samedi 8 février 2020

Je me souviens des "avions renifleurs" du temps de Giscard

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L’affaire des Avions renifleurs est une affaire d'escroquerie qui a eu lieu entre 1975 et 1979 au détriment d’Elf Aquitaine, entreprise publique française à l'époque. Elle a débouché sur un scandale politico-financier en 1983. Il s’agit du financement très coûteux d’un appareil fantaisiste censé détecter les gisements de pétrole. Un dispositif étant embarqué à bord d'un avion, le simple survol d'une zone aurait suffi à localiser à coup sûr les gisements.
L’expression « avions renifleurs » a été lancée par Pierre Péan, journaliste à l’hebdomadaire satirique Le Canard enchaîné et qui reprend la formulation de son informateur principal, un haut fonctionnaire. Outre l'aspect cocasse de cette mystification et le montant des sommes engagées, c’est le fait que les noms de Valéry Giscard d'Estaing et Raymond Barre soient associés à cette affaire qui lui a donné un tel retentissement. L'ancien président de la République sera exonéré de toute responsabilité par la commission d'enquête parlementaire. "

Alors je n'ai pas écrit "les avions renifleurs de Giscard" !

"Elf est à l’époque une entreprise publique. Cela implique que les décisions importantes doivent avoir le consentement des représentants de l’État. D’autre part, l’invention pouvait également avoir des implications militaires importantes, notamment dans le domaine de la détection des sous-marins. Enfin, de nombreux membres actifs ou anciens du SDECE travaillaient au sein d'Elf. Ces trois facteurs expliquent pourquoi l’implication des pouvoirs publics est si importante dans cette affaire.

Ce sont ces particularités que vont exploiter les médiateurs. Jean Violet utilise ses connaissances dans les milieux politiques et des services de l’État pour persuader la direction d’Elf d’investir dans le développement de l’appareil. Avec l’aide d’Antoine Pinay, du dirigeant d’UBS, de ses contacts parmi les anciens fonctionnaires des services secrets recyclés chez Elf (dont Jean Tropel, responsable de la sécurité au sein de l’entreprise) et dans la hiérarchie catholique (notamment le révérend père Dubois, dominicain français), il persuade Pierre Guillaumat, président d’Elf à ce moment, de réaliser des expérimentations à travers l’ERAP (Entreprise de Recherches et d’Activités pétrolifères), filiale d’Elf Aquitaine qui vient de perdre ses concessions pétrolières algériennes et irakiennes.

La manipulation devient alors une véritable mystification. En effet, des expériences ont lieu avec un avion équipé de l’appareil des inventeurs au-dessus de sites déjà connus des ingénieurs d’Elf. L’appareil détecte tous les gisements car des sources internes à l’entreprise avaient fourni aux inventeurs les données nécessaires.

Les responsables politiques, dont le président de la République Valéry Giscard d'Estaing et le Premier ministre Raymond Barre, donnent leur agrément. Lors d'une opération au-dessus de la rade de Brest, l'invention bascule de simple secret industriel en secret militaire, l'appareil ayant prétendument signalé une présence d'uranium qui correspond au passage d'un sous-marin nucléaire. Certains responsables d'Elf émettent des doutes mais se résignent à poursuivre le projet, Aldo Bonassoli et Alain De Villegas menaçant de vendre leur appareil aux Américains ou aux Arabes "

"Jules Horowitz, physicien au Commissariat à l'énergie atomique désigné par le ministre de l’industrie André Giraud, dévoile l’escroquerie par une astuce très simple le . Les inventeurs ont l’habitude de démontrer l’efficacité de leur appareil en faisant apparaître sur l’écran un objet placé derrière un mur. Le professeur y dispose une règle. L’image de celle-ci apparaît effectivement, mais Jules Horowitz avait pris soin au préalable de la casser. Or elle apparaît droite sur l’écran. Cela prouve que l’image était une simple photo préalablement rentrée dans l’appareil, Bonassoli peignant lui-même les cartographies des supposés gisements puis les filmant et les incorporant à son appareil6. Le , l'association entre les inventeurs et Elf est dissoute, la compagnie pétrolière ne parvenant à récupérer que 500 millions de francs7. "






Ah Elf !
Je me souviens. J'étais en mission à Libreville au Gabon siège de l'IAI, l'Institut Africain d'Informatique qui recrutait parmi les pays africains francophones. J'enseignais le matin. L'après-midi je restait dans ma chambre à l'hôtel situé sur la route conduisant à l'aéroport. On m'a expliqué pourquoi.

Un jour il y a eu la visite d'Albin Chalendon. Des coopérants m'ont prévenu. Et ce qu'ils m'ont dit s'est passé.

La Toile me permet de préciser ma mémoire. Je trouve une photo d'Albin, avec cette légende   "Albin Chalandon, Pdg de ELF-AQUITAINE, en visite au Gabon le 26 février 1983. (Photo by Bernard CHARLON/Gamma-Rapho via Getty Images) "

Au Gabon, il y avait un Albert


Pour Omar Bongo
« L'Afrique sans la France, c'est la voiture sans le chauffeur. La France sans l'Afrique, c'est une voiture sans carburant19. "

Après la visite, j'ai pu voir à la télévision des gens de la présidence annonçant le départ du président Bongo et de sa suite pour New-York. Puis des appels aux ministres, maires etc. pour qu'ils soient présents pour ce départ, sinon ça allait chauffer pour eux ! Je ne blague pas !
Les coopérants avaient prévu !


L'arnaque ça marche toujours, vous en voulez une autre ? chez les gens qui touille la bouse de vache ?


La force « éthérique » ou « vaporique ». Force sans nom fonctionnant par « sympathie vibratoire »

https://fr.wikipedia.org/wiki/John_Ernst_Worrell_Keely

"
John Ernst Worrell Keely () est un inventeur américain de Philadelphie.
Il a affirmé avoir découvert une nouvelle force motrice qui a été initialement décrite comme force « éthérique » ou « vaporique ». Plus tard elle est décrite comme une force sans nom fonctionnant par « sympathie vibratoire », par laquelle on pouvait produire un « éther interatomique » à partir d'eau et d'air. Malgré les nombreuses demandes des actionnaires de la Keely Motor Company, qui avait été créée pour produire un moteur sur la base de son travail, il a toujours refusé de révéler les principes sur lesquels son moteur fonctionnait et a également refusé à plusieurs reprises de réaliser un produit commercial en prétendant qu'il avait besoin d'effectuer d'autres expériences.
Il a obtenu des investissements substantiels de nombreuses personnes, parmi lesquelles se trouvait John Jacob Astor IV."



S'il pleut, que vous vous ennuyez, vous pouvez aller lire ce site :


" Morphéus veut promouvoir l’esprit critique humain dans la tolérance, le respect de l’homme et la clairvoyance des enjeux cruciaux de notre époque. "

Oui oui. Sinon, c'est l'époque des salons de pipeautique et de zéphologie, bio, , biodynamie, zen et tout et tout. 

Bé c'est que la science c'est du pipeau mes amis. Et les médecins officiels nous tuent. On vivait bien plus vieux dans le temps béni de la nature bonne et douce.

Ah ah ! les avions renifleurs sous Giscard ! vous vous en souvenez ! peut-être de la biodynamie renifleuse ?

La technique de dynamisation de Korsakow, et dire que vous ne le saviez pas !


Je lis sur la Toile, sur le site de l'homéo Malin !


"
Le comte russe Simeon Korsakov était un contemporain d’Hahnemann.

Il a mis au point une technique de dilution différente des Centésimales hahnemaniennes (CH), que l’on appelle la méthode « à flacon unique », symbolisée par la lettre K.

Dans cette technique, l’accent est surtout mis sur la dynamisation. Elle consiste à utiliser le même flacon pour réaliser les dilutions, en le vidant à chaque fois de son contenu pour le remplir à nouveau de solvant. Le peu qui reste collé à la paroi du verre constitue alors la goutte nécessaire à la dilution suivante. On obtient ainsi la 1 K, puis la 2 K, la 3 K et ainsi de suite jusqu’à la 100 000 K. Ainsi, une 200K correspond à une 7CH, mais a été dynamisée 20 000 fois, alors qu’une 7CH classique n’a été dynamisée que 700 fois.
Les Korsakoviennes, beaucoup plus dynamisées, sont considérées porteuses d’une énergie thérapeutique plus élevée. De plus, elles correspondent à un mélange de dilutions, ce qui évite le fameux « trou d’inactivation » que l’on peut rencontrer avec les CH classiques (un médicament en 5CH peut être inactif alors qu’il sera actif en 7CH ou en 9CH ou inversement).

Pour autant, les K sont peu utilisées en France, car elles sont plus chères à fabriquer et ne sont pas remboursées.

Les médecins homéopathes préfèrent donc prescrire des CH et, en cas d’échec avec cette méthode traditionnelle, passer éventuellement à la prescription de Korsakoviennes "

Quoi ! mais c'est un scandale !

https://www.youtube.com/watch?v=H0owQVHxyNk

On ne nous rembourse pas les granules résultat de la meilleure dynamisation !

Comment voulez-vous que ce pays soit dynamique ? comment va-t-on s'en tirer face au coronavirus ?

On nous a caché le K derrière le CH ! encore un coup des Suisses et de leurs labos pharmaceutiques !

Horrible le "trou d'inactivation " !


Brive avant Paris XVIe ! pour la fortune immobilière par tête de pipe


fortune

"C'est ce dernier chiffre qui crée la surprise : Brive déboule à la sixième place nationale, faisant la nique au XVIe arrondissement de Paris (neuvième), mais aussi à Cannes (dixième) ou à Chartres (vingtième).

Selon ce classement, Brive est la première ville de province à abriter parmi les plus riches Français, derrière la Côte d’Azur et la région parisienne !

Le cas de Brive est-il vraiment unique ?

Non, et c'est un des enseignements de ce classement. De nombreuses villes moyennes figurent dans les vingt premiers, comme Beauvais (56.000 habitants), Laval (48.900 habitants), Troyes (61.005 habitants), ou encore Compiègne, Colmar.
Ces chiffres semblent montrer que l’immobilier reste un placement très apprécié et que les plus riches (en immobilier toujours) ne dédaignent pas vivre dans de petites villes. "
"La notion de patrimoine immobilier est large : elle englobe les immeubles bâtis (résidence principale, maisons, appartements, garages, parkings, caves…) et non bâtis (terrains à bâtir, terres agricoles, immeubles en cours de construction…).
Sont aussi concernés les biens détenus de façon indirecte, à travers des parts de sociétés civiles immobilières (SCI), de sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) ou d’organismes de placement collectif immobilier (OPCI)."

En Limousin on ne jette pas l'argent pas la fenêtre ! on le met dans la terre, la pierre.

On ne fait pas dans le M'as-tu-vu !

La cigale et la fourmi, petit traité d'économie et de droit des successions

La Cigale, ayant chanté
Tout l'été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue :
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau.
Elle alla crier famine
Chez la Fourmi sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelque grain pour subsister
Jusqu'à la saison nouvelle.
« Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l'août, foi d'animal,
Intérêt et principal. »
La Fourmi n'est pas prêteuse :
C'est là son moindre défaut.
« Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
— Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
— Vous chantiez ? J’en suis fort aise.
Eh bien ! Dansez maintenant. »
— Jean de La Fontaine, Fables de La Fontaine, La Cigale et la Fourmi


" A chacun selon ses besoins "

On constate que certains ont beaucoup de besoins et d'autres beaucoup moins.
Quand je demandais quelque chose, mon père me disait, réfléchis. Tu vas t'en servir quand ? combien de temps ? pour quoi faire ? Ne peux-tu faire la même chose avec ce que tu as déjà ? Et ensuite, où le mettras-tu ? Attends quelques jours. Il se peut bien qu'alors tu n'en aies plus envie. Et que tu auras envie de quelque chose de plus important pour toi.

Quand nous avons fait notre premier " voyage organisé ", nous avons fait comme tous les participants, nous avons acheté ce que le guide, de manière habile, nous poussait à acheter. On a ainsi acheté comme presque tout le groupe, un tapis. On a négocié le prix. C'est presque honteux qu'on l'a payé avec une telle réduction. Quand je suis passé Place Graslin à Nantes,


j'ai vu un tapis fort ressemblant, mieux fait, plus grand chez un spécialiste nantais. Et le prix était moitié de ce que nous avions payé au Maroc !
Ce tapis au bout de quelques mois a été roulé et mis dans le grenier !
Depuis, nous n'achetons plus rien. Si l'envie nous prend, on dit à l'autre : que va-t-on en faire ?

Quant aux cadeaux offerts ils finissent au mieux dans un vide-grenier, plus souvent dans les déchetteries.

Quand j'étais étudiant et moniteur à la fac à Poitiers, mon premier contact avec un Inspecteur des Finances
fut quand il me demanda d'être payé sans être déclaré ! (nota : je ne faisais que rassembler les documents pour le paiement des heures des intervenants extérieurs).
Il devait avoir beaucoup de besoins, et une éthique professionnelle beaucoup moins exigeante. Inspecteur des Finances n'est pas ce qu'il y a de plus mal payé dans notre Administration ! Et quel exemple donné à un jeune étudiant !
Quand je travaillais j'ai constaté que des collègues avec deux fois plus de revenus que moi, se plaignaient. Ils trouvaient qu'ils ne gagnaient pas assez. Mais ils ne venaient pas déjeuner avec nous au restaurant administratif. Ils allaient manger dans des restaurants en ville. Et ils avaient besoin d'une voiture chère (plusieurs fois le prix de celles de nombreux autres collègues) qu'ils puissent exposer dans la cour de l'établissement.

Quand on a des enfants, on peut souvent faire le même constat.

En France on a une loi étonnante. Quand on l'apprend à nos interlocuteurs ils sont tous fort surpris.

Lors d'un décès, si le défunt a donné des sommes d'argent aux héritiers, on effectue un "rapport" : le rapport est effectué pour le montant au moment de la donation.


Si un des héritiers s'est servi de la somme pour acheter un immeuble par exemple, il faudra  prendre en compte sa valeur au moment de la succession.  On sait  que l'immobilier  a tendance à prendre de la valeur marchande.  Pas partout ! En Limousin et en Périgord, il y  a  des milliers de maisons à vendre depuis bien longtemps. A chaque séjour j'en vois de nouvelles.  Dans la famille on avait même décidé de donner la maison de ma grand-mère maternelle. Et on n'a pas trouvé de personne intéressée. Mes parents me disaient "on ne va pas vous laisser les assurances et les impôts ! ".  Finalement elle fut vendue et magnifiquement restaurée. Jugez-en vous même :


Pour la 2Cv qui était en train de disparaître à Bourdoux, j'ai eu la chance de trouver quelqu'un à qui la donner. Et maintenant je la vois tous les ans faire le tour de Nantes. Elle est magnifiquement restaurée.


Si l'autre héritier a fait la fête, a fait des tours du monde, etc et qu'il ne lui reste plus rien du don (les souvenirs échappent encore au droit, quoi que ... une thèse serait bienvenue) , il va profiter de l'investissement de l'autre héritier , si cet  autre héritier a fait un bon investissement i.e. un investissement qui a pris de la valeur (valeur marchande bien sûr ! la valeur sentimentale c'est autre chose. Et de nos jours, comme la gratuité, ça ne vaut plus rien !)

 

C'est la raison pour laquelle les notaires préconisent de faire une donation-partage.

"A contrario, les donations simples sont rapportables à leur valeur au jour de la succession, ce qui peut créer des soucis entre vos héritiers.

Par exemple, si vous avez donné 50.000 euros à chacun de vos deux fils, que l’un a tout dépensé pendant que l’autre les plaçait dans un bien immobilier qui vaut 200.000 euros à votre décès, votre enfant « fourmi » sera supposé avoir reçu 200.000 euros et non 50.000 euros comme son frère. Si les 50.000 euros avaient été transmis via une donation-partage, la valeur de cette donation serait figée dans le temps."

Nous sommes à une époque où les jeunes ont appris à avoir beaucoup  de  besoins immédiats. Avec mes copains de la Cité U nous ne sommes jamais allé au café. Au cinéma seulement quand notre femme de ménage qui était ouvreuse nous offrait des places.

Les anciens collègues en activité rencontrés lors des vœux m'ont dit que les étudiants le vendredi matin arrivaient  sans être passés par leur lit. Leur état indiquait qu'ils avaient eu beaucoup de besoins en boissons alcoolisés et autres substances.

Dans les caddies des supermarchés il est rare de voir des paquets de pâtes, de farine, des sacs de pommes de terre. Parler de "vin bouché" comme on le faisait dans notre jeunesse arédienne ferait rigoler.
J'ai entendu sur la radio nationale que les systèmes de reconnaissance faciale allaient permettre d' " accélérer nos vies " !
Ce qu'on appelait en économie, " le détour de production" c'est trop long !
Ah oui, on est écolo de nos jours. Allez dans les déchetteries et vous verrez !
Mais c'est de la " destruction créatrice ".


La planète aime ça.

D'ailleurs avoir une voiture de 13 ans d'âge, c'est très mal vu. Pire si elle a peu de km au compteur car on ne l'utilise que quand on en a vraiment besoin. Sinon on est à vélo. Il y a 13 ans on vous disait de prendre un diesel même si vous rouliez peu. C'était pour la planète. Ça consomme beaucoup moins que le moteur à essence et ça émet beaucoup moins de C02. Bé maintenant... C'est que construire des voitures, les détruire c'est tout bon pour la planète.
Je découvre que Jacques Offenbach a mis la fable en musique.


Vous avez écouté ?

Savez-vous que vous n'auriez pas dû ! vous auriez dû aller acheter le disque et le mettre dans votre appareil.

"Savez-vous quelle quantité d’énergie consomme l’envoi d’un simple e-mail ? Avec une pièce jointe, c’est l’équivalent d’une ampoule basse consommation allumée pendant une heure (soit 24 Wh selon l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, Ademe), sans pièce jointe, c’est cinq fois moins : 5 Wh. Et en 2016, c’est 2 672 milliards d’e-mails (hors spam) qui ont été envoyés dans le monde, sachant que la production électrique de 15 centrales nucléaire pendant 1h équivaut à l’envoi de…seulement 10 milliards de mails (selon les données du reportage). La facture énergétique donne le tournis, les chiffres sont tellement gros qu’il devient impossible de se les représenter concrètement. Et là, on ne parle que d’e-mails, mais internet c’est également des vidéos mises en ligne, la consultation constante de sites internet, des réseaux sociaux, du téléchargement massif, l’interrogation de moteurs de recherche, des données sauvegardées sur le cloud, etc…
Internet, le troisième consommateur mondiale d’énergie (après la Chine et les États-Unis) "

Avec notre éolienne de Rilhac-Lastours,
Bon, ça fait beaucoup de béton, mais dans le coin, on n'est pas les rois du bétonnage !

on ne va pas aller loin sur la Rentela ! et il va falloir payer des souffleurs d'hélice.

Mais captant difficilement le téléphone, je ne fréquente pas le Oueb quand je suis au pays. La nature me donne assez de travail ! Quand on a le dos cassé, on mange et on va se coucher avec un bouquin. Et on dort. On se lève quand le soleil passe par les volets fendus (bé ils ont 100 ans passés)
Intéressant ce graphique pour savoir quand souffle le vent dans le coin.

http://eol87.fr/wp-content/uploads/2014/01/prod_eol87.png

Quant aux capteurs solaires, cet automne et cet hiver, ils chôment beaucoup !

Je relis l'excellent
Résultat de recherche d'images pour "Européens et Japonais Frois""

Européens et japonais - Traité sur les contradictions et différences de moeurs

Claude Lévi-Strauss

(Préfacier)

" En 1543, les Portugais sont les premiers Européens à découvrir le Japon, où ils nouent aussitôt des liens commerciaux. François Xavier y implante dès 1549 une mission jésuite. En 1597, commencent les premières persécutions. Le "siècle chrétien" s'achève tragiquement dans les années 1640-1650 : le pays se referme alors sur lui-même, et interdit son territoire à toute présence étrangère jusqu'en 1868. Le père jésuite Luís Fróis, qui résida plus de trente ans dans l'archipel nippon, fait en 1585 une description comparative des mœurs japonaises et européennes. Série d'instantanés qui décrivent les principaux aspects de la vie quotidienne, ce texte est aussi extraordinairement moderne, presque oulipien. Souvent très drôle, il développe un discours imprévu sur nous et les autres, tout au long de notations regroupées en chapitres sur les hommes, les femmes, les chevaux, les enfants, la religion, les armes, les maladies, la musique, les navires, etc. "

https://saintyrieixlaperche.wordpress.com/2014/12/07/je-me-souviens-du-paroir-de-mon-pere/

" On manie la plane en la tirant vers soi. "
Dans sa préface Claude Lévi-Strauss écrit :
" Encore aujourd'hui, le visiteur étranger s'étonne que le menuisier japonais scie en tirant l'outil vers soi et non en le poussant à notre manière ; et qu'il manie pareillement la plane, couteau à deux manches qui, comme son nom l'indique, sert à aplanir et amincir le bois. "


Feuillardier, outil 

http://quoras-tu-chabat.hautetfort.com/media/01/00/1301758059.4.JPG

Forgé par Valade à La Renaudie, acheté au vide-grenir, place de la Nation à Saint-yrieix

Je l'utilise pour peler les piquets de châtaignier.

Il se tire vers soi. Comme le montre cette photo prise au musée de Puycheny


feuillardier 



Lévi-Strauss n'a dû jamais utiliser cet outil !
A noter que notre R.P. Luis Frois en 1585, ne parle pas de cet outil.
Par contre la plane de mon père qui servait pour les sabots et nous servait pour faire des copeaux pour allumer le feu, se poussait. Mais c'était un levier de deuxième classe !

 


"levier inter-résistant : le point d'appui est à une extrémité du levier, la force exercée à l'autre, la force résultante se situe entre les deux. Exemples : une porte, un casse-noix, un tremplin de plongeon, une brouette, une clef, un décapsuleur, un pied-de-biche (côté droit), des pompes ou des rames (double leviers), un massicot à levier."

Est-ce que j'ai mal interprété Claude Lévi-Strauss ? voulait-il dire qu'au Japon, on pousse la plane ?

Porter un casque à vélo ?

Pendant longtemps chez les cyclistes urbains, il était de bon ton de dire que ce casque ne servait à rien si ce n'est à décourager des personnes à quitter leur voiture pour prendre un vélo en ville. Et nous disait-on, le casque ne suffit pas si on est heurté par une voiture même à petite vitesse.
Quand il a fallu mettre un casque pour faire du Solex, j'ai acheté un casque. Et je n'entendais plus les voitures ! On vous vendait alors des casques bouchant vos oreilles. Du coup j'ai arrêté le Solex. Il faut dire aussi que je n'avais plus à grimper une rue fort longue et fort pentue. Et que le Solex crachait pas mal et n'était pas entraîné quand il pleuvait.

A vélo, j'ai longtemps évité le casque. Je me disais, un de ces jours il va falloir porter une armure pour  sortir dans la rue. Comme on copie les merdes des USA, on a vu apparaître en France des 4 x 4 avec pare-buffle ! Idéal pour grimper sur les trottoirs, et éjecter les deux roues.
Maintenant le SUV y a pas plus beau et plus nécessaire en ville ! On en voit qui ressemblent à des corbillards pour éléphants. Une dame  bcbg au volant, y a plus chic et choc. Avec un auto-collant, Sauvez la planète c'est encore mieux. Aujourd'hui j'en ai vu une qui rendrait un président des USA jaloux.
Puis j'ai vu quelqu'un de mon âge à vélo. Heurté fort doucement par une voiture (i.e. par un conducteur de la dite voiture), il est tombé de son vélo (le vélo était quasiment arrêté). Sa tête a heurté une bordure de granit chinois. Et il est mort.

Beaucoup de chutes se font à très faible vitesse du cycliste.

De plus vous avez des panneaux routiers qui peuvent vous scalper.

On notera que plus personne ne rouspète dans le peloton du Tour de France pour porter un casque ! Et pourtant, vous vous souvenez ? et la ceinture dans les voitures ? et le gilet jaune ? Les Français se faisaient verbaliser en Espagne ! Et on nous dit que les pays du sud...

Alors j'ai acheté un casque. C'était le printemps. J'ai trouvé pénible. Et je m'y suis fait. Je ne sors jamais sans mon casque. Il m'est arrivé de tomber de vélo. Par exemple en entrant sur un parking du fait d'un rebord. Ou encore à cause de ces trucs qu'on vous met pour délimiter de pseudos pistes-cyclables. J'ai apprécié le casque.

En hiver, j'ai un casque qui ne laisse pas passer l'eau, me protège du froid. De plus il a deux évents que je peux ouvrir ou fermer. C'est tout confort. Il me reste un gros problème : celui de la pluie sur les lunettes qui rend la visibilité quasi nulle. Et personne n'a trouvé la bonne solution. En France on ne trouve pas sur le marché de casques vélo comme il y en a pour les motos.

Je constate que maintenant presque tous les cyclistes urbains quotidiens ont un casque, un gilet jaune, un éclairage.

Et figurez-vous que les pilotes de "rallyes" portent des casques dans leur voiture pourvue d'un arceau comme les tracteurs dans nos campagnes ! Mais on ne va pas faire peur aux automobilistes ! Ils sont protégés par les normes et les airbags. On n'a eu que  3 239 personnes qui sont mortes sur les routes de France. La preuve !

Mais on vend des vélos sans éclairage ! On m'avait appris que l'éclairage était obligatoire. Mais le business a ses secrets !

Saint-Yrieix-la-Perche se situe à 4 milliards, 31 millions 856 000 kilomètres de B Proxima Centauri, soit 4,2 années-lumière !

C'est ce que nous apprend Jean-Louis Cayla.
Mais il n'est pas assez précis. On ne nous retrouvera pas ainsi ! il faudrait convertir en mètres ! et ça impressionnerait les homéopathes !

N’est pas justifié le licenciement de la salariée qui déclare à son supérieur : « tu me fais chier et tu m’emmerdes ». Cour d’appel de Douai

N’est pas justifié le licenciement de la salariée qui déclare à son supérieur : « tu me fais chier et tu m’emmerdes ». Cour d’appel de Douai, 21 décembre 2007, 07/137.


Et immédiatement me vient à la bouche cette chanson de haute tradition estudiantine, bien connue des étudiants pictaves dans les années 60, ceux qui ne manquaient pas la Chasse au Bitard (LST) dans les bois de Chanteloup (sans armes ! on était très écolos à l'époque, on respectait la bio-diversité !)


Un jour un pou dans la rue
Rencontra, chemin faisant,
Chemin faisant,
Une araignée bon enfant,
Elle était toute velue,
Elle vendait du verre pilé
Pour s'ach'ter des p'tits souliers.
REFRAIN :
Là tu m', là tu m'emmerdes,
Là tu m', là tu m'fais chier.
Tu nous emmerdes.
Tu nous fais chier.
Tu nous emmerdes.
Tu nous fais chier.
Et l'on entend dans les champs
S'masturber les éléphants.
Et l'on entend dans les prés
S'enfiler les chimpanzés.
Et l'on entend sous les ormeaux
Battre la merde à coups d'marteau.
Et l'on entend sous les plumards
Battre le foutre à coups d'braquemarts.
Non, non, non, non, Saint Eloi n'est pas mort, (bis)
Car il bande encore, (bis)


Version pour toutes les oreilles, même pour ceux qui ne sont pas juges !
tu nous embêtes
tu nous fais suer



Saint Eloi quand on est de Saint-Yrieix, on connaît forcément ! Solignac est près de la route qui mène à Paris !



" Saint Éloi naquit en 588, à Chaptelat. Il apprend son métier d’orfèvre à l’atelier de Limoges, puis va travailler à Paris sous les ordres du trésorier du roi. Son talent et sa probité le font remarquer par Clotaire II qui en fait son trésorier ; mais c’est surtout la confiance du roi Dagobert qui permet à saint Éloi de déployer toutes ses capacités de ministre. Titulaire de l’évêché de Noyon, saint Éloi a pourtant la nostalgie du pays natal : c’est alors qu’il demande au roi la terre de Solignac pour y fonder le monastère où il compte aller mourir en paix. « Mon roi et maître, que ta bonté veuille m’accorder pour que je puisse y construire une échelle pour toi et pour moi, par laquelle nous mériterons de monter tous deux dans le royaume céleste. » Le roi répondit favorablement à cette sollicitation. Le premier abbé fut saint Remacle, qui quitta l’abbaye quelques années plus tard pour être nommé évêque de Maastricht.
La règle suivie était celle de Luxeuil, c’est-à-dire qu'elle était inspirée des prescriptions de saint Colomban et de saint Benoît. Au VIIIe siècle, l’abbaye est plusieurs fois saccagée par les Sarrasins causant de nombreux dégâts ; à la suite de cela, les moines reçoivent des privilèges qui seront confirmés au cours des siècles par les papes successifs. En 820, l’abbé Aigulf impose la règle bénédictine, quarante ans plus tard, l’abbaye est incendiée et pillée par les Vikings.
Sous les carolingiens, Solignac était le chef-lieu d'une viguerie incluant, entre autre, Cussac-sur-Loire3.
Aux XIIe et XIIIe siècles, forte de la protection royale et riche de ses reliques, l'abbaye contrôlait près de vingt églises paroissiales et possédait des terres en Montagne limousine, parmi lesquelles le château de Chalucet, et dans le Bas Limousin (la Corrèze actuelle). Le bourg marchand, situé sur l'axe nord-sud qui relie Périgueux à Limoges, se développa hors des remparts qui ceinturaient le domaine abbatial. L’actuelle abbatiale fut construite à cette époque : dans la première moitié du XIIe siècle, on construisit la nef, dans la seconde moitié le chœur et le transept (après l’incendie de 1178) et le clocher-porche au début du XIIIe siècle. En 1388, des bandes anglaises incendient le chœur de l’église.
Ruinée au XVIe siècle par les guerres de religion et les révoltes paysannes, l'abbaye se releva pendant la Contre-Réforme catholique, lorsqu'en 1619, l'abbé, suivant l'exemple de l'abbaye Saint-Augustin-lès-Limoges, fit appel à six moines de Saint-Maur qui restaurèrent la règle bénédictine. Mais ils se heurtèrent à l'hostilité des moines en place ; l'abbaye fut partagée et les mauristes se contentèrent d'une petite chapelle jusqu'à ce que la mort emporte les opposants. Remise en état, l'abbatiale retrouva sa fonction en 1635. Cent ans plus tard, le cloître et les bâtiments conventuels furent entièrement reconstruits. "

Rendre ses phares transparents

Certaines voitures ont les phares qui deviennent rapidement opaques.
On parle des nouveaux (bon on vieillit...) en polycarbonate.
"La très grande transparence de cette matière est exploitée pour la fabrication de verres optiques, des CD et DVD, des lentilles de caméras thermiques (caméras infrarouge) ou encore de vitres de phares automobiles. En forte épaisseur, il possède une légère teinte jaune.
Son excellente résistance aux chocs3 en fait un matériau très approprié pour la fabrication de casques de moto ou de boucliers de police, mais aussi de mobilier ou de coques de smartphones.
L'innocuité physiologique du polycarbonate[réf. nécessaire] permet son utilisation dans le domaine médical pour la fabrication de matériel ou de prothèses. Sa sensibilité aux agents chimiques et aux ultraviolets limite toutefois son utilisation. On doit faire particulièrement attention lors de contacts prolongés avec l'eau, surtout à des températures supérieures à 60 °C, qui exposent au risque d'une forte hydrolyse.
À 20 °C, il est incompatible avec l'acétaldéhyde, l'acétate d'éthyle, l'acétone, l'acide acétique glacial, l'acide fluorhydrique à 48 %, l'acide nitrique à 70 %, l'acide perchlorique, l'acide sulfurique à 98 %, l'anhydride acétique, l'ammoniac, l'ammoniaque à 30 %, le benzène, le chloroforme, la diéthylamine, le diméthylsulfoxyde, l'éther éthylique, l'hydrazine, le nitrobenzène, le nitrométhane, le perchloroéthylène, la potasse concentrée, la soude à 50 %, le sulfure de carbone, le tétrachlorure de carbone, le trichloroéthane, le trichloroéthylène, l'urée, le xylène.
Le polycarbonate est mal adapté aux fours à micro-ondes car il absorbe la chaleur.
Son indice de réfraction (dans le visible) est de 1,591. "
Sur Youtube, on trouve plein de techniques.
On vous vend des kits de rénovation... qui sont fort peu efficaces.
Voici des méthodes (on n'a pas testé !)
- l'acétone Dans cette vidéo les commentaires sont dans un anglais très clair. Pas celui à la mode en France ! que je ne comprends pas. Je suis classe ! il me faut de l'anglais d'Oxford.
On notera que la personne ne fait que deux passages rapides.
https://www.youtube.com/watch?v=z2ZRKPshPVM
- Bicarbonate ajouté à du dentifrice depuis longtemps et ça marche parfaitement. Mais avec une éponge pour surface fragile qui ne raye pas ! N'utilisez jamais une éponge à récurer sur une peinture ou surface transparente
- Bicarbonate (Baking soda ou Bread soda en anglais) ajouté à du vinaigre souvent conseillé pour nettoyer des vérandas etc.
https://www.youtube.com/watch?v=QWMJubLqnRw
ponçage au 500 pour enlever le vernis (qui ternit ), puis ponçage au 800, ponçage a l'eau au 1500, puis au 3000 a l'eau. Et finir par un lustrage. Le mieux étant de le faire avec une petite ponceuse rotative et une lustreuse. Technique pratiquée dans les garages autos
La seule méthode est efficace est un ponçage, avec une machine adapté au polycarbonate du phare qui est "brûlé" par le soleil en commençant par du papier de verre de 500, puis 800, puis 1000, puis 3000...ensuite il faut polir le phare avec du polish pour carrosserie et finir le tout par une couche de rénovateur Polytrol qui rendra l'aspect "neuf" au phare...toutes les autres méthodes comme dentifrice etc..sont inefficaces et perte de temps..
- WD40 " Si vous voulez rénover une optique de phare et que vous voulez un résultat rapide (1 minute par phare quel que soit son état) et sans huile de coude et pour presque rien;, voici ma méthode: Matériel nécessaire Il vous faut 4 feuilles d'essuie-tout et une bombe de WD-40. Méthode de travail: 1 _ Plier une feuille d'essuie-tout en 4, y déposer du WD-40 puis passer sur le phare (sans insister; il suffit de déposer un léger film de WD-40 2_ Faire la même opération avec la 2° feuille de papier sur le 2° phare 3_ Prendre une feuille sèche et essuyer le 1° phare 4_ Faire la même chose pour le 2° phare 5_ Ranger son matériel. 6_ En parler autour de vous Je ne sais pas combien de temps, la rénovation tient. Moi, je l'ai fait en Septembre ( avant le contrôle technique) et en Janvier c'est toujours nickel. Au pire, je recommencerai en cas de besoin.
- Eponge magique et WD40
1minute par phare de "ponçage " à l'éponge magique+eau, puis nettoyage au WD40+chiffon durant 1min également. Les optiques sont redevenus ok pour le contrôle technique mais j'ignore pendant combien de temps ils le resteront (cela fait 1 semaine que j'ai fait la manip).
 
- Miror et chiffon micro-fibre La société Henkel n'indique pas que le Miror convient au polycarbonate !
 
 
 
 
 
Mon avis
 
Les phares étaient très jaunes.
 
J'ai tenté le bicarbonate et vinaigre. Mouillé ça avait l'air bien. Et sec c'était peu transparent.
 
J'ai tenté dans un coin l'acétone. Idem.
 
Le ponçage n'a pas amélioré. Avec du plus fin vous n'enlevez pas les rayures du moins fin.
 
Tant que c'est mouillé, on pense avoir réussi !
 
Vous me direz qu'avec le temps de l'automne et de l'hiver...mais aujourd'hui c'est très sec !
 
Mais peut-être que si vos phares ne sont pas trop opaques.
 
"En cherchant les solutions les moins chères et les plus simples pour rénover vos phares, vous tomberez sur des tutos qui garantissent un résultat sans ponçage. Ce que nous avons voulu vérifier par nous-même. Qu'il s'agisse de Miror, Polytrol ou encore WD40, le résultat est nul. L'impression de transparence n'est due qu'à la couche de gras laissée par le produit. Une fois celle-ci éliminée par un lavage, les défauts réapparaissent.
 
Article sur Auto-Plus
 
 
Et il y a les deux solutions suivante :
 
 
La meilleure solution ?
 
- faire faire par un professionnel, pour deux phares, on m'indique 90 euros dans un garage de quartier affilié à AD. Or les kits tournent autour de 35 euros (et c'est pour un phare !)
 
- changer les phares en en achetant d'occasion à l'optique en bon état. Mais il faut trouver un garagiste qui accepte de les monter (normalement la loi l'exige, mais il y a loin de la chambre des députés à la pratique !). La plupart refusent ! et c'est confirmé par des enquêtes régionales. Sinon il faut démonter le pare-choc ...
On fait maintenant des voitures où changer une ampoule (ah ah ! la sécurité !) nécessite de passer au garage et de dépenser au moins 200 euros !
- je ne sais si on ne peut changer que la partie en polycarbonate.

Mes voitures, de la 2 CV à la Logan MCV

  • la première fut la 2CV de mes parents qui datait de 1956. Je l'ai amenée à Poitiers en 1969, au Centre d'Essais des Landes et à Montpellier. Je me souviens que je la démarrais en faisant toucher deux fils à l'aide d'un bout de bois auquel mon père avait fixé un morceau de fil de cuivre. Elle a fini sa vie arédienne à Bourdoux. Heureusement j'ai trouvé quelqu'un à qui la donner. Et elle est splendide. Un énorme travail de collectionneur. Mes parents ont remplacé la 2CV par une R4
  • une R4 ou 4L d'occasion. Je l'ai amenée à Montpellier en 1971, puis Nantes. Elle a eu vite le plancher rouillé. Bien ! l'eau qui s'infiltrait pouvait sortir. Fin de vie en 1980. Les démarrages étaient aléatoires. Et pour la naissance de mon fils, on était prêt à appeler le taxi !
  • un fourgon J7 Peugeot d'occasion aménagé en camping-car en 1977. On l'a revendu suite à une tentative d'intrusion de nuit sur le parking des ferries à Saint-Malo.
  • N'osant pas l'utiliser pour "faire" la Corse, on a acheté une 2CV neuve. Elle n'a jamais bien marché. Freins lamentables (en Corse !), moteur faisant des explosions !, extinction des feux inopinément. Citroën nous a baladés. On a réussi à la vendre au bout de 2 ans.
  • On a commandé une japonaise Mazda. Qu'on n'a jamais reçue. Sous Giscard, les importations furent limitées. Du coup, on nous a fourni une Ford Escort. Un nouveau modèle. Au bout de peu de km, le moteur était recouvert d'huile ! Le carter était en aluminium. Le serrage des boulons avait entraîné des "bavures"...Ah une idée pour diminuer le poids.  A moins de 500 km la courroie d'entraînement a cassé ! et Ford ne nous a pas changé le moteur. La voiture n'a jamais pu fonctionner normalement. Dans les Alpes nous nous faisions doubler par les cyclistes dans le col du Galibier ! Elle n'avait pas de puissance. Et pourtant je ne suis pas un amateur de vroum/vroum. Elle n'a pas duré longtemps !
  • On a acheté alors une Jetta VW. Je me souviens qu'on se pinçait les mains pour l'ouvrir. Le coffre était confortable. On a eu quelques problèmes de frein. Ah je sais, si c'est allemand, c'est bon. Bé pas pour nous. Mon fils l'a eu ensuite.
  • Alors ce fut une italienne, une Fiat Tipo. On n'en fut pas mécontents.
  • J'avais un Cahier des charges : solide, très grand coffre (on campait !), peu coûteuse en réparations, une technique ayant fait ses preuves. Et c'est ainsi qu'on a eu la première Dacia Logan de Nantes. On l'a acheté  (9326 euros, clés en main avec toutes les options en octobre 2005) sans en avoir vu une. Une voiture avec une vraie roue (de secours). On parle de sécurité et on vous met maintenant (et encore, on peut ne pas en avoir) une "galette" pour rouler quelques kilomètres. La 2 cv avait une trousse à outils. J'en ai encore !
  • Une fois en retraite, il me fallait aller en Pays de Saint-Yrieix et en Bretagne, porter du matériel. Une voiture avec de la place. J'ai eu à faire des déménagements dans la famille. J'ai acheté une Dacia Logan MVC break. Achetée 14 802 euros avec toutes les options en mars 2008. Elle a 12 ans en février 2020 et 165 000 km). On a vendu la première Dacia qui ne roulait pas. Ma femme utilise les transports en commun. Et moi le vélo en ville. Je ne fais peu de kilomètres et ne roule pas en ville (je suis multi-modal, j'ai un vélo - chut ... plusieurs retapés à Velocampus -). Le Diesel ne m'était pas recommandé. Mais j'étais écologiste pratiquant (oui, je sais il faut mieux être écolo patenté !). Alors j'ai pris Diesel. Moins de CO2, moins de consommation de carburant, plus solide. On n'envoie pas à la casse (ah oui, je sais la casse c'est très bon pour la planète et le système). Avec Dacia, j'ai découvert les voitures qui ne tombent pas en panne. Je me suis permis le luxe. Je les ai prises super-équipées ! Et je ne regrette pas. Mais au bout de 13 ans, on m'annonce au Contrôle Technique de l' "opacité" ... de l'échappement. Normal, elle ne vit pas le vroum vroum et je ne lui ai pas fait faire de route depuis mon retour de Bourdoux avant Toussaint !
  • Il y a deux ans, pour des raisons de santé, on a dû acheter une voiture pour rejoindre les transports en commun. Elle fait TRES peu de kms. On a cherché une autre solution. On n'a pas trouvé. Ce fut une Fiat Panda d'occasion. Vendue par un grand-père qui n'avait pas fait encore 40 000 km pour aller acheter son journal et son pain. On avait loué en Italie. Fort confortable. Bien pour quelqu'un de petite taille. Le maximum de place avec la longueur minimale. 4 portes. On en est ravis.
Et le futur ?
" Dacia propose sa gamme GPL à un prix très compétitif, sans compromis sur la fiabilité (aucun surcoût par rapport à une version essence équivalente). Le prix du carburant GPL est nettement plus économique (jusqu’à plus de la moitié du prix d’un litre d’essence ou de diesel). Par ailleurs, cette technologie permet de bénéficier d’avantages fiscaux significatifs :
  • Exonération totale ou partielle de la carte grise (en fonction des départements)
  • Malus écologique à 0€ ou réduit par rapport à une version essence équivalente
  • Eligibilité à la prime à la conversion
  • Vignette Crit’Air 1 pour tous les véhicules GPL
  • Stationnement gratuit ou à tarif préférentiel pour les usagers Disque Vert
  • Pour les professionnels spécifiquement : exonération de la TVS pendant 3 ans et récupération de la TVA sur les VP GPL "
Si la consommation moyenne d’une motorisation GPL est légèrement supérieure, au global, le coût du carburant au kilomètre est réduit jusqu’à 30 % par rapport à une motorisation essence et jusqu’à 8 % par rapport à une motorisation Diesel. "
On dispose de deux réservoirs. Il y a passage automatique au GPL quand la voiture est chaude. La technologie n'est pas récente. Je l'ai découverte quand j'ai préparé une étude de cas pour former le personnel des personnels de collectivités territoriales à l'Ecole d'Angers. En effet, le sujet était la gestion d'un parc d'engins à moteurs. Je me souviens d'avoir fait un séjour à Caen qui avait opté pour le GPL suite à une étude. Curieusement (?!) on vous parle de l'électrique !

" les activités d’aisance aquatique "

" Il s’agira pour les 30 minutes d’activité physique et sportive comme pour les activités d’aisance aquatique d’appels à projet sur la base du volontariat d’une école. "
Jean-Michel Blanquer
@jmblanquer
 
 
Mais nous avions des cabinets d'aisance derrière les casernes. A la Turque ! on n'appréciait pas de se faire rincer les pieds quand on tirait la chasse.
 
Regardez la photo qu'on trouve sur Wikipedia et la légende !
 
 
Toilettes rustiques, en France.
 
Les rédacteurs de Wikipedia ne doivent pas fréquenter les toilettes publiques en France !
J'aurais dû photographie les cabinets de mon enfance ou ceux de la colonie de vacances de l'Ile d'Aix dans les années 60 !
 
Quant aux chiottes des Parigots que j'ai découvert (e) s en mai 68 ! bouchons-nous le nez ! même les odeurs des lacrymos ne suffisaient pas.
 
Au Japon, on n'entre dans les toilettes qu'en changeant de chaussons.
 
 
Les activités aquatiques nous les avions en toute liberté pédagogique dans le Couchou où nous élevions des têtards,
 
Image
 
dans la Loue où nous  ramassions sous les pierres des portefaix et pêchions avec. On s'y baignait ainsi que dans l'étang Baudy puis plus tard dans l'étang de Puymoreau.
 
Les baignoires étaient fort rares. Du coup comme
« L’impossibilité de nager dans une baignoire accroît considérablement le risque de noyade. »
 
nous faisions nos activités d'aisance aquatique en toute sécurité !
 
On aurait dû rédiger des dossiers de "projet", les faire valider par des commissions mixtes paritaires démocratiquement élues. Et on aurait ajouté des lignes sur notre CV pour  obtenir un bac avec mention écologique et entrer à Sciences Popo.
 
 
Je lis sur Twitter :
 
" @bonnafu
La piscine, dans la novlangue de l'Educ Nat, devient une « activité d’aisance aquatique » Je suggère qu’on remplace le concept de noyade par celui d’« inconfort des voies respiratoires de l’apprenant consécutif à un défaut de maîtrise de l’immersion ». Pourquoi faire simple ? "
 
Et dire que nous avons survécu à nos instits des années 50 !
 
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