Jeunes filles lors du Bon Festival (fête des morts en août)
"O-Bon est le temps durant lequel on se remémore et on remercie les ancêtres de leurs sacrifices. Du point de vue du calendrier, cette fête a lieu durant le mois des fantômes, la seule période où les morts peuvent retourner sur Terre. C'est une fête très populaire, même si de moins en moins de gens prennent le temps de retourner à leur village natal pour s'occuper des tombes de leur famille. Ces trois jours furent longtemps les seuls jours fériés de l'année avec le 15 janvier pour les cols bleus, et donc le seul moment de l'année où ceux-ci pouvaient revoir leur famille restée au village."
Je me souviens que le 15 août nous étions à Hiroshima et que nous avons campé dans une île en face. Et que nous nous sommes faits bouffer par les moustiques. Et que des crabes terrestres entraient dans notre tente.
Cette tente avait été avec un camping-gaz bleuet le cadeau reçu pour mon bac.
Dans une des familles visitées, nous avons connu Le Hatsubon (ou shin-bon, nii-bon) l'O-Bon qui suit l'année de la mort d'un proche.
Café La Fille, Débit de Tabac, francophilie au Japon
On aspire les nouilles !
Danses lors du Bon Festival (danse qui s'appelle Bon Odori)
voir
Ca buvait pas mal, bière et saké
L'auteur du blog bien entouré
A la vôtre !
Arrivée au cratère du Mont Fuji après une nuit passée au refuge.
Je me souviens que je n'avais que des nus-pieds au pieds.
Bon festival, festivaliers
Montée au Mont Fuji, c'est la queue. Peut-être qu'Edith Cresson, premier ministre de Mitterrand, avait vu cette photo, elle qui avait comparé les Japonais à des "fourmis jaunes" !
" Chaque année, le nombre de visiteurs gravissant le mont Fuji est estimé entre 100 000 et 200 000 personnes, dont 30 % d'étrangers."
Au Mont Fuji
Nous avons assisté au lever du soleil au milieu des cris Banzai.
Nous avions acheté des bâtons sur lesquels à différentes étapes on se faisait pyrograver des inscriptions en caractères chinois.
Passage près d'un tori
"Torii (鳥居 ) : portail sacré ayant la forme d'un grand portique. Peint en rouge, il servait à l'origine de perchoir au coq du village qui par son chant appelait Amaterasu. Il marque l’entrée dans un sanctuaire shinto : domaine d’un kami et la frontière entre le pur et l’impur."
Repas japonais chez un de nos hôtes. Nous voyagions avec Servas
Avec Jean-Jacques chez nos hôtes
Épis de maïs et sèches grillées
La marchande de papillons
voir :
Fûts de Saké, sans doute à Nara
"le saké est sacré et fait l'objet de prière comme de l'eau bénite"
Vendeur de poissons rouges
Les photos en couleurs sont des "polaroids". Les autres ont été développées par mes soins. J'ai fini par donner tout mon matériel. Pourtant le noir et blanc ce n'était pas mal ! et on appuyait moins souvent sur le déclencheur. Plus de temps pour regarder.
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