" Il s’agira pour les 30 minutes d’activité physique et sportive comme pour les activités d’aisance aquatique d’appels à projet sur la base du volontariat d’une école. "
Jean-Michel Blanquer
@jmblanquer
Mais nous avions des cabinets d'aisance derrière les casernes. A la Turque ! on n'appréciait pas de se faire rincer les pieds quand on tirait la chasse.
Regardez la photo qu'on trouve sur Wikipedia et la légende !
Toilettes rustiques, en France.
Les rédacteurs de Wikipedia ne doivent pas fréquenter les toilettes publiques en France !
J'aurais dû photographie les cabinets de mon enfance ou ceux de la colonie de vacances de l'Ile d'Aix dans les années 60 !
Quant aux chiottes des Parigots que j'ai découvert (e) s en mai 68 ! bouchons-nous le nez ! même les odeurs des lacrymos ne suffisaient pas.
Au Japon, on n'entre dans les toilettes qu'en changeant de chaussons.
Les activités aquatiques nous les avions en toute liberté pédagogique dans le Couchou où nous élevions des têtards,
dans la Loue où nous ramassions sous les pierres des portefaix et pêchions avec. On s'y baignait ainsi que dans l'étang Baudy puis plus tard dans l'étang de Puymoreau.
Les baignoires étaient fort rares. Du coup comme
« L’impossibilité de nager dans une baignoire accroît considérablement le risque de noyade. »
nous faisions nos activités d'aisance aquatique en toute sécurité !
On aurait dû rédiger des dossiers de "projet", les faire valider par des commissions mixtes paritaires démocratiquement élues. Et on aurait ajouté des lignes sur notre CV pour obtenir un bac avec mention écologique et entrer à Sciences Popo.
Je lis sur Twitter :
" @bonnafu
La piscine, dans la novlangue de l'Educ Nat, devient une « activité d’aisance aquatique » Je suggère qu’on remplace le concept de noyade par celui d’« inconfort des voies respiratoires de l’apprenant consécutif à un défaut de maîtrise de l’immersion ». Pourquoi faire simple ? "
Et dire que nous avons survécu à nos instits des années 50 !
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