Lu dans le Magazine Littéraire :
Ramon Fernandez (un grand intellectuel collabo des années 1930-40, et père
de Dominique Fernandez, académicien français actuel) : "J'ai embrassé le
fascisme par amour pour Jacques Doriot. Doriot était vulgaire, massif,
inculte... il était tout ce que je ne suis pas. Il me fascinait".
Etonnant, n'est-ce pas !
Son fils, Dominique Fernandez écrit : "Cela restera toujours le plus grand
mystère de ma vie : pourquoi mon père, cet homme si fin, si brillant,
pétri de culture anglaise et d'idées libérales, étranger à tout
antisémitisme, a-t-il pu se ranger dans le camps des nazis, au point même
d'entretenir une amitié poussée avec Hitler, et de déclarer partout qu'il
n'avait jamais rencontré d'homme aussi délicieux que le Fürher ?"
A la COP29, un accord au goût très amer pour les pays du Sud
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Les Etats présents à la conférence sur le climat à Bakou se sont engagés,
dimanche, à verser 300 milliards de dollars par an pour aider les pays en
dévelop...
Il y a 2 heures
1 commentaire:
La fascination du pouvoir... On pense à Douch et à tous ces Khmers rouges issus de la classe intellectuelle.
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