" Poitiers est ce qu'on appelle proprement une villace, qui, tant en maisons que terres labourables, peut avoir deux ou trois lieues de circuit; ville mal pavée: pleine d'écoliers, abondante en prêtres et en
moines. Il y a en récompense nombre de belles, et l'on y fait l'amour aussi volontiers qu'en lieu de la terre; c'est de la comtesse que je le sais. J'eus quelque regret de n'y point passer; vous en pourriez aisément deviner la cause.
Ce n'est ni la Pierre-Levée
Ni le rocher Passe-Lourdin;
Pour vous en dire ma pensée,
Je les ai laissés sans chagrin;
Et quant à cet autre cousin,
Mon âme en est fort consolée;
Mais je voudrais bien avoir vu
La Landru .
Toutefois, ayant le cœur tendre,
Je suis certain que Cupidon
N'eût jamais manqué de me prendre,
S'il m'eût tendu cet hameçon;
Et puis me voilà beau garçon,
Car au départ il se faut pendre:
Je serais fâché d'avoir vu
La Landru."
« Il faut que l’aide à mourir relève d’un juge et non de la décision des
médecins »
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La décision de mourir est une affaire de liberté et non un soin médical
parmi d’autres, rappellent, dans une tribune au « Monde », les philosophes
Jean Bau...
Il y a 15 heures
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