- la première fut la 2CV de mes parents qui datait de 1956. Je l'ai amenée à Poitiers en 1969, au Centre d'Essais des Landes et à Montpellier. Je me souviens que je la démarrais en faisant toucher deux fils à l'aide d'un bout de bois auquel mon père avait fixé un morceau de fil de cuivre. Elle a fini sa vie arédienne à Bourdoux. Heureusement j'ai trouvé quelqu'un à qui la donner. Et elle est splendide. Un énorme travail de collectionneur. Mes parents ont remplacé la 2CV par une R4
- une R4 ou 4L d'occasion. Je l'ai amenée à Montpellier en 1971, puis Nantes. Elle a eu vite le plancher rouillé. Bien ! l'eau qui s'infiltrait pouvait sortir. Fin de vie en 1980. Les démarrages étaient aléatoires. Et pour la naissance de mon fils, on était prêt à appeler le taxi !
- un fourgon J7 Peugeot d'occasion aménagé en camping-car en 1977. On l'a revendu suite à une tentative d'intrusion de nuit sur le parking des ferries à Saint-Malo.
- N'osant pas l'utiliser pour "faire" la Corse, on a acheté une 2CV neuve. Elle n'a jamais bien marché. Freins lamentables (en Corse !), moteur faisant des explosions !, extinction des feux inopinément. Citroën nous a baladés. On a réussi à la vendre au bout de 2 ans.
- On a commandé une japonaise Mazda. Qu'on n'a jamais reçue. Sous Giscard, les importations furent limitées. Du coup, on nous a fourni une Ford Escort. Un nouveau modèle. Au bout de peu de km, le moteur était recouvert d'huile ! Le carter était en aluminium. Le serrage des boulons avait entraîné des "bavures"...Ah une idée pour diminuer le poids. A moins de 500 km la courroie d'entraînement a cassé ! et Ford ne nous a pas changé le moteur. La voiture n'a jamais pu fonctionner normalement. Dans les Alpes nous nous faisions doubler par les cyclistes dans le col du Galibier ! Elle n'avait pas de puissance. Et pourtant je ne suis pas un amateur de vroum/vroum. Elle n'a pas duré longtemps !
- On a acheté alors une Jetta VW. Je me souviens qu'on se pinçait les mains pour l'ouvrir. Le coffre était confortable. On a eu quelques problèmes de frein. Ah je sais, si c'est allemand, c'est bon. Bé pas pour nous. Mon fils l'a eu ensuite.
- Alors ce fut une italienne, une Fiat Tipo. On n'en fut pas mécontents.
- J'avais un Cahier des charges : solide, très grand coffre (on campait !), peu coûteuse en réparations, une technique ayant fait ses preuves. Et c'est ainsi qu'on a eu la première Dacia Logan de Nantes. On l'a acheté (9326 euros, clés en main avec toutes les options en octobre 2005) sans en avoir vu une. Une voiture avec une vraie roue (de secours). On parle de sécurité et on vous met maintenant (et encore, on peut ne pas en avoir) une "galette" pour rouler quelques kilomètres. La 2 cv avait une trousse à outils. J'en ai encore !
- Une fois en retraite, il me fallait aller en Pays de Saint-Yrieix et en Bretagne, porter du matériel. Une voiture avec de la place. J'ai eu à faire des déménagements dans la famille. J'ai acheté une Dacia Logan MVC break. Achetée 14 802 euros avec toutes les options en mars 2008. Elle a 12 ans en février 2020 et 165 000 km). On a vendu la première Dacia qui ne roulait pas. Ma femme utilise les transports en commun. Et moi le vélo en ville. Je ne fais peu de kilomètres et ne roule pas en ville (je suis multi-modal, j'ai un vélo - chut ... plusieurs retapés à Velocampus -). Le Diesel ne m'était pas recommandé. Mais j'étais écologiste pratiquant (oui, je sais il faut mieux être écolo patenté !). Alors j'ai pris Diesel. Moins de CO2, moins de consommation de carburant, plus solide. On n'envoie pas à la casse (ah oui, je sais la casse c'est très bon pour la planète et le système). Avec Dacia, j'ai découvert les voitures qui ne tombent pas en panne. Je me suis permis le luxe. Je les ai prises super-équipées ! Et je ne regrette pas. Mais au bout de 13 ans, on m'annonce au Contrôle Technique de l' "opacité" ... de l'échappement. Normal, elle ne vit pas le vroum vroum et je ne lui ai pas fait faire de route depuis mon retour de Bourdoux avant Toussaint !
- Il y a deux ans, pour des raisons de santé, on a dû acheter une voiture pour rejoindre les transports en commun. Elle fait TRES peu de kms. On a cherché une autre solution. On n'a pas trouvé. Ce fut une Fiat Panda d'occasion. Vendue par un grand-père qui n'avait pas fait encore 40 000 km pour aller acheter son journal et son pain. On avait loué en Italie. Fort confortable. Bien pour quelqu'un de petite taille. Le maximum de place avec la longueur minimale. 4 portes. On en est ravis.
Et le futur ?
" Dacia propose sa gamme GPL à un prix très compétitif, sans compromis sur la fiabilité (aucun surcoût par rapport à une version essence équivalente). Le prix du carburant GPL est nettement plus économique (jusqu’à plus de la moitié du prix d’un litre d’essence ou de diesel). Par ailleurs, cette technologie permet de bénéficier d’avantages fiscaux significatifs :
- Exonération totale ou partielle de la carte grise (en fonction des départements)
- Malus écologique à 0€ ou réduit par rapport à une version essence équivalente
- Eligibilité à la prime à la conversion
- Vignette Crit’Air 1 pour tous les véhicules GPL
- Stationnement gratuit ou à tarif préférentiel pour les usagers Disque Vert
- Pour les professionnels spécifiquement : exonération de la TVS pendant 3 ans et récupération de la TVA sur les VP GPL "
Si la consommation moyenne d’une motorisation GPL est légèrement supérieure, au global, le coût du carburant au kilomètre est réduit jusqu’à 30 % par rapport à une motorisation essence et jusqu’à 8 % par rapport à une motorisation Diesel. "
On dispose de deux réservoirs. Il y a passage automatique au GPL quand la voiture est chaude. La technologie n'est pas récente. Je l'ai découverte quand j'ai préparé une étude de cas pour former le personnel des personnels de collectivités territoriales à l'Ecole d'Angers. En effet, le sujet était la gestion d'un parc d'engins à moteurs. Je me souviens d'avoir fait un séjour à Caen qui avait opté pour le GPL suite à une étude. Curieusement (?!) on vous parle de l'électrique !
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