L'écotaxe, Ségolène Royale se fout royalement de nous !

http://decodeurs.blog.lemonde.fr/2013/11/11/ecotaxe-la-grande-amnesie-de-segolene-royal/#xtor=RSS-3208

Je suis étonné (hum ! ....) d'entendre si peu la "Grande distribution". Pourquoi les camions font autant de trajets des usines vers les Soupermarquettes, Hypermarquettes,.... ? Parce que ces derniers l'exigent. Ben oui, il n'y a pas de miracles ! comment Carrefour par exemple, est-il devenu banquier ? Ce que ne sont pas devenus les producteurs de lapins du Sud Loire, par exemple.

Monsieur Leclerc ne cause pas ces temps-ci. Allo Landerneau !

Et curieusement, on entend moins les écologistes patentés que pour défendre Léonarda et son papa.

Nous vivons le grand n'importe quoi. Ségolène est royale au Royaume du Grand N'Importe Quoi.

Désolant, autant que ces journées grises !

P.S.

Un article à lire :
http://www.mobilettre.com/ecotaxe-autopsie-du-fiasco/

extrait :

"Vice-président Economie et Insertion du Conseil général du Finistère, Michael Quernez enfonce le clou. « J’aimerais que les capitaines de la grande distribution nous expliquent clairement les effets induits par l’application de la loi de modernisation de l’économie (LME) de 2008 », explique-t-il. « Car les transporteurs ont été tenus d’augmenter leur rythme de livraison afin de faciliter la gestion des stocks de la grande distribution. Cette loi a généré une intensification des flux de transports ». Donc des dégâts en matière d’environnement et des coûts supplémentaires à venir du fait de l’écotaxe. La loi LME impose en effet des délais de paiement plus courts, ce qui oblige les hypermarchés à payer avant l’écoulement total du stock. La grande distribution demande donc aux producteurs de livrer uniquement les quantités qui seront écoulées dans le mois, quatre fois 10 tonnes au lieu d’une fois 40 tonnes par exemple. Ce qui occasionne des coûts de transit plus important (transport+dégroupement de commandes), mais aussi des commandes de dernière minute occasionnant des flux tendus dans l’ensemble des opérations de production, une contrainte particulièrement difficile à gérer pour ce qui concerne les animaux vivants."