Ouï conter qu’on nouait l’aiguillette,
C’est une étrange et terrible recette… »
— Voltaire, La Pucelle, 1752.
Ce blog traite d'éducation, d'enseignement supérieur, du Limousin et du Périgord, de Nantes et alentours, de société, de ce que nous lisons, il pose des questions, attend des réponses, informe. Espérons que personne ne dira "quoras auras-tu'chabat de platussar ?" quand auras-tu fini de faire du blablaware ? "When will you stop quacking?" (blog joint :http://quoras-tu-chabat.hautetfort.com/)
Sur la redistribution en France, lire :
https://www.fipeco.fr/commentaire/Les%20in%C3%A9galit%C3%A9s%20et%20la%20redistribution%20des%20revenus%20en%202020
Quand je vois la couleur de la Haute-Vienne, je vois les voitures... beaucoup de vieilles 2CV, 4L etc. qui ne sont pas de "collection" mais du quotidien. Et aussi des voitures neuves... Dans le Pays Nantais, je ne vois ces voitures que quand la 2CV familiale fait le tour de la ville, magnifiquement restaurée. Les voitures avec une immatriculation comme celle de ma voiture, à l'ancienne, ....44, je n'en vois que rarement.
Pour le Limousin (je vous explique, car François Hollande n'est pas disponible), Haute-Vienne, Creuse, Corrèze, c'est en bleu très pâle. Seule Limoges se distingue avec son point rouge.
Nous revisitons Angers. Hier c'était le château et le musée des arts.
Et j'ai vu une épinette !
La voici :
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89pinette_(instrument_de_musique)
L'Auberge de l'Ecu
Dans notre village est venu (bis)
Un fameux joueur de luth (bis) Pour attirer la pratique Il a mis sur sa boutique :
A l'auberge de l'Ecu,
On apprend à jouer de l'épinette, A l'Auberge de l'Ecu, On apprend à jouer du...
Refrain :
Troulala, troulala,
Troula, troula, troulalère,
Troulala, troulala,
Troula, troula, troulala.
A la nouvell' de ceci (bis)
Toutes les femmes du pays (bis)
Ont vendu leur chemisette,
Leurs bijoux, leurs collerettes
Pour avoir le p'tit écu
Pour apprendre à jouer de l'épinette,
Pour avoir le p'tit écu Pour apprendre à jouer du...
Un' jeun' fille se présenta (bis)
Qui des leçons demanda : (bis)
Puisque tes leçons sont bonnes
Il faudra que tu m'en donnes,
Tiens! Voilà mon p'tit écu
Pour apprendre à jouer de l'épinette,
Tiens! Voilà mon p'tit écu Pour apprendre à jouer du...
Une vieill' dame à cheveux gris (bis)
Voulut en tâter aussi : (bis)
Par la porte de dérrière
Fait' moi passer la première,
Et voici mon p'tit écu
Pour apprendre à jouer de l'épinette,
Et voici mon p'tit écu
Pour apprendre à jouer du...
Vieille, retournez-vous-en (bis)
Et reprenez votre argent ! (bis)
Car ce n'est pas à votre âge Qu'on entre en apprentissage.
Vous avez trop attendu
Pour apprendre à jouer de l'épinette,
Vous avez trop attendu Pour apprendre à jouer du...
La vieille en s'en retournant (bis)
Marmonnait entre ses dents (bis)
Ah! Vous me la voyez belle De me croire encor' pucelle !
Ça fait cinquante ans et plus
Que j'apprends à jouer de l'épinette,
Ça fait cinquante ans et plus Que j'apprends à jouer du...
https://www.youtube.com/watch?v=6JEGRT6I6nw
Qui sont ces chanteurs ? de l'ULB (Université Libre de Bruxelles), bé non, cette fois c'est la Chorale du CUCEC !
"Depuis une période indéterminée, les joueurs de tennis du "Clermont-Université-Club"(CUC) et de l'Espérance ceyratoise (E.C) avaient pris l'habitude d'agrémenter leur solitude... pardon, leurs réunions festives, en poussant la chansonnette paillarde. Ainsi c'est grâce aux "après du tennis" qu'est né CUCEC. Toutefois, la quantité des culs-secs célébrés par ces sarabandes de convivialité nuisait quelque peu à la qualité artistique et musicale des chansons. C'est pourquoi, en 1991, un des membres-fondateurs du CUCEC, le docteur M.C ( qui souhaite garder l'anonymat) a la géniale idée de demander à son voisin R.C (également modeste mais accessoirement chef de choeur amateur et ancien étudiant en école d'ingénieur agronome) de venir faire chanter des chants paillards à ces nouveaux artistes."
Je découvre que Charlus chantait :
https://www.youtube.com/watch?v=Rtn9uXQqj1k
https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_Krysinska
"Dès 1882, elle publie dans La Vie Moderne, la Revue du Chat noir et dans La Revue indépendante des pages littéraires et ses propres poèmes.
Elle devient la seule femme membre actif des cercles littéraires des Hydropathes, des Zutistes, des « Hirsutes » et des « Jemenfoutistes » qui se réunissent au cabaret du Chat noir. Elle accompagne au piano les chansons1 et les poèmes qu'on y déclame. Elle participe aux soirées de la Goguette du Chat Noir "
Je me souviens de Patachou
https://www.youtube.com/watch?v=7xNqLEKJ3UA
Merci à Bourdelas Laurent
La commune de Naves est située à 8 km au nord de Tulle (Corrèze). Le site est accessible depuis la sortie « Tulle Nord » sur l'A89, distante de seulement 250 m.
Tintignac-Naves borde une ancienne voie commerciale, surnommée la « route des métaux », car on y faisait transiter l'étain, un métal rare et indispensable à la fabrication du bronze, venu d'Armorique ou de Cornouailles et expédié jusqu'aux rives de la Méditerranée. Du fait de la présence d'un très important bassin minier à l'époque gauloise dans la vallée de la Corrèze, où l'on extrayait de l'or et du fer, les archéologues pensent que les Lémovices échangeaient leurs métaux avec les commerçants empruntant cette voie. Sous l'empereur Hadrien est construite la voie romaine reliant Lugdunum à Burdigala en passant par Augustonemetum et Vesunna. Le carrefour entre la voie antique et la voie impériale surnommée « voie d'Hadrien » se trouve alors à Tintignac-Naves"
et tout m'est revenu à l'esprit. Dont le fameux tableau de Richelieu à La Rochelle.
Henri-Paul Motte — Musée d'Orbigny Bernon
et la fameuse devise, "un pour tous, tous pour un" dans le roman c'est « tous pour un, un pour tous » . J'apprends que c'est la devise de la Suisse. Il paraît qu'elle va sortir comme sujet de bac philo cette année. Mais tout le monde s'en fout, le bac c'est fini dès Pâques en 2023. On se prépare aux grèves de l'université. Et comme on réclame une note plancher de 10/20 pour tous...et que l'histoire, bof, bof. Du passé faisons table rase.
J'aurais pu mettre mes richelieu pour aller voir le film.
Les cadets de Gascogne,Les falaises de Douvre, la chevauchée vers l'Angleterre. Et ces ferrets dont je me demandais bien ce que c'était.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Trois_Mousquetaires
Avant d'aller voir le film, j'ai parcouru mes Lagarde et Michard. Alexandre Dumas en est absent ! Pourtant, il écrit très bien, est captivant, une immense culture. Lagarde et Michard viennent de perdre mon estime. C'est dur quand on est un boomer !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Adaptations_du_roman_Les_Trois_Mousquetaires
A ma médiathèque, un seul livre de Dumas, Isaac Laquedem ou le juif errant ! quant à Jules Verne, à Nantes, il a un musée mais pas d'ouvrages dans ma médiathèque.
https://saintyrieixlaperche.wordpress.com/?s=Araucanie&submit=Recherche
Je lis sur Twitter ce 23 avril 2023
https://www.youtube.com/watch?v=qlxr4OunzpY
Pour sa grande exposition 2023, le Musée d’arts de Nantes porte un regard sur la sculpture hyperréaliste. Cette forme artistique, peu exposée en France depuis sa naissance aux États-Unis dans les années 1960, connaît un regain d’intérêt depuis les années 1990. "Hyper sensible. Un regard sur la sculpture hyperréaliste", du 7 avril au 3 septembre 2023 au Musée d’arts de Nantes : www.museedartsdenantes.fr/hyper-sensible
https://fr.wikipedia.org/wiki/Isaac_Laquedem
"
Isaac Laquedem, ou Le Roman du Juif errant, est un roman historique inachevé d'Alexandre Dumas père, initialement publié en feuilleton dans le journal Le Constitutionnel à partir de 1852.
Alexandre Dumas prévoit d'en faire son ouvrage majeur, le sommet de son œuvre : une fresque complète de l'histoire de l'humanité, autour d'un héros principal personnalisant le mythe du Juif errant. Sous couvert de fiction, le roman proposera une méditation sur les mythes anciens et modernes.
Le feuilleton commence à paraître en , mais se heurte rapidement à l'hostilité des milieux catholiques. Le Constitutionnel décide de cesser sa parution dès . Alexandre Dumas interrompt sa rédaction, dans l'attente de jours meilleurs. L'ouvrage, tel que nous le connaissons aujourd'hui, est édité pour la première fois en 1853. À part quelques éditions partielles, il reste dans l'oubli jusqu'à ce que deux éditions complètes apparaissent, coup sur coup, en 2005 et en 2006.
En 1469, un mystérieux pèlerin, apparemment invulnérable, entre à Rome par la voie Appienne. Reçu par le pape Paul II, il est reconnu pour être le Juif errant, condamné à parcourir le monde éternellement pour avoir insulté le Christ, lorsque celui-ci passait au milieu de la foule lors du Chemin de croix, au moment de la Passion. Son châtiment doit prendre fin lorsque le Christ rédempteur prononcera les paroles suivantes de son salut : « Couche-toi et ne marche plus ! »
Par un retour en arrière, Dumas nous ramène alors à la fondation de Jérusalem. Dans une vaste fresque, il nous présente l'état du monde à cette époque, puis l'histoire de Jérusalem et enfin celle de Rome. À l'aide de son personnage mystérieux, l'écrivain nous livre ainsi l'Histoire antique, en y mêlant mythes et légendes, donnant ainsi une couleur toute particulière au roman.
Au chapitre X, le roman conte l'histoire de Jésus de Nazareth : sa naissance, sa vie, sa Passion, sa résurrection. C'est au chapitre XXIII qu'intervient le personnage d'Isaac Laquedem, qui, objet de la malédiction de Jésus, va commencer une errance sans fin, mais non sans but : il cherche les Parques, ces trois divinités grecques qui filaient la vie des humains et la tranchaient lorsque leur destinée était accomplie.
Pour les trouver, Isaac Laquedem fait appel à Apollonius de Tyane, le sage par excellence, qui lui sert de guide dans un voyage à travers la Grèce, prétexte à revisiter les grands mythes de l'Antiquité. Puis, sur le conseil de Médée, il va, porté sur le dos du grand sphinx d'Égypte, interroger Prométhée. Le Titan lui demande d'incendier la forêt caucasienne pour lui permettre de trouver enfin le repos dans la mort et, en échange de ce service, lui conseille de descendre au centre de la Terre avec le rameau d'or.
Partant de Delphes, Isaac Laquedem s'engage dans une descente au cours de laquelle Apollonius l'initie à la genèse de la Terre, à partir des couches géologiques, avant de le laisser seul pour la dernière partie de son voyage. Au centre de la Terre, Isaac Laquedem trouve les Parques, et nous découvrons ce qu'il cherche à obtenir : le fil de la vie de Cléopâtre1, qu'il veut ramener à la vie pour en faire son alliée « contre le Dieu maudisseur ».
C'est avec la résurrection de Cléopâtre que s'achève Isaac Laquedem, ou du moins ce qu'Alexandre Dumas a réalisé de l'immense œuvre dont il rêvait. La censure y mettant un terme prématuré, le roman s’achève au chapitre XLII, où il reste comme suspendu…
Ce projet immense, relevant à la fois de la comédie humaine et divine,
était prévu initialement pour compter trente volumes. En réalité, seuls
paraîtront une quarantaine de chapitres, dont l’action se limite pour
l’essentiel à l’an 33 de notre ère. Ayant
pour fil conducteur le personnage du Juif errant, ce qui devait être une
épopée universelle bute en effet contre deux obstacles. Le premier est
interne à l’œuvre : il tient à l’ampleur du récit, qui tend à s’égarer
dans ses propres méandres. L’autre obstacle lui est externe : c’est la
censure du Second Empire, qui contraint l’auteur à suspendre la publication du feuilleton.2"
https://fr.wikipedia.org/wiki/Casal_Rotondo t1.
Le nom vient du fait que le tombeau est rond et parce qu'un corps de ferme (casale) a été construit sur le dessus, au Moyen Âge, quand il appartenait à la famille Savelli et faisait partie des tours de guet situées le long de la Via Appia.
Le mausolée date d'environ 30 avant Jésus Christ. C'est un grand bâtiment circulaire d'un diamètre de 35 m, décoré d'une frise et, qui, à l'origine, avait un toit conique. La base offrait des places où les voyageurs pouvaient se reposer à l'abri du soleil. Près du mausolée, l'archéologue Luigi Canina (1795-1856) a construit un mur de briques contenant des fragments d'architecture. On pensait à l'origine que ces fragments provenaient du Casal Rotondo, mais c'est maintenant contesté2. L'inscription figurant sur le bâtiment, ainsi que d'autres fragments architecturaux, proviennent d'un petit monument sur le site, et n'ont rien à voir avec le consul romain Messalla Corvinus, comme le croyait Canina"