On nous a adressé un message : allez au TU ! Libé parle de la pièce qui passe actuellement au TU.
“Joachim Latarjet et sa complice Alexandra Fleisher se sont lancés voici quelques années dans une trilogie autour de la folie qui s’achève aujourd’hui en apothéose déjantée avec Hox. Le mot ne veut rien dire mais son timbre résume ce spectacle irracontable où l’obsession (des chiffres, d’une couleur, du bonheur) bat la mesure.Pas de pièce avec scènes, pas de décor bâti mais un dispositif : micros, instruments, grands écrans et aussi une table avec lampes de bureau qui, renversés, ressembleront aux phares de ces voitures roulant de nuit projetés sur l’écran derrière l’acteur.La maîtrise des paramètres et des techniques est devenue stupéfiante, au point que le syndrome de la prouesse est pratiquement absent de Hox. Et ce n’est pas la moindre des choses d’ajouter enfin que Hox est d’une constante drôlerie.”
Jean-Pierre Thibaudat – Libération
Alors finalement, c'était "in" de prendre chaque année un abonnement au TU !
Il s'agit effectivement d'un spectacle étonnant. Difficile de le raconter. Je suis loin d'avoir tout compris, d'avoir bien interprété. Mais les acteurs sont performants (tiens faudra lire Henriette sur ce mot) comme on dit dans les dîners en ville (c'est une expression que j'ai apprise en venant à Nantes de mon Limousin Périgord, mais qui pourrrait nous adresser un message sur ce "concept"). Nous n'avions jamais vu une telle utilisation de la vidéo. Mais il a été bien difficile de savoir ce que voulait nous faire comprendre l'auteur. Peut-être que c'était fait pour cela. Il est sûr qu'on n'est pas sorti "très bien" de ce spectacle. Les spectateurs ont hésité à la fin. Ils ne savaient pas si c'était la fin.
Il faut dire que la pièce se terminait par des propos à faire rougir un carabin. Là les acteurs étaient excellents. Quelques spectateurs osaient le rire, mais manifestement les propos étaient loin d'avoir le style de la chanson paillarde.
Il y a eu quelques courageux (ils avait tout compris) qui ont commencé à aplaudir.
Si un étudiant allait (enfin) au TU pour voir la pièce, j'aimerais en discuter. Je pense en effet que cette pièce est une pièce de la génération actuelle. Il faut qu'elle m'explique. "Homo sum et nihil a me alienum puto"
Conclusion : allez voir cette pièce.
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Il y a 3 heures
1 commentaire:
A noter que le TU possède un blog, sur lequel sont annoncés les spectacles, sont recueillies des chroniques proposés par les spectateurs (n'importe qui peut contribuer à enrichir le blog), etc.
L'adresse du blog est la suivante : http://blogtunantes.ovh.org/tu/
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