Extrait de "Morale professionnelle de l'instituteur. Manuel d'instruction
à l'usage des Ecoles Normales", 1949 :
« L’institutrice suit la mode, ce qui signifie qu’elle se garde de la précéder [...]. On ne considère plus, comme attentatoire à la dignité pédagogique l’usage du fard et du parfum ; nous vivons même à une époque où l’absence de tout maquillage sur un visage féminin provoque une impression de gêne, un peu comme l’impudeur de la nudité ; et d’autre part, mieux vaut sentir le parfum que la sueur. Le tout est une affaire de mesure : il ne sied évidemment pas qu’une institutrice, même dans une grande ville, ait la figure peinte comme une actrice de scène, ni qu’elle laisse derrière elle un sillage persistant d’aromates. Elle fait à la coquetterie une part décente, mais ne gaspille pas son temps en séances trop fréquentes chez le coiffeur, et se montre capable d’avoir d’autres sujets de conversation que les chiffons et la beauté [...] »
En crise, la grande distribution est contrainte de réinventer son modèle
économique
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Il y a 4 heures
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