Et cette année, il flotte. Extra ! quand il fait beau, j'hésite. C'est que j'aurai toujours le temps de philosopher quand je serai grabataire.
http://www.philosophia.fr/accueil/
Le programme :
http://www.lelieuunique.com/actualite/les_rencontres_de_sophie2014.pdf
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Attention ! Pour l'abécédaire, la salle est bondée !
C'est gratuit.
« Libres ! » : n’est-ce pas là le premier mot d’ordre de l’homme moderne, jusqu’à l’ultime revendication de l’humanité contemporaine ? « Libres » à l’égard de tout commandement divin comme de tout déterminisme naturel, de tout fatalisme historique comme de toute servitude politique ! Aussi bien dans la vie matérielle collective (des prothèses techniques permettant à l’homme d’échapper aux limites de sa condition mortelle) que dans l’existence culturelle individuelle (le « développement personnel » rendant chacun « libre » de tout sentiment de mal-être comme de toute conscience de mal faire).
« Libres », réellement ? : la finitude de la condition humaine (biologique, sociologique, psychologique, politique, etc.) n’opposerait-elle pas un conditionnement radical à la prétention d’« être libre », plutôt que de simples obstacles que l’on pourrait surmonter, voire supprimer, à volonté ? « Être libre » est-ce un état statique, passivement hérité de la nature ou de la culture, ou bien plutôt le but d’une exigeante tâche personnelle et collective de libération, qui ne se peut mener sans quelque volonté de connaissance et vertu de patience ? Certains combats, des plus quotidiens aux plus historiques, et qui n’ont pas toujours les honneurs des feux de la rampe médiatique, n’en témoignent-ils pas avec courage ?
C’est à l’examen de ces questions que nous invitons le public, lors de conférences et débats, d’un abécédaire, d’un atelier philo enfants et de projections de films.
C'est gratuit.
« Libres ! » : n’est-ce pas là le premier mot d’ordre de l’homme moderne, jusqu’à l’ultime revendication de l’humanité contemporaine ? « Libres » à l’égard de tout commandement divin comme de tout déterminisme naturel, de tout fatalisme historique comme de toute servitude politique ! Aussi bien dans la vie matérielle collective (des prothèses techniques permettant à l’homme d’échapper aux limites de sa condition mortelle) que dans l’existence culturelle individuelle (le « développement personnel » rendant chacun « libre » de tout sentiment de mal-être comme de toute conscience de mal faire).
« Libres », réellement ? : la finitude de la condition humaine (biologique, sociologique, psychologique, politique, etc.) n’opposerait-elle pas un conditionnement radical à la prétention d’« être libre », plutôt que de simples obstacles que l’on pourrait surmonter, voire supprimer, à volonté ? « Être libre » est-ce un état statique, passivement hérité de la nature ou de la culture, ou bien plutôt le but d’une exigeante tâche personnelle et collective de libération, qui ne se peut mener sans quelque volonté de connaissance et vertu de patience ? Certains combats, des plus quotidiens aux plus historiques, et qui n’ont pas toujours les honneurs des feux de la rampe médiatique, n’en témoignent-ils pas avec courage ?
C’est à l’examen de ces questions que nous invitons le public, lors de conférences et débats, d’un abécédaire, d’un atelier philo enfants et de projections de films.
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