Un correspondant m'écrit :
"Bonjour,
Je me permets de vous conseiller la (re)-lecture des "Tristes" et des "Pontiques" d'Ovide, dans la toute nouvelle traduction (brillantissime !) de Marie Darrieussecq, ingénieusement titrée "Tristes Pontiques" (clin d'oeil à Claude Levi-Strauss, dont nous venons de fêter les 100 ans, couronnés par la parution de son oeuvre dans La Pléiade) :
http://www.pol-editeur.fr/catalogue/fichelivre.asp?Clef=6230
Ovide fut exilé en Roumanie au Ier siècle, sur les bords de la Mer Noire (dans une région que les Romains appelaient Le Pont, d'où le titre de "Pontiques"), sur ordre de l'empereur Auguste qui le condamna pour ses écrits licencieux et irrévérencieux envers le nouveau régime impérial qui se mettait alors en place. Ovide y exprime avec une profondeur indépassable le sentiment de solitude et d'abandon dans lequel le plonge son bannissement. Sa leçon est magistrale : la littérature - et tout spécialement la poésie - est, peut-être, la meilleure façon de survivre !
A titre personnel, je trouve cela TRES réconfortant !"
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