Qui bat des records d'avis défavorables sur la Rentela (la Toile, le web, le oueb).
https://www.mesopinions.com/petition/nature-environnement/racket-smd3-dordogne/78886?commentaires-list=true
Ah ah ! on va avoir notre consultation ! Voulez-vous des containers avec de la musique quand on ouvre la gueule des bennes ? du rock, du bruyères corréziennes, du rap ?
https://smd3.fr/le-smd3-lance-une-consultation-aupres-des-usagers/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Syndicat_mixte
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Le syndicat mixte est un type de structure de coopération intercommunale qui existe en France, créé par le décret-loi du , afin de permettre à des collectivités de s’associer entre elles ou avec des établissements publics. Un syndicat mixte est un établissement public de coopération locale (et non un EPCI) qui peut associer des collectivités territoriales ainsi que des groupements de collectivités1.
On parle de syndicat mixte car la structure peut associer des collectivités de nature différente, comme des communes et un département par exemple. La structure peut associer également des établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) entre eux comme avec les pôles métropolitains.
Il existe un débat sur le fait de savoir si les syndicats mixtes constituent une catégorie ou une simple modalité de coopération[réf. nécessaire] car ils font l'objet d'un livre à part dans le code général des collectivités territoriales."
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- Représentation au sein du comité (art. L. 5212-7)
Sauf accord contraire, chaque commune est représentée par deux délégués titulaires. Ces délégués sont élus par le conseil municipal à la majorité absolue, pour la durée du mandat du conseil municipal.
La loi du relative à la démocratie de proximité introduit une nouvelle disposition : pour l’élection des délégués des communes et des EPCI au comité syndical, le choix peut porter sur tout citoyen réunissant les conditions requises pour être conseiller municipal ; le choix des EPCI à fiscalité propre peut porter sur l’un des délégués communautaires ou sur tout conseiller municipal d’une commune membre."
Il faudrait en informer les Périgourdins ! et que les communes nous donnent le nom de leurs deux délégués ! Mais ce n'est pas la commune qui délègue, c'est le SMCTOM ! il faut déchiffrer le mille-feuilles. Est-ce que le mille-feuille est un nid de plaçous ?
Quand on est entre le sud de la Bretagne et le Périgord/Limousin et un boomer on a connu le scandale du temps d'Olivier Guichard. Un des cadres du SIVOM avait détourné suffisamment d'argent pour construire des résidences aux Antilles ! mais les élus n'avaient rien vu lors des CA ! je sais... j'ai été membre de CA d'organisme public. La première fois j'ai demandé qu'on me dise sur quel compte était pris les fonds pour le pot que j'avais vu tout prêt à l'entrée de la salle. Le comptable consulté par le Pdt n'a pu répondre. Alors on a continué de voter sur des numéros. Et ben, à l'unanimité des votants. Guichard a dit "bé, vous paierez" en s'adressant aux citoyens. On était déjà dans la société du "numérique", ben dame ! eh con ! ben couillon ! fidélouère, fidélou, fidégarce ! (1)
Il paraît qu'à Sciences-Popo de Paris peut-être qu'on va lancer des thèses et des synthèses sur le sujet.
https://smd3.fr/wp-content/uploads/2020/10/MEMBRES-COMITE-2020-tit-et-supp-sans-contacts.pdf
Quand on s'adresse à la commune, l'interlocuteur botte du côté de la Rampinsolle à Coulounieix – Chamiers !
C'est génial une telle organisation ! surtout quand on nous sort du "participatif" "démocratie", autant que de "au jour d'aujourd'hui", de "du coup" et de "voila voila ! "
https://smd3.fr/presentation-smd3/
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Le SMD3, Syndicat Mixte Départemental des Déchets de la Dordogne, est une collectivité territoriale créée par arrêté préfectoral du 22 décembre 1995 afin de mettre en œuvre le plan départemental de gestion des déchets ménagers et assimilés de la Dordogne.
Le SMD3 couvre la quasi-totalité du département de la Dordogne : 497 communes, une population de 399 396 habitants représentant 97% de la population totale du département. "
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Parlons ordures, déchets ménagers et autres...
Je me souviens de l'ancien maire de Jumilhac qui dénonçait les pratiques consistant à mettre à la poubelle l'herbe de la tonte des pelouses, etc. Je me souviens aussi du brûlage de cette herbe.
Et des déchets déposés à côté de la benne, du verre cassé. Et aussi des tas de bouteilles dans les fossés. On trouve encore dans les bois des carcasses de voitures. De quoi faire des photos tendance !
Et cette géniale législation française sur l'amiante, la plus contraignante du monde. Et son effet... de l'amiante dans les fossés... et tous ces toits en amiante-ciment autour de chez moi en pleine ville. Y a pas que les toits qui abritent les bestiaux en Limousin ! ...sans parler des plaques d'amiante qui se retrouvent dans les chemins et nous évitent la gadoue, la gadoue chantée par Pétula. Le faux-culisme se porte aussi bien que l'écologie des balcons et des plateaux de télé.
Nous composons et comme nous mangeons beaucoup de légumes, on a de quoi en produire ! mais on ne pratique pas l'agriculture vivrière. On serait mort depuis longtemps ... de faim. On économise. On prend le moins possible la voiture. Même en Périgord vert. Tant qu'on peut. Etc.
Inciter à réduire ses déchets, bien sûr. Mais - le SMD3 n'y est pour rien ! - obliger à mettre à la casse une voiture qui a 50 000 km parce qu'on a acheté un diesel parce qu'on a écouté les écolos qui nous disaient qu'il fallait réduire le C02 (alors que le vendeur qui nous connaît disait "ce n'est pas rentable pour vous, vous ne roulez pas assez" ! et cette voiture de 33 000 km en 20 ans, aussi à la casse ! Zones à Forte Exclusion votée par nos députés ! on a honte de ces déchets légaux !
https://www.youtube.com/watch?v=J5dlOVOqERM
Ne rigolez pas ! on est au top of the top in Périgord !
"Le SMD3 teste une application pour permettre aux usagers d'ouvrir les bornes à ordures ménagères et payer en ligne. Accessible aux touristes, elle devrait être élargie à tous les Périgourdins."
https://www.mecontents-collecte-dechets-dordogne.com/lassociation-amcodd/
https://www.mecontents-collecte-dechets-dordogne.com/qui-sommes-nous/
(1)
Directeur
du SIVOM depuis vingt ans, Roger Potot gérait seul un budget de 300
millions de francs, avec la confiance totale de son président, Olivier
Guichard, qui lui avait accordé une délégation de signature. Le SIVOM
(syndicat intercommunal à vocations multiples) ne comptait ni directeur
financier, ni directeur juridique ou technique et seulement une dizaine
de chargés de mission cantonnés à de simples tâches d'exécution. Le
directeur adjoint recruté en 1991 fut relégué à la rédaction de statuts
qui n'existaient pas.
Ce
qui fonctionnait en 1966 pour les cinq communes fondatrices du SIVOM,
aux compétences réduites alors à l'assainissement au réseau d'eau
potable, a totalement dérivé lorsque le syndicat est devenu une sorte de
« société de services », sans renforcer ses structures, pour 15
communes adhérentes « à la carte ». Avec des compétences élargies au
tourisme, à la protection des marais salants et au développement
économique des zones humides. « Une machine à dépenser pour des élus venant y chercher plus qu'ils ne voulaient y donner »,
fit remarquer son ex-directeur adjoint, cité comme témoin, pour qui les
communautés de communes et les districts offrent des garanties plus
nombreuses contre ce genre de déboires.
Les « absences » des élus
Robert
Pannafieu, trésorier principal de La Baule, mit fin au « système Potot »
: vérification faite, la sous-préfecture de Saint-Nazaire n'avait pas
reçu les délibérations d'un marché pour le contrôle de légalité dont
elle est chargée, alors que Robert Pannafieu avait sous les yeux des
documents transmis par Roger Potot attestant du contraire. Un énième
faux en écriture publique, assorti d'imitation de signatures et de
tampons, par lequel le directeur du syndicat intercommunal espérait
aider la Promaint, société de peinture locale gérée par Freddy Safer, en
sachant sciemment qu'il risquait de compromettre sa carrière.
Fonctionnant
sur un mode passionnel, Roger Potot n'a sans doute par livré le fin mot
de l'histoire. Son amitié pour Freddy Safer reste la seule explication
tangible. Les 19,4 millions de francs détournés ont été entièrement
engloutis par la société de peinture. Ils n'ont pas servi à financer de
formation politique, comme on a pu le croire à l'époque. Se disant usé
par vingt-cinq années de collaboration avec Olivier Guichard, et un
travail harassant faute de collaborateurs suffisants, Roger Potot a
perdu de sa crédibilité quand son goût des voyages fut rappelé par Me
Jean Danet, avocat du SIVOM: ce fonctionnaire territorial de catégorie
A, touchant des émoluments de 21.000 francs sur treize mois, disposant
d'une voiture et d'une villa de fonction sur le remblais de La Baule, a
fait neuf fois le tour du monde.
Reste que les élus du SIVOM, cités
comme témoins, ont montré par leurs oublis, leurs contradictions et,
pour certains, le cumul de leurs mandats, que le « suicide professionnel »
de Roger Potot fut facilité par leurs absences. La stature d'homme
d'Etat d'Olivier Guichard et la toute-puissance acquise dans son ombre
par Roger Potot ont incontestablement retardé l'échéance. Ses «
bricolages administratifs grossiers » auraient dû alerter plus tôt les
fonctionnaires d'Etat, qui depuis la décentralisation ne sont plus
chargés que du contrôle a posteriori, et les élus, devenus mandataires
des dépenses publiques.
Roger Potot a été condamné à huit ans
d'emprisonnement pour les 78 faux et usage de faux en écriture publique
commis entre 1991 et 1993. Freddy Safer, gérant de la société Promaint,
qui a bénéficié des 19,4 millions de francs détournés, a été condamné à
quatre années de prison.
https://www.lesechos.fr/1995/12/lex-patron-du-sivom-de-la-baule-lourdement-condamne-873121
"Pouvez-vous revenir sur l’affaire du SIVOM ?
Un administratif pur avait détourné 6 millions je crois. La technique de Guichard, au SIVOM comme à la région, fut de choisir des hommes à lui. Des techniciens. Il se méfiait des élus. Il demandait à ces hommes de gérer la région, la mairie, le SIVOM comme des préfets. Alors quand vous avez des hommes honnêtes ça va. Quand ce n’est pas le cas… Or X avait au SIVOM les coudées franches. Sur le plan financier, la commission des finances ne se réunissait qu’une fois par an. L’administrateur arrivait avec les documents, on entérinait les données en regardant ce qu’il advenait pour nos communes, et il faisait passer ce qu’il voulait. Guichard lui faisait confiance. Or, il s’est fait jouer. On s’est retrouvé aux assises comme témoins. L’administrateur a fait de la prison. Cela a fait beaucoup de bruits à l’époque et a porté tord à Guichard." in
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