Lu dans le Magazine Littéraire :
Ramon Fernandez (un grand intellectuel collabo des années 1930-40, et père
de Dominique Fernandez, académicien français actuel) : "J'ai embrassé le
fascisme par amour pour Jacques Doriot. Doriot était vulgaire, massif,
inculte... il était tout ce que je ne suis pas. Il me fascinait".
Etonnant, n'est-ce pas !
Son fils, Dominique Fernandez écrit : "Cela restera toujours le plus grand
mystère de ma vie : pourquoi mon père, cet homme si fin, si brillant,
pétri de culture anglaise et d'idées libérales, étranger à tout
antisémitisme, a-t-il pu se ranger dans le camps des nazis, au point même
d'entretenir une amitié poussée avec Hitler, et de déclarer partout qu'il
n'avait jamais rencontré d'homme aussi délicieux que le Fürher ?"
Etats-Unis : Donald Trump finalise son gouvernement avec la nomination de
sa secrétaire à l’agriculture
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Brooke Rollins, présidente du groupe de réflexion America First Policy
Institute, directrice du Conseil de politique intérieure de la Maison
Blanche à la f...
Il y a 3 heures
1 commentaire:
La fascination du pouvoir... On pense à Douch et à tous ces Khmers rouges issus de la classe intellectuelle.
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