dimanche 16 juillet 2023

On va priver les ploucs de la Haute-Vienne de ZFE (Zone à Forte Exclusion).

 Ah les ZFE, Zones à Forte Exclusion !


Dans la famille :


- une Panda de plus de 20 ans, 33 000 km ! 

- une Dacia Logan MCV Diesel (eh oui, on est con, on a écouté le gouvernement et les écolos patentés, on a pris un Diesel pour la première fois, alors que notre garagiste nous a dit, "mais vous ne roulez pas assez" et on lui a répondu "c'est pour la planète et l'humanité") de plus de 15 ans et moins de 200 000 km. 

- une Dacia Logan MCV Diesel (même raison) de 10 ans et 50 000 km. Oui 50 000.

Bé dans la famille, on roule en ville à vélo, on prend les transports en commun (dans les villes où il y en a, le train quand il y en a, et même l'avion ! la honte absolue. 

La MAIF a écrit dans sa revue qu'il faut faire durer sa voiture, bien l'entretenir. Elle a même remboursé il y a peu un choc de la Panda car elle a considérée qu'elle était dans un état quasi neuf.

Mais on tombe tous sous le couperet de la loi votée par nos députés (bé oui ! on n'est pas sous un régime théocratique !). 

Alors on constate à Nantes qu'il y a de plus en plus de maousses Telsa, que les gens changent de voiture pour des voitures bien plus grosses, qui me font peur quand je suis à vélo (c'est fait exprès . c'est que je pète parfois à vélo comme rotent nos limousines, pas celles de Trump, celles du Limousin ?). Changez de dents, de nouvelles dents vous changeront. Ikea a bien réussi à faire comprendre aux Français qu'il fallait changer de meubles au moins tous les dix ans. Ils vendent du meuble en copeaux pressés, on se les monte, on se les démonte, mais quant à les remonter, vaut mieux les déposer en morceaux sur les trottoirs. Changez de voiture et le monde se portera bien. Quant au tabac et à l'alcool, c'est bien sûr autorisé en ville. Pour la santé et la paix des ménages y a pas mieux. Oui mais du bio.

Ah oui, si vous achetez du bois au super-marché, vous aurez une prime d’État. C'est bio, naturel, et les fumées  n'émettent pas de particules. C'est certainement prouvé !  Et puis c'est joli une cheminée qui fume. Ça me rappelle le Périgord vert d'antan. Car les vieux avant l'Ehpad passent au fioul, ils ne savent pas que c'est mal. Mais ils n'arrivent plus à fendre le bois. Ils n'achètent pas des palets. Ce sont les Bretons qui jouent au palet.

 https://www.ecologie.gouv.fr/sites/default/files/DP_ZFE_comite.pdf

 

"Limoges respecte actuellement les seuils réglemen-
taires de qualité de l’air. Elle sera donc un territoire
de vigilance au 1er janvier 2025. L’ensemble des
paramètres sont laissés à la discrétion de l’agglomé-
ration.
La seule obligation minimale prévue par la loi est
la mise en place de restrictions pour les voitures
immatriculées jusqu'au 31 décembre 1996 (véhicules
de plus de 28 ans, non classés).
Elle pourrait décider de restreindre la circulation des
véhicules Crit’Air 5 uniquement pour les poids lourds
et véhicules utilitaires légers à cette date, ou encore
restreindre la circulation pour les voitures Crit’Air 5 et
4 si elle le souhaite mais sans en être obligée par les
lois existantes."


Non classés
Toute voiture immatriculée jusqu’au 31 décembre 1996 (voitures de plus de 28 ans) 3 %
Crit’Air 5
Voitures diesel immatriculées jusqu’au 31 décembre 2000 (de plus de 24 ans) 2 %
Crit’Air 4
Voitures diesel immatriculées jusqu’au 31 décembre 2005 (de plus de 19 ans) 7 %
Crit’Air 3
Voitures diesel de plus de 14 ans et voitures essence de plus de 19 ans 22 %
Crit’Air 2
Voitures essence de plus de 14 ans et toute voiture diesel restante 37 %
Crit’Air 1
Toute voiture restante (hors voitures 100 % électriques et hydrogène) 28 %
Vignette verte
Toute voiture 100 % électrique et hydrogène 1 %

https://www.lepopulaire.fr/limoges-87000/actualites/zone-a-faible-emission-limoges-finalement-exemptee-de-restriction-de-circulation-en-2025_14341896/

"Plus de 80.000 voitures auraient été concernées
en Haute-Vienne


 

Socialement, la mesure avait quelque chose d'explosif, comme le démontrent les chiffres du ministère de la Transition écologique sur la répartition des vignettes Crit'air par commune. En Haute-Vienne, 81.539 voitures avec des vignettes Crit’air 3-4 et 5 étaient potentiellement concernées par l’interdiction de circulation. Cela représentait 33,82 % du parc automobile départemental en 2022, selon les chiffres du ministère.

Plus les communes sont éloignées de Limoges, plus les vignettes Crit’air 3-4-5 sont répandues au sein du parc automobile des différentes communes, la palme revenant à Cromac et Saint Georges-les-Landes, avec plus de la moitié des véhicules concernés. Les automobilistes ruraux peuvent souffler."

 

https://www.lemonde.fr/blog/transports/2023/01/04/zones-a-faibles-emissions-zfe-le-malaise-qui-monte/


Je recopie cette remarque d'un commentateur du blog d'Olivier Razemon (que je suis depuis ses débuts)


" Même en ne se plaçant que du point de vue de la pollution de l’air, je suis dubitatif sur l’efficacité de la mesure : les véhicules les plus anciens qui peuvent encore être en circulation sont finalement ceux qui roulent peu, or qu’est-ce qui pollue le plus, un véhicule ancien qui parcourt quelques milliers de km par an ou un véhicule récent qui en parcourt trois ou quatre fois plus ? La discrimination par le classement Critair est critiquable, ce qui sort du pot d’échappement n’est qu’une partie de la pollution, un véhicule électrique pollue aussi l’air par l’usure des freins et des pneus. La limitation doit donc être celle de l’usage des véhicules, quels qu’ils soient. "

 

Eh oui, on ne tient pas compte de la durée d'utilisation de la voiture en ville ni du modèle de la voiture ! et donc de la quantité de particules émises. 

Tiens c'est sous notre Ségolène Royal (c’est une mesure imaginée en 2015 par Ségolène Royal (ou son cabinet), sous le nom de « zone à circulation restreinte ».que l'idée est née OR). Du génie. Mais à l'époque j'avais appris que la plus grosse pollution dans la région parisienne venait du bois qu'on brûlait ! Je n'en revenais pas ! On y brûle le bois de Boulogne ? la forêt de Compiègne ? Et le clan des bougnats a pris le pouvoir. D'où la prime Macron pour le bois de chauffage, mais pas celui que je coupe dans mon bois, du bois mort de châtaignier n'a pas le droit à la prime.

samedi 15 juillet 2023

Sur le film "Pardevant notaire" dans l'étude notariale de mon ami Claude Faucher-Garros à Condat-en-Feniers, Cantal


 Une envie de revenir sur le plateau de l'Artense dans le Cantal, chez mon ami Claude à Jallendrieu. ... Je n'y suis pas revenu depuis son décès.

On va enfin aller visiter le pays de Georges Sand dans le nord du Limousin. Puis on ira à Aubusson. Souvenirs, souvenirs. Et d'Aubusson, le Cantal n'est pas loin....

https://www.persee.fr/docAsPDF/comm_0588-8018_2001_num_71_1_2085.pdf

Communications
À propos de Frederick Wiseman
Mme Sophie Bruneau, Mme Sarah Sékaly
Citer ce document / Cite this document :
Bruneau Sophie, Sékaly Sarah. À propos de Frederick Wiseman. In: Communications, 71, 2001. Le parti pris du document. pp.
225-232;
doi : https://doi.org/10.3406/comm.2001.2085
https://www.persee.fr/doc/comm_0588-8018_2001_num_71_1_2085 

Pardevant notaire.


" Marc-Antoine Roudil,' avec qui j'ai coréalisé Pardevant notaire, a des
racines auvergnates, dans le Cantal. Depuis longtemps, nous avions envie
de faire un film sur les paysans et les paysages du Cantal. C'est un lieu
que nous connaissons bien, mais avec lequel nous avons aussi une
certaine distance, puisque nous n'y vivons pas. Il nous fallait trouver un
point de vue... Un jour, à l'occasion d'une succession personnelle, Marc-Antoine, est allé chez le notaire. Il est revenu enthousiaste, nous nous
sommes dit : « C'est là que ça se passe. » Et, effectivement, nous avons
découvert un monde d'une grande richesse sur le plan humain. 

 

Les
grands actes que l'on établit chez le notaire sont quasiment des rites de
passage : le contrat de mariage, l'achat d'une propriété, la transmission
et l'acquisition de biens sont autant d'étapes fondamentales dans la vie
de quelqu'un. Quand on mesure l'importance de la propriété privée dans
nos sociétés, c'est un lieu où il se passe des choses très intéressantes du
point de vue anthropologique. L'argent et la mort y sont toujours
étroitement liés.


Nous avons donc fait un « casting » de notaires dans la région et c'est
ainsi que nous avons rencontré Me Faucher-Garros, et là nous nous
sommes dit : « C'est lui ! » Nous avons eu parallèlement les autorisations par
le président de la Chambre des notaires du Cantal. Le notariat est un
métier que l'on exerce soit par tradition familiale, soit pour faire fortune.


Faucher-Garros exerce aussi ce métier par amour des relations humaines ;
il aime la négociation, on le sent dans le film, il veut aboutir, il ne supporte
pas l'échec (par exemple celui de la négociation Pallut/Barbat) . Nous
avions très peur de la place qu'il allait prendre dans le film car c'est
quelqu'un qui a du caractère. Un personnage — une notion importante
dans le documentaire - se définit au fur et à mesure du film. 

 

Lui, c'était un personnage dès le départ. C'est quasiment un acteur du réel, qui porte
en lui une dramaturgie et qui tient son rôle dans l'histoire. Il fallait faire
attention, car nous ne voulions pas faire un film sur le métier de notaire ;
ce n'était pas un portrait de Faucher-Garros, c'était d'abord un moyen
de parler des gens de là-bas, de ceux qui sont en face de lui. Le notaire
est une sorte de chef d'orchestre.
Ce qui nous intéressait principalement, c'étaient les gestes et les
attitudes des clients. Par exemple, la façon dont Gauthier se tient pendant
la négociation de la vente de son terrain : il ne regarde pas Chanet, il
regarde de l'autre côté. Toutes les stratégies de la négociation passent par
des postures. Il se lève en disant : « Bon, vous voulez pas faire un geste,
Chanet ? Bon, ben je crois que je vais vous laisser, on va en terminer là. »
Mais il ne sort pas, il ne veut pas sortir, il veut aussi que l'affaire soit
conclue, mais il fait pression sur l'autre quasi physiquement, en prenant
sa casquette et en faisant semblant de partir. Toutes ces stratégies sont
formidables, il y a une grande sophistication dans la négociation. Les
expressions comme « Je veux bien le vendre, mais je ne veux pas le donner
quand même » ou « Faites-lui battre misère » sont très ancrées culturel-
lement. C'est une façon. de parler. C'est important de voir Pardevant
notaire sur grand écran. Je voudrais qu'il soit diffusé en salle parce qu'il
faut voir les détails, les mimiques, les petits mouvements des personnages,
es mâchouillis, etc. Un détail comme le bruit du stylo sur le papier crée
une tension dramatique. Faucher- Garros est à l'aise dans cette
dramaturgie. Son bureau est un lieu très théâtral, il fonctionne comme une
scène, avec un décor, du papier peint, du mobilier, des peintures... A la
différence de Wiseman, nous avions un preneur de son, une caméra sur
pied et une installation lumineuse exceptionnelle pour un film en cinéma
direct. Nous voulions une lumière assez chaude, nous avons donc changé
toutes les ampoules, et tous les néons de l'étude... Quand nous sommes
partis et que les secrétaires ont retrouvé leur éclairage habituel, elles n'y
voyaient plus clair.
Il y avait une certaine virginité de la caméra dans cet endroit. J'aime
cette notion de transparence qui est manifeste aussi chez Wiseman. Les
spectateurs étaient étonnés que l'on ne sente pas plus notre présence à
l'image... En fait, les clients arrivaient chez le notaire sans savoir quoi
que ce soit. Nous étions dans la salle d'attente et nous attendions le client,
comme le notaire dans son bureau. Il fallait rester très vigilants, même si
l'on attendait parfois très longtemps avant que quelqu'un arrive. Dans
ce petit bourg de province, les gens viennent souvent à l'improviste, parce
qu'ils se trouvent dans le coin. C'a été le cas pour Chanet et Gauthier, et
c'est finalement une des séquences principales du film. Wiseman m'a,évidemment, beaucoup appris pour ce qui concerne les problèmes
d'autorisation : après Titicut Follies, il a toujours demandé cette autorisation
par voie orale ; il l'enregistre et il fait des fiches. Le métier de notaire est
couvert par le secret professionnel, nous voulions donc nous protéger au
maximum. Nous avions rédigé un texte avec le sujet du film, le parcours
qu'il aurait ensuite, les conditions de diffusion, etc. Nous demandions
aux gens d'accepter tout cela et de signer. Nous avons eu très peu de
refus. Quand les gens entraient, j'avais une discussion avec eux et, comme
ils faisaient confiance à leur notaire, que leur notaire nous faisait
confiance, ils nous faisaient confiance aussi. Ils acceptaient et étaient
parfois honorés que l'on témoigne, via la caméra, de l'acte qu'ils allaient
faire chez le notaire. Gauthier, lui, ce qui l'intéressait, c'était son affaire.
Après la diffusion du film, quand des journalistes de La Montagne lui
ont demandé comment il faisait pour être si naturel, il a répondu : « Moi,
je vendais ma ferme, je ne la vendrai qu'une fois dans ma vie. » J'aime
beaucoup ce regard de Gauthier à la caméra, lorsque le notaire retourne
chercher Chanet dans le couloir. Pendant ce temps -là Gauthier nous
regarde, effectivement le regard va droit à l'image, mais il regarde au-
delà, il est ailleurs.
A travers ce qui a lieu chez le notaire, nous voulions parler du monde
paysan. Ici, c'est souvent la femme qui gère. La scène avec Barbât, à
propos de la donation-partage, en dit long sur le système patriarcal, qui est encore très ancré. Il dit qu'il n'y a que le fils qui est dans la branche ;
les filles sont dans la Poste ou... La transmission des biens dans le milieu
agricole se fait principalement du père au fils. On ne peut pas partager
la ferme, elle est, sinon, amenée à mourir. Le notaire dit qu'il faudra de
toute façon allotir les filles, le fils est censé les indemniser à une juste
part mais on va, en fait, diminuer l'évaluation des biens pour leur donner
le minimum, afin que le fils ne passe pas sa vie à les rembourser.
Évidemment, ce qui est drôle* chez les «Pallut, c'est que le mari est quasi
donné pour sourd ; c'est donc Mme Pallut qui parle pour lui. Dans le
champ-contrechamp, le notaire pose une question en regardant le mari
et, comme c'est elle qui répond, on voit son regard se tourner vers elle.
Comme il a un humour incisif, il lui dit : « Signez aussi, vous avez fait
l'interprète. » II touche dans le mille. Dans leur conversation
téléphonique, elle dit qu'elle ne peut rien décider seule, mais le notaire sait quels
peuvent être son rôle et son influence. En revanche, ce qu'elle n'avait pas
vu, c'est que son mari place sa fierté au-dessus de l'argent que peut lui
rapporter la vente de sa terre. Il préfère sauver la face, ne pas vendre et
mourir avec sa terre, qui, de toute façon, sera reléguée aux Barbât, pour
une somme encore plus modique que ce qu'ils lui ont proposé. Il gardera
sa terre jusqu'à sa mort, par fierté, c'est primordial.
Le tournage a duré entre six et huit semaines. L'essentiel du montage
s'est fait en quatre semaines. Les bonnes séquences se sont tout de suite
imposées. Mais il nous a fallu beaucoup travailler en amont ; nous avons
habité dans le Cantal, à une heure de route de Condat, et, entre deux
moments d'attente, nous en avons profité pour nous marier et faire une
donation entre époux. Nous avons créé des liens avec les personnes que
nous avons filmées. La plus belle projection a été la première, que l'on a
faite dans le village de Condat. Nous avions réquisitionné le gymnase et
fait appel à un projectionniste itinérant. La tenancière du café, à côté de
chez le notaire, nous disait : « Vous savez, ici, à part le foot... Vous risquez
de ne pas avoir beaucoup de monde, les gens ne bougent pas trop. » Nous
étions un peu inquiets. En fait, il n'y a pas eu assez de place, les gens
sont arrivés de tous les hameaux alentour. Depuis la Libération, , ils
n'avaient jamais vu autant de monde ! Nous avons dû rajouter des bancs,
le gymnase était comble. Le notaire faisait les cent pas, il était blême. Il
y avait tous les protagonistes • du film, les Barbât, les Pallut, Chanet,
Gauthier... C'était inespéré. Le maire n'arrivait plus à parler parce qu'il
n'avait jamais eu autant de gens devant lui. Ce qui était formidable, c'est
que les Pallut comme les Barbât avaient le sentiment d'avoir gagné. Nous
avons eu beaucoup de presse locale... Chanet et Gauthier sont devenus à
leur façon des héros locaux. "

https://fr.wikipedia.org/wiki/Artense


mercredi 5 juillet 2023

In memoriam : Bernard Faurel

 On m'apprend le décès de Bernard Faurel. Ses obsèques auront lieu le 7 juillet 2023  à l'église de Panazol.


Bernard était fils de coiffeurs, avenue Marceau. Il habitait sur l'autre rive du Couchou ! Nous nous  retrouvions au milieu du Couchou pour pêcher les têtards. Nous vivions une époque où le premier ministre qui s'appelait un président du conseil, n'avait pas encore décidé d'une certification de « savoirs verts » pour les collégiens ! 

On se retrouvait aussi au patro. Je me souviens qu'à Puyjolet Bernard courait vite, une fois pour éviter de se faire prendre sa ... (le mot m'échappe) qu'on mettait à la ceinture, il est rentré dans une clôture de barbelés. Ses lunettes ont protégé ses yeux. Il courait vite aussi au foot. 

Bernard était membre de l'Union Musicale.

Bernard Faurel porte de lunettes, est sous Jean-Pierre Fabrègue, celui qui a donné son nom au https://saint-yrieix.fr/culture-et-loisirs/les-espaces-loisirs-culturels/620-2/ et à la droite de Jean Gourba au rang du bas.
 

Nous avons été tous les deux "externes surveillés" à notre demande. Cela signifiait qu'à la fin des enseignements, nous avions le "quatre-heure" des pensionnaires. Pas extra ce quatre-heure. La "vache qui rit" n'en était pas - et ce n'était pas une "vache sérieuse" - était bien rassise. Sinon on avait de la pâte de fruit avec le morceau de pain. Puis c'était l'étude. En réalité, nous n'étions le plus souvent pas surveillés. On se surveillait tout seuls. On était là pour faire les devoirs. L'intérêt de l'étude c'était de pouvoir s'entraider. Et aussi, on n'avait pas à allumer le feu ! On n'avait pas à remplir le poêle à mazout.

Au tout début de la covid, j'ai perdu un autre copain. Bernard Dutheil. Lui était pensionnaire, et quand le ramassage scolaire a été mis en place, il faisait comme d'autres il quittait l'étude. ...et à la ferme devait participer aux travaux de la ferme. Les ministres n'ont jamais parlé de cet effet du ramassage scolaire !

Je ne sais plus si c'est après le premier Bac, ou après le deuxième Bac (eh oui !) , j'ai eu mon premier emploi l'été. C'était à l'Imprimerie Fabrègue *, Imprimerie des mairies (maintenant, Fabrègue n'a plus le droit à cette appellation et l'imprimerie a été vendue). Avec Bernard, il y avait aussi Jean Gourba **

Après le deuxième bac, nous avons tous les deux suivis les cours de télé-enseignement (sans télévision !), lui pour se préparer à sciences éco, et moi pour faire SPCN (on avait fait en terminale Philo ! j'étais en première C', latin, maths. Mais cette année là il y avait eu pas mal de collés au bac maths élém car la question posée n'avait pas disait-on été traité par le prof de maths.

Et alors que je faisais un tour de l'Auvergne à vélo avec mon ami Claude Faucher, une prof de sciences nat dans un camping m'a dit qu'il n'y avait pas de postes au Capes et que la recherche pétrolière c'était fini... Alors comme le cours servait aussi pour sciences éco et que j'avais aimé étudier la crise de 29 en histoire, j'ai suivi Bernard à Limoges. Il y a fait les deux premières années au Présidial. Je n'y ai fait que la première. Je n'avais pas aimé le fait que c'étaient des profs de Poitiers qui faisaient passer l'oral alors que nous ne savions ce qu'ils faisaient dans leurs cours. On s'est retrouvé un an plus tard.

Et avec lui, j'ai fait aide piqueteur pour réaliser le plan de la ligne téléphonique entre Limoges et Saint-Yrieix. Je me souviens qu'il avait quitté l'emploi pour la rentrée à Poitiers. Je pensais que les cours commenceraient en retard. Ce ne fut pas le cas. Et Bernard m'a permis de rattraper ces cours en me passant ses notes.


* Le groupe Sprint a repris fin 2021 l'imprimerie Fabrègue, à Saint-Yrieix-la-Perche (Haute-Vienne). Cette opération de croissance externe vise à diversifier l'offre du groupe qui détient dix sociétés et investira dans Fabrègue deux millions d'euros en trois ans.(La Tribune)

https://saintyrieixlaperche.wordpress.com/2019/04/09/fabregue-a-100-ans-limprimerie-familiale-de-saint-yrieix-la-perche-en-sept-dates/

** a terminé sa carrière comme contrôleur général des services actifs de la police nationale

*** de nos jours voici ce que l'on trouve sur le métier de piqueteur !

"Le piqueteur est le professionnel qui permet l'installation d'un réseau de fibre optique dans une zone donnée.

La mission du piqueteur se décompose en plusieurs étapes :

  • procéder à des relevés métriques sur le terrain et analyser les conditions d'installation (première ou nouvelle installation de fibre) afin d'estimer la faisabilité du projet
  • réaliser les premiers plans d'implantation en collaboration avec les dessinateurs-projecteurs
  • encadrer le déploiement du projet en veillant à la qualité du travail des équipes ainsi qu'au respect des normes de sécurité.

Le piqueteur est en charge d'un reporting régulier au commanditaire.

Quelles sont les compétences attendues ?

Le piqueteur possède de solides compétences en électronique, électricité et informatique. Organisé, méthodique, il doit pouvoir s'appuyer au quotidien sur un excellent sens de l'observation, de l'analyse et de la synthèse. Il maîtrise les logiciels d'aide à la conception de réseaux : Autocad, STARR...

Le piqueteur est un professionnel de terrain, où il doit faire montre d'autonomie et d'initiative. Il est mobile, adaptable. Malgré tout, un bon relationnel et un grand sens du collectif assurent une bonne transmission des informations. Son respect des règles de sécurité garantit la tranquillité de ses missions.

De solides compétences rédactionnelles sont nécessaires pour rédiger les rapports. "

On ne parle pas de l'aide ! de notre temps, on tirait la chaîne d'arpenteur et on la tentait avec un piquet qu'il fallait parfois piquer dans les orties. Mais c'est ainsi qu'en septembre/octobre j'ai trouvé ma première oronge des Césars !

lundi 3 juillet 2023

Des écrevisses de Brière ou du lac de Grandlieu au canon à écrevisses , à la bande à Möbius et à la courroie de la scie de mon papa

 


Il n'y a plus d’écrevisses
 
 
"

En France métropolitaine8 vivent théoriquement trois espèces autochtones (toutes en voie de disparition), dont l'écrevisse à pattes rouges (Astacus astacus), principalement, mais aussi Austropotamobius torrentium et Austropotamobius pallipes, actuellement « réfugiée » dans quelques secteurs apicaux de sous-bassins versants, mais ces zones sont vulnérables aux effets du dérèglement climatique et écologiquement insularisées par « les espèces exotiques qui progressent de plus en plus vers l’amont »9,10.

Les enquêtes périodiquement faites par le Conseil supérieur de la pêche puis l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques (ONEMA) depuis 1977, ont toutes montré une expansion forte et continue des espèces exotiques et le recul des espèces natives, qui semblent avoir été décimées par une maladie puis fortement concurrencées par deux espèces exotiques introduites : l’écrevisse du Pacifique (Pacifastacus leniusculus) et l’écrevisse de Louisiane (Procambarus clarkii) qui ont montré la plus forte expansion géographique9, ainsi que par l'écrevisse américaine (Faxonius limosus) et peut-être plus récemment (depuis les années 2000) par d'autres espèces introduites (Orconectes juvenilis, Astacus leptodactylus et Faxonius limosus, ces trois espèces étant par exemple présentes en Bourgogne au début des années 200011). Localement les dernières écrevisses natives de France métropolitaine doivent aussi faire face à deux espèces de crabes d'eau douce introduites (respectivement de la famille des Grapsidae et des Potamidae)11.

Les échantillonnages scientifiques ont montré que P. leniusculus a beaucoup progressé de 2000 à 2006 « certainement responsable de la recrudescence des cas de peste (Aphanomyces astaci) » selon l'ONEMA11.

Un plan d’action national « écrevisse » cherche à protéger et restaurer cette espèce9,12.

D'autres espèces sont présentes en outre-mer dont en Guyane."

 
 
  dans le Gallet la frontière entre Dordogne et Haute-Vienne. Mais il y en a en Briere
 
 
Interdit de les transporter vivantes. Il faut les éradiquer. Mais il faut payer le permis de pêche ! pour aller pêcher des mulets dans étier de Pont-Mahé, c'est gratos. Je sais faire de l'économie domestique. Ces écrevisses sont des américaines. Et comme je n'ai pas de fagots et l'abattoir de Saint-Yrieix pour la bidoche, il me reste le marché de Talensac à Nantes.

Et puis ma femme, bretonne, préfère les langoustines royales. On en trouve aussi des agitées au marché de Talensac. C'est cher, mais y a de la chair !
 
C'est quand le retour des goujons et des écrevisses de boomers ? Chirac a dit qu'il se baignerait dans le Couchou à leur retour. Et Emmanuel Macron ?
Hollande a dit que la route venant de Tulle est en trop mauvais état. 
 
 
"Les enfants ont découvert de nombreuses écrevisses de différentes espèces, dont quelques autochtones et des Américaines, et de multiples petits mollusques et crustacés, tous prouvant la bonne santé (relative) du « Couchou »."  
 
"Chemin faisant, un premier arrêt a été fait et les enfants ont pu voir des truites. « Il s’agit de truites fario. À l’origine, ce sont de petits saumons, qui sont venus de l’océan. Ils se sont plu dans nos rivières, y sont restés et ont évolué. C’est un poisson fragile, car il aime les eaux propres et se nourrir en abondance. C’est grâce à des poissons comme celui-ci et à des petits mollusques et crustacés, que nous pouvons savoir si une eau est saine."
 
 
P.S. j'ai des balances à vendre ! toutes neuves !

Et le canon à écrevisses ? vous connaissez la montre à moutarde
 
 
, mais pas ce canon ? 


Magnifique ! 


Bien que le ruban de Möbius puisse n'apparaître que comme une curiosité mathématique ou une construction artistique, cette disposition était souvent utilisée dans le monde industriel du XIXe siècle lorsque les machines fonctionnaient à partir de courroies. Les courroies étaient croisées à la jonction afin d'user les « deux côtés » de la courroie en même temps. En fait, la description du ruban de Möbius fera apparaître que la courroie n'avait qu'un seul côté. 

et pas que de la scie, de la courroie du banc de cordonnier de mon père ! 

A la fac des sciences de Rennes




dimanche 2 juillet 2023

"La relativité d’Albert en passe d’être contredite ! "

 

Etienne KLEIN
@EtienneKlein

" Breaking news : 

la relativité d’Albert en passe d’être contredite ! 

 

Les mesures en cours semblent indiquer que la vitesse avec laquelle d’aucuns disent aujourd’hui le contraire de ce qu’ils disaient il y a peu sans reconnaître qu’ils ont changé d’avis dépasse celle de la lumière. "


 

Bé oui, mais Étienne ne sait pas que tout dépend l'environnement et d'où on parle (il n'a pas étudié en mai 68 l'Etienne !) et aussi que tout dépend de l'objectif. Un objectif n'est pas objectif. Quand on prend des photos avec un appareil photo à l'ancienne, on le sait !  On apprend ça dans notre plus grande école scientifique française, Sciences Popo. Et ses meilleurs vont se produire chez Hanouna. Il faut être costaud pour tenir 1/4 d'heure devant les hanouneries.

Quand mon papa m'apprenait comment manipuler une arme quand je faisais un arc en châtaignier du Limousin

ou lorsque j'ai eu mon premier pistolet qui tirait des flèches avec un bout de caoutchouc comme celui des bouchons des "systèmes" ces fermetures de bouteilles de limonades constitués d'une partie en porcelaine avec un anneau de caoutchouc.

 Je viens de lire ce "thread" sur Twitter. Un thread ! un terme découvert en informatique. Mais comme je suis boomer, sa signification était alors (mais l'est toujours !) :

(Anglicisme informatique) Synonyme de fil d’exécution ou processus léger : processus inclus dans un autre processus et qui utilise les ressources de cet autre processus

De nos jours, c'est Twitter qu'on préfère, alors ça signifie :

(Anglicisme informatique) Synonyme de fil de discussion ou fil d’intérêt : suite de messages (généralement des courriels) contenant des informations étroitement associées et que l’on peut isoler facilement des autres messages[2].

Hum ! "étroitement associées" Bé oui, l'une derrière l'autre. Ce qui me fait penser à  Brel, "nous étions le suivant de celui qu'on suivait" 

https://www.youtube.com/watch?v=XVWaGlpOPnY&t=42s

Je ne vais pas vous faire un cours sur ce qu'est une suite en maths. Mais vous pouvez consulter https://www.amazon.fr/SPECIFICATION-FORMELLE-AVEC-Henri-Habrias/dp/2746203022 Vous recevrez mes félicitations si vous trouvez les erreurs. L'éditeur qui vendait sa boite était pressé. Et a publié une version .... et a refusé que soit publié un erratum. D'ailleurs vous constaterez que depuis bien longtemps il n'y a plus d'erratum dans les livres. On a fait des progrès en business. Y a bien que Donald Knuth, l'auteur de la Bible des algorithmes (qui continue à la faire grossir) qui envoyait un chèque à ceux qui trouvaient une erreur. Ceux qui ont reçu ce chèque ne l'ont jamais encaissé, mais l'ont encadré !

https://fr.wikipedia.org/wiki/Donald_Knuth


 

Et si on disait simplement "voici le texte lu sur touiteur" ?  Mais nous n'aurions pas joué notre rôle d'ancien pisseur dans un violon (professionnel !)

Merci au breton

François Narolles
@FNarolles
 
" Ainsi, si on respecte ces quelques règles, et même si le reste n'est pas parfait, on évite les accidents les plus graves. Nos armées se sont par exemple dotées de  règles absolues, que chaque militaire apprend par cœur. Chaque militaire. Par cœur.
 
Règle  N°1 Toute arme doit être considérée comme chargée.
 
Ça veut dire qu'on ne croit jamais un "T'inquiète, c'est pas chargé". Ou "j'ai vérifié, il n'y a pas de cartouche en chambre". En toute circonstance, on considère que les quatre règles s'appliquent, et que l'arme est chargée.

Règle  N°2 Ne jamais pointer ni laisser pointer le canon d'une arme sur quelque chose que l’on ne veut pas détruire.
 
Simple, basique. On ne pointe jamais pour mettre en joug, pour faire peur, pour dissuader, pour se faire obéir. Jamais. Au plus haut niveau de tension, on sera donc en mesure d'adopter une posture "contact", arme dirigée dans la direction d'un objectif, mais pointée vers le bas.

Règle  N°3 Garder l'index hors de la détente tant que les organes de visée ne sont pas sur l'objectif.
 
Celle-là, il faut bien la comprendre. C'est le fameux "index sur le pontet, bordel !" que crieront tous les militaires dès qu'un film ou une série montrera un personnage avec le doigt mal placé, ce qui dénote un manque d'acculturation de l'équipe du film.

À ce moment là, la décision de tirer a déjà été prise. Il ne s'agit plus que de viser précisément selon les conditions, mais on a bien l'intention de tirer. Sinon, pas de doigt + pas de canon levé dans la direction d'un adversaire.
 
Règle  N°3 Être sûr de son objectif et de son environnement.
 
Facile à comprendre, difficile à appliquer sans entraînement : il faut vérifier qu'il n'y a pas quelque chose que l'on ne veut pas détruire entre notre arme et l'objectif, voire derrière l'objectif. Ça inclue les gens qui circulent, sa propre position si on est en mouvement, etc.
 
Dit autrement, les balles ne se perdent pas toutes seules, et c'est une faute professionnelle de ne pas y réfléchir avant de tirer. 
 
Si en lisant ça, vous vous dîtes "c'est bien beau, mais ça ne tient pas sur le terrain", c'est probablement que vous devez en rester au pistolet à eau, et que vous n'êtes pas apte à recevoir une arme dans l'exercice de votre métier.
 
Clin d'œil : dans un traditionnel enterrement de vie de garçon avec paint ball auquel j'ai participé pour célébrer le futur engagement d'un camarade militaire, nous avons souri quand nous avons remarqué que nous baissions nos canons ou gardions l'index sur le côté.  
 
… c'est que bien apprises, les règles deviennent automatiques.  "
 
Mon papa ne m'a pas dit tout ça. Mais j'ai toujours retenu l'essentiel : la règle 1 et la règle 2. Et je l'ai transmise (j'espère !) à mes enfants et petits-enfants.

Mais je n'ai pas la force des vidéos et autres jeux... Olala, j'en vois qui vont dire que je suis un dévot de notre président * ! Sur Touiteur on est surveillé par des citoyens consciencieux et savants.
 
* j'avoue que je n'aime pas sa "déco" de son bureau de l'Elysée.
 
 

samedi 1 juillet 2023

Quand la chaîne de valeur de la poudre passe par la route de Sainte-Luce à Nantes

 

Scène vue. Et j’apprends par les voisins que c'est fréquent. D'autres ont vu à d'autres dates. La dernière fois il y a deux jours. Route de Ste Luce, au niveau du tram. Un soir, rue bloquée par deux maousses Bmw pimpantes. Des types en discussion. Les automobilistes s'arrêtent. Ne bronchent pas. Puis arrive une troisième BMW doublant la file d'attente. Ouverture de coffre, transfert de paquets. Avant les Emeutes, quand on a eu plusieurs jeunes tués par d'autres du business as usual. Sans manif, sans marche blanche. Et avec les renforts
de FDO arrivés à Nantes. Depuis que je lis twitter, je sais que nous et les voisins on aurait dû aller discuter le bout de gras avec les mecs. Mais avec nos petites voitures on aurait eu l'air d'idiots.


Et puis tout ça ce fut dans le calme.

Même pas la musique chiante du Super-U, du business humaniste.
 
P.S.
 
On se cultive. On n'avait pas appris ça dans nos études de sciences économiques quand nous étions escholier pictave.
 
"C’est un nouveau phénomène qui prend de l’ampleur : de nombreuses voitures sportives de location parcourent les villes de France. Voici pourquoi elles sont immatriculées en Pologne.

Ces dernières années, de nombreuses voitures de location provenant de Pologne donnent du fil à retordre aux forces de l’ordre. Ce sont souvent de puissantes voitures sportives allemandes : Audi, Mercedes-AMG et autres Porsche, qui sont louées par de jeunes amateurs de bolides pour flamber dans les cités.

Leur point commun ? Elles sont majoritairement immatriculées en Pologne, ce qui pose la question de leur provenance. Ce phénomène, relativement nouveau, s’étend progressivement à travers toute la France, après avoir conquis la région parisienne. On vous explique pourquoi ces voitures sportives de location sont immatriculées en Pologne !" 6 juillet 2022 https://www.autoplus.fr/actualite/de-nombreuses-voitures-de-location-immatriculees-pologne-588669.html#audi-rs-3-de-nouveaux-pneus-semi-slick-en-option-556913#item=1

Et la couleur jaune semble tendance ! 

Mais pour le business, c'est le noir. Et je n'ai pas fait attention à la plaque. La police nous a appris qu'elle avait saisi un appareil à compter les billets. Ces billets, un bon chef d'entreprise, les réinvestirait.


La fabrique de vannerie rustique L. Raynaud à Châlus (fauteuils en clisses de châtaignier), années 80

 Nous avons acheté plusieurs articles de cette entreprise. Fauteuils, tables. J'ai ainsi retrouvé le seul fauteuil qui existait dans la maison de mon enfance dans les années 40-50, le même existait chez ma mémé à Excideuil. Et elle en vendait (avec des graines, et des toiles cirées, rue Jean Jaurès). 


 

J'ai retrouvé le tarif. Il est bien sûr en francs.

Le voici :

Vous noterez que sur ce document, il n'y a pas de numéro de téléphone et pas de date. Que le code postal, c'est le numéro du département., et pas de numéro route du Lac.

Le numéro de C.C.P. est court. Comme celui du registre des métier. Et Saint-Yrieix, n'est pas Saint-Yrieix-sous-Aixe ! mais La-Perche.


https://saintyrieixlaperche.wordpress.com/2021/03/01/japprends-que-le-dernier-fabricant-de-fauteuils-en-clisses-de-chataignier-est-parti-en-retraite-p-raffier-recherche-un-successeur/

 

https://saintyrieixlaperche.wordpress.com/2021/01/07/romy-schneider-au-bord-de-la-piscine-dans-un-fauteuil-en-clisses-de-chataignier-de-chalus/

 

https://saintyrieixlaperche.wordpress.com/2019/01/18/les-meubles-en-clisse-de-chataignier-du-limousin/ 


https://saintyrieixlaperche.wordpress.com/2017/12/31/les-fauteuils-en-clisse-de-chataignier-le-luxe-de-la-decoration-en-finlande/

 

https://saintyrieixlaperche.wordpress.com/2015/04/10/un-fauteuil-en-clisses-de-chataignier-dans-le-film-les-orgueilleux-michele-morgan-gerard-philippe/

 
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