http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Ravissement_de_Britney_Spears
Je ne sais qui est B.S. Il me semble que c'est une chanteuse vue sur Gala chez mon coiffeur. Je vous en dirai plus quand j'aurai lu ce livre.
L'auteur si je ne me trompe a été en "résidence d'auteur" à Saint-Nazaire. Le frère de Dany qui fut enseignant au lycée expérimental de Saint-Nazaire a préfacé un de ses ouvrages. Ah un mao ! Étonnants intellectuels qui furent Mao. Et pourtant, l'histoire récente ! Je me souviens de la lecture des journaux diffusés par les Mao à la Cité U. Comment peut-on perdre tout esprit critique à ce point ! Et quel livre que ce Petit Livre Rouge (tiens, il me faut le retrouver derrière mes rangées de bouquins) ! Désolant ! Mais ils ont fait de belles carrières. Quand j'ai discuté avec des Chinois qui avaient vécu la "Révo Cult", j'ai repensé à notre Quartier Latin.
Et Jean Rolin écrit très bien si j'en juge les premières pages. Et la lecture de cette bio me fait envie d'en lire plus.
"Né le 14 juin 1949 à Boulogne-Billancourt, Jean Rolin, fils de médecin militaire, grandit en Bretagne et au Congo. De retour en France, en 1963, il suit des études au lycée Louis-le-Grand. Il milite à l’Union des Jeunesses Communistes Marxistes-Léninistes qui, après 1968, deviendra la Gauche Prolétarienne dont Olivier Rolin, son frère, dirigea la branche armée.
Grand reporter pour de nombreux journaux ; son écriture est toujours imprégnée d’ironie.
Son ouvrage La Ligne de front raconte son voyage en Afrique australe à l’époque de l’apartheid. Il a reçu le prix Albert-Londres en 1988. Son troisième roman, Cyrille et Méthode, paraît en 1994, en même temps que le douloureux récit autobiographique Joséphine.
Dans L’Organisation, couronné par le prix Médicis en 1996, Jean Rolin convoque ses souvenirs dans un groupe d’extrême gauche. Dans Terminal Frigo, on retrouve Saint-Nazaire où il milita pour la Gauche Prolétarienne en s’établissant dans les chantiers
En 2000, il est lauréat du prix Louis-Guilloux pour Campagnes, où il évoque le siège de Sarajevo et la guerre de l'ex-Yougoslavie.
L'Homme qui a vu l'ours, recueil d’articles écrits entre 1980 et 2005 (Libération, Lui, Le Figaro, Le Monde…) reçoit en 2006 le prix Ptolémée (17e Festival international de géographie de Saint-Dié-des-Vosges).
En 2013, dans Ormuz, il donne vie à un homme qui, en dépit d'un solide penchant pour l’alcool et la mythomanie, décide de traverser à la nage le détroit d’Ormuz."
Quelques biographies :
Critiques :
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