Ceux qui y sont passé se souviennent d'Olivier-Martin.
J'ai trouvé sur la Toile pour Félix Olivier-Martin :
- ceci.
- OLIVIER-MARTIN Félix, L'Inconnu Napoléon Bonaparte. Paris, Robert Laffont 1952, in-12 broché, couverture illustrée, 281 pages.
- Olivier-Martin, Félix. Étude sur les régences: I. Les régences et le majorité des rois sous les Capetiens directs et les premiers Valois (1060–1375) . Paris, 1931.
Certains étudiants racontaient qu'il avait dit en chaire : "J'ai été condamné à mort et je suis encore vivant" suivi d'un rire sardonique, le fameux rire sardonique d'Olivier-Martin, peur des étudiants de Limoges qui devaient passer l'oral de 1ere année devant se prof qu'ils n'avaient jamais vu. Je me souviens encore du lieu où se passait l'oral.
J'ai trouvé sur la Toile pour François Olivier-Martin :
- Fr. Olivier-Martin, Les lois du roi, Paris, Les cours de droit, 1943, rééd. Paris, LGDJ, 1997, p. 210.
- Fr. OLIVIER-MARTIN, Le déclin et la suppression des corps en France au XVIIIe siècle,
- Fr. OLIVIER-MARTIN, L’action juridique des «états» ou «ordres» en dehors des Assemblées périodiques, en France, aux XVIIe et XVIIIe siècles
- OLIVIER-MARTIN François, " Le déclin et la suppression des corps en France au XVIIIe siècle ", in Commission internationale pour l’histoire des assemblées d’États, L’organisation corporative du Moyen Âge à la fin de l’Ancien Régime, Louvain: Bibliothèque de l’université, 1937, t.II, p.155 à 159.
- OLIVIER-MARTIN François.
L' ABSOLUTISME FRANCAIS. Paris, Editions LOYSEL, 1988, broché, 17x24 cm, 359 pages, réédition de la thèse de doctorat Histoire du droit public français, exemplaire de travail avec mots ou phrases soulignées et annotations.
- "Même si le contact entre historiens du droit et sociologues était maintenu par Paul Huvelin, Henri Lévy-Bruhl et Gabriel Le Bras [70], la concurrence disciplinaire présente dès les années 1900 orientait l’histoire du droit vers un repli identitaire. La société d’histoire du droit, créée en 1913, poursuivait apparemment les objectifs d’Esmein, encourageant les études de droit comparé ou d’histoire contemporaine jusqu’aux réformes postérieures à la rédaction des codes. Elle privilégiait néanmoins les travaux sur le Moyen Âge et le droit coutumier sous l’impulsion de Jobbé-Duval, Fournier, Chénon, Genestal et Champeaux [71]. L’évolution idéologique de nombreux historiens du droit contribua à accentuer ce phénomène : le courant traditionaliste et monarchiste, déjà représenté par Chénon (1857-1927) [72], trouva son héraut avec la personnalité de François Olivier-Martin (1879-1952), partisan de l’idéologie corporatiste qui inspira le régime de Vichy [73]. L’entre-deux-guerres fut particulièrement favorable à cette orientation passéiste, qui ne facilita pas non plus le dialogue entre les historiens du droit, les juristes positivistes de plus en plus spécialisés [74] et les novateurs en matière de sciences humaines. " (extrait de
cette page)
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