Toujours de mon correspondant sur la Toile :
Je vous traduis le début d’un article de la dernière livraison de
la NY Review of Books :
“Le Président Kissinger se plaignait du fait que personne
ne pouvait lui donner le N° de téléphone pour appeler l’Europe.
Aujourd'hui, le commissaire européen aux affaires étrangères, à Bruxelles,
a bel et bien un N° de téléphone. Si vous l’appelez, un répondeur
automatique vous demandera : “Pour l’Allemagne, faites le 1
; pour la France, faites le 2 ; pour l’Espagne, faites le 3, etc.”
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