On m'informe :
"A Reims, une prof de lettres a giflé un élève de première, bac pro. (Je précise : élève odieux, classe insupportable depuis le début de l'année, etc., ils étaient en train de lui jeter de la nourriture au visage en la traitant de "guenon").
La prof a immédiatement été suspendue (mesure d'urgence). Dépôt de plainte de parents, avec constitution de partie civile. Le recteur est sur place, et supervise une cellule de crise/aide psychologique pour ces pauvres choupinets meurtris... L'élève giflé a déclaré : "Je ne sais pas si je pourrai revenir un jour dans cet établissement." (ben couillon ! bon débarras !!!)
C'est incroyable. Je suggère qu'on foute les gamins (ET LEURS PARENTS) en cage, et qu'on leur lance des cacahuètes ! "
Je comprends pourquoi les boîtes cathos qui sont sur mon chemin habituel à Nantes ont de nombreux enfants d'immigrés récents dont les parents ont fait passer l'éducation avant la religion. Continuez recteurs, proviseurs et élargissez la fracture. Quel ministre de l'éduc nat met ses enfants dans le public (avant l'entrée à Normale Sup, l'Ena, l'X etc ! qui sont, bien sûr, publiques) ? des noms, des noms ? Même question pour les candidats.
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