" La représentation de la connaissance est, par essence, déclarative : on imagine mal qu'un phénomène puisse être complètement décrit par une formule d'un langage, si riche soit-il. La connaissance sur le phénomène sera donc toujours représentée par lots, chacun d'eux étant codé par une formule du langage. Parmi ces parcelles de connaissance, certaines sont relatives à des faits élémentaires, à des événements susceptibles de se produire au sein du phénomène. On appelle donnée une formule du langage qui représente un tel fait ou événement. (...) Les formules représentant des connaissances autres que factuelles sont regroupées dans un ensemble appelé modèle. (...) Les ensembles de données (sont) parfois appelés bases de données ou bases de faits. Parce qu'elle est une formule de base du langage, une donnée est indivisible : aucune sous-formule valide n'en peut être extraite. Les connaissances factuelles codées par des données peuvent être des informations accessibles par la mesure ; on parlera alors de données initiales. Mais les données peuvent aussi représenter des inconnues logiques du problème, non nécessairement observables, et auxquelles la déduction permettra seule d'accéder. "
Gondran M., Héry J-F, Laleuf J-C,
Logique et modélisation, Modèles consistants, données compatibles,
Eyrolles, 1995
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