" . Ainsi, en 2010, un professeur de l'université de New York, Panagiotis Ipeirotis, passa-t-il les copies de ses étudiants dans une de ces moulinettes et eut la désagréable surprise de découvrir qu'une fraction non négligeable d'entre eux trichaient. Après que 22 de ses 108 élèves eurent reconnu avoir plagié les textes de tierces personnes, M. Ipeirotis cumula les désagréments. Non seulement l'ambiance dans ses cours devint très tendue mais le professeur, qui constatait que certains des jeunes gens n'avaient que la fraude en tête, vit son évaluation par ses étudiants chuter... et son salaire, qui lui était directement lié, avec ! Au terme de cette expérience, Panagiotis Ipeirotis a écrit en 2011 un billet de blog intitulé "Pourquoi on ne me reprendra pas à poursuivre les tricheurs". Sans doute faut-il préciser qu'il enseigne non pas à de futurs chercheurs mais à celles et ceux qui seront les managers de demain, puisqu'il travaille pour la Business School de l'université de New York, une des plus prestigieuses du pays..."
http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2012/01/26/le-plagiat-un-mal-qui-frappe-aussi-la-science/#xtor=RSS-3208
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