" Moi qui vous parle, j'ai vu une matrone méditerranéenne promener la
crotte de son nourrisson au milieu d'un cercle d'amis, au moment de
l'apéritif, en nous incitant à nous extasier pour encourager le héros.
Dans son coin, le héros faisait des mines, prenait la pose, faussement
timide, en fait ravi. On sentait que déjà, dans son petit crâne à peine
fini, il tirait de la scène deux leçons fondamentales : la première, que
tout ce qui sortirait de lui constituerait un cadeau pour l'univers. La
seconde, qu'on lui accorderait le droit imprescriptible d'emmerder ses
contemporains. "
lu sur un forum au sujet d'une critique de Festins secrets de Pierre Jourde
Ce à quoi, un lecteur, m'écrit :
"La scène a du se reproduire plusieurs fois vu le nombre de gens à qui
peut s'appliquer la phrase de Julos Beaucarne :
"A force de péter trop haut le cul prend la place du cerveau"
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