui mettra François II à genoux.
"Pas du tout", avancent quelques gourous du dit François II, "on dissout, la droite passe, elle se plante dans la crise pendant trois ans et on ramasse la mise en 2017".
Cependant que des rats quittant le navire présidentiel estiment le Président grillé pour 2017 et postulent déjà...
Mais, pour François II comme pour celui (ou celle) qui dirigera enfin le bateau ivre de la droite, un FN à 25 % est une bénédiction : "si je me retrouve face à Marine au seconde tour de 2017, tous les gogos démocrates seront obligés de voter pour moi, et vogue la galère"."
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