dimanche 31 août 2025

On a la chanson "De Nantes à Montaigu" mais on a aussi le dessinateur "bite fighter" à Nantes !

 https://www.vice.com/fr/article/olivier-texier-bite-fighter/


 

"Avec Bite Fighter, le dessinateur nantais pose sa pierre à l’édifice phallique de la collection BD Cul des Requins Marteaux. Ce stakhanoviste du dessin, grand fan de S.F. bas de gamme et de jeux vidéo de baston, y narre les aventures agonistico-sexuelles de plusieurs hommes aux muscles seyants – le tout dans une fange postapocalyptique d’où les femmes sont complètement absentes.

Double pénétration anale, prises de catch, amour altruiste et K.-O. violents parsèment un monde qui prend son pied dans la baise et la bagarre. C’est dans cet univers impitoyable qu’évoluent les personnages d’Olivier Texier"

 

Avec de l'inglich c'est toujours plus artistique me disait mon prof d'inglich ! et Trump me l'a confirmé ! 

 

Appel aux savants ou aux rois (zé reines) de la com municipale

 Quand on approche des 80 ans, il faut préparer le vide maison ! surtout que je vois des maisons refaites à neuf à Nantes que les nouveaux arrivants parigots ou héritiers (faut ça pour acheter à Nantes de nos jours. ) refont mais avec des meubles Ikea et des cloisons en carton et couche de plâtre. Le bandeur est recherché de nos jours.

 Je viens de retrouver ça 

 



 

Qui peut me dire ce que c'est ?  je ne m'en souviens plus. Ce ne devait pas être essentiel à la vie. 

Ce n'est pas une clé USB. 

Un gadget pub ? J'ai tiré sur la ficelle, appuyé sur le truc (ce n'est pas un écran de smart-phone !), rien ne se passe. 

Peut-être que ce sera le prochain objet que la population nantaise ira voir à l'expo d'art contemporain au "Musée d'arts" de Nantes.  Notez que le beau n'est pas tendance ! 

samedi 30 août 2025

Je suis boomer et je souscris au communiqué de l'Académie Vétérinaire

 Voici le communiqué de l’Académie Vétérinaire concernant le rat en ville

 

 « Certains défenseurs de la condition animale arguent que Rattus norvegicus est l'espèce dont dérive le rat domestique d'élevage, facile à apprivoiser comme rat de laboratoire ou nouvel animal de compagnie (NAC). Plaidant pour que la relation entre le rat d'égout et l'Homme ne soit plus considérée comme un commensalisme nuisible, mais comme une véritable symbiose, une élue de ce courant de pensée au sein de la capitale a récemment demandé de « légitimer la place des rats dans la ville », de reconnaître leur utilité comme « auxiliaires dans la gestion des déchets en ville », de les nommer « surmulots pour éviter de les stigmatiser », et de renoncer à les éliminer au nom du « bien-être animal ». Face à l'ingénuité de ces propos, qui bénéficient parfois d'une écoute favorable il importe de rappeler que le rat reste une menace pour la santé humaine en raison des nombreuses zoonoses transmissibles par ses exoparasites, ses déjections, ses morsures ou ses griffures »

academie-veterinaire.fr/actualites/act 

 

Ah quand dans nos villes écolos on attendra la récolte municipale et qu'elle sera bouffée par les rats comme dans tant de pays dans le monde. 

 

Mon ami agriculteur écolo (reconnu et écolo depuis fort longtemps) fournisseur des magasins bios (mais il n'avait pas de certification bio, il n'avait pas de sous à gaspiller), avait pas mal de produits pour tuer les rats qui bouffaient ses pommes, ses châtaignes. Mais Paysac n'est pas Paris, Nantes ou ...

 

Au Moyen-Age on ne pratiquait pas le sexe comme mon député nantais ! tout était bio. Et Lavoisier n'était pas né !

 Merci à Papy Ion 

de Touiteur qui m'a donné ce lien en échange de : https://lefenetrou.blogspot.com/2016/01/heloise-tenant-dans-sa-main-le-sexe.html

 

https://www.thesun.co.uk/news/8777312/statue-oral-sex-twitter-germany/ 


 

"

The snap was posted on the Whores of Yore Twitter account shared an image of the statue and in less than a week, the Twitter post got almost 40,000 likes.

They said: “On the walls of Cologne City Hall, hidden under a larger statue of Archbishop Konrad von Hochstaden, is a carving showing a man giving oral sex to himself. It dates to around 1410 and no one really knows why it’s there.”

Former city conservator Ulrich Krings said that the history behind the statue is actually not as complicated as some might want to believe and it was just a widely popular motif during Medieval times.

Krings said: “It was about virtually showing their arse to the authorities.

“With crudely displayed sexuality they wanted to show that they couldn't care less about the morals or even the public order of the authorities.""

https://www.cologne-tourism.com/arts-culture/sights/detail/historic-city-hall 

Spicy, Obscene – and a Common Medieval Motif

The historic City Hall also gained online fame due to a special stone figure that caused a social media stir: the statuette that shows its bare behind and holds its genitalia in its mouth – a popular medieval motif against prevailing moral or order concepts dictated by the authorities. If you want to discover the figure yourself, it hangs under Archbishop Konrad von Hochstaden on the first floor of the City Hall tower.

 

Dire que lors de mon premier tour d'Europe en auto-stop en juillet 1965, j'ai visité la cathédrale de Cologne et j'ai raté ça !  Ce n'est qu'en mai 68 qu'en stop bien sûr je suis allé à Paris, mais la Conciergerie était fermée (il n'y avait pas de Airbnb et de boites à clés) . Et pas vu Abélard ! que j'ai retrouvé au Pallet à côté de Nantes en 1970. https://www.pierre-abelard.com/Paris.htm


 L'humour au M-A 

 

Conques

 

 

jeudi 28 août 2025

Sur l'Ile de Nantes on construit avec de la pierre de Saint-Yrieix !

 Normal, le propriétaire de la carrière est une entreprise bretonne ! 

https://www.cupastone.fr/gneiss-saint-yrieix-batiment-nantes/ 

 
 

 Ah les jardins 3.0 ! ils doivent nourrir en bio les habitants ! qui certainement passent leurs vacances dans le PSY ! 

Je préfère la maison des ancêtres ! et c'est moi qui est refait les joints avec de la chaux de St-Astier. Mais je ne vivrais pas à l'année dans la combe à Jumilhac. Peur de la dépression que le toubib du coin connaissait bien avec les nouveaux ruraux. Et les divorces causés par le PSY !

Surtout que mon ami Fernand est parti.

https://lefenetrou.blogspot.com/2025/08/sur-lile-de-nantes-on-construit-avec-de.html 


 

 

mercredi 27 août 2025

Mon saule-pleureur, ma pompe non certifiée par le gouvernement





 Les voisins ont une pompe. Ils sont "aux normes" ! Moi j'ai une ombrelle et une pompe à la fois. 

Nantes et ses tags ! Comparez avec Montpellier, Clermont-Ferrand, Saumur


Là ce ne sont pas des tags. C'est la culture naturelle de la municipalité qui comprend des écolos qui sont nuls en botanique.  C'est de la datura. Toutes les parties de la plante sont très dangereuses. Les petits-enfants peuvent jouer à la dînette en forêt urbaine avec. 

Revenons à l'art à la nantaise ! j'ai droit à ça gratos quand je vais au marché de Talensac avec mon "vélo musculaire". J'ai pris des photos de la rue Gl Buat au marché de Talensac. Là où passe la fameuse ligne verte (ben dame ! verte la ligne !) du "VAN" Voyage à Nantes.

Allez comparer à Montpellier, Clermont-Ferrand, Saumur https://lefenetrou.blogspot.com/2025/08/mais-pourquoi-nantes-est-recouverte-de.html ou même, pourquoi pas !, https://lefenetrou.blogspot.com/2025/08/la-rue-des-barris-saint-yrieix-la.html

Ah les floralies internationales nantaises !

 




Une œuvre mobile ! mais sans lithium ! 

Ulice c'est Joyce !
 


Quand on enlève les tags, on obtient une œuvre d'art ! mais non classée par la ville de Nantes !


Quand il n'y aura plus de grillage, ce sera encore mieux !





Vous vous étonnez que ce ne soit pas vendu ?

L'art sportif
 
Il ne faut pas gaspiller les surfaces. D'un panneau urbain faites un tableau blanc

 

La rue des Barris à Saint-Yrieix-la-Perche dans les années 50-60

 https://www.youtube.com/watch?v=pvegn6ewaFU

 

Pour en savoir beaucoup plus lisez : 

https://saintyrieixlaperche.wordpress.com/2015/11/19/mes-memoires-daredien-1946-1964/ 

extrait :

 

La rue des Barris et la rue Pardoux-Bordas

 

Ces deux rues méritaient l’attention. J’ai pu constater que la rue des Barris est citée dans des mémoires, comme celles de Charles Joseph Verneilh-Puiraseau publiées en 1837 à Limoges sous le titre « Mes souvenirs de 75 ans »

La rue des Barris prolongée par la rue Pardoux Bordas est une des voies les plus anciennes de Saint-Yrieix. La rue monte du Couchou à la Place de la Nation. « Rues très pittoresques, animées, passagères où de nombreuses activités artisanales et commerciales existaient. » nous écrit Mme Chameau. Nous continuons de la citer.

Au 32 rue Pardoux Bordas, là où la rue se termine pour entrer sur la place de la Nation, existait un commerce de parapluies Madame Lapierre et Fils. Elle vendait de nombreuses variétés de parapluies, et faisait les réparations si besoin était. Elle excellait pour faire sa réclame sur le trottoir à haute voix.

Suivait la boulangerie de Monsieur et Madame Veyri, cédée ensuite à Monsieur et Madame Fredon, connue des arédiens pour sa pâtisserie à l’ancienne.

A côté il y avait le restaurant « Au bon coin » tenu par la famille Boissard, puis Pizzani et enfin par Monsieur et Madame Thuilleras. Ce restaurant était fréquenté par les ouvriers et, les jours de foire, par les forains qui avaient installé leurs bancs sur la place, et les gens des campagnes environnantes. L’accueil y était fort sympathique et on s’y sentait en famille.

A l’angle de la rue de l’Aiguillette, rue qui rejoint la rue , et des la rue Pardoux Bordas, une fontaine approvisionnait en eau potable tous les habitants du quartier qui s’y ravitaillaient à l’aide de seaux qui étaient vite vides, l’eau ne coulant pas encore au robinet dans les maisons. Il n’était pas besoin de faire des campagnes publiques pour économiser l’eau !

Sur le côté droit de la rue en descendant, il y avait un atelier de menuiserie occupé par Monsieur Georges Thuilliat. Il côtoyait celui d’ébénisterie de Monsieur Louis Chameau, spécialiste des meubles rustiques et Louis XV en chêne ou en merisier. Sa devise était « L’amour du travail bien fait ». En face, un magasin d’épicerie et fruits et légumes était tenu par Monsieur et Madame Dupinet. Il jouxtait celui de Monsieur Barnic, artisan sabotier qui vendait aussi galoches et pantoufles. Barnic cordial et bavard, connaissait bien l’histoire de Saint-Yrieix. Il remplissait un rôle d’écrivain public, aidant à remplir les feuilles de déclarations de revenues par exemple. Je me souviens que quand il fut en retraite, mon père lui a demandé à quoi il occupait son temps. Et Barnic lui a répondu qu’avec sa collection de timbres il pouvait voyager dans le monde entier tout en ne quittant pas la rue des Barris. A côté se trouvait le magasin un commerce de chapellerie et de dépôt de journaux. L’association n’est pas fréquente ! Mais en Limousin on pratique la polyvalence des fonctions depuis longtemps. Ainsi à Bourdoux, le cousin René Tallet était à la fois paysan, cafetier et coiffeur. En face, la très bonne boucherie-charcuterie Gandois proposait d’excellents boudins. Dois-je préciser qu’ils étaient aux châtaignes ? A côté, le cordonnier René Durand exposait une magnifique collection de chaussures miniatures qu’il avait confectionnées. Elles représentaient les modes de toutes les époques. Un petit musée que je ne manquais pas à chacun de mes passages. Nous arrivons à un personnage connu dans tout Saint-Yrieix. C’est la « mère Tarade ». Je ne sais pourquoi mais à Saint-Yrieix, on utilisait volontiers le qualificatif « mère » et « père » pour désigner certaines personnes. Je n’ai pas bien analysé le pourquoi de ce privilège de certains habitants. Ils n’avaient pas  la médaille de la famille nombreuse ! On peut penser parfois à une connotation péjorative. Mais ce n’était pas, il me semble, le cas général. Au collège, on parlait du « père » ou de « la mère » X ou Y quand on désignait un professeur qui avait l’âge de nos parents. Ce ne devait pas être agréable pour les élèves enfants de ces professeurs. Revenons à la « mère  Tarade ». Elle était aimable, serviable. Elle avait rendu des services pendant la guerre pour des ravitaillements, clandestins, en tous genres. Avec son âne et sa carriole elle parcourait ville et campagne en lançant son cri bien particulier, Peaux de lapins, peaux de lapins. Elle faisait ce qu’on appelle aujourd’hui du « vide grenier ». Sur le chemin du collège, je passais devant sa caverne d’Ali Baba, une pièce délabrée qui débordait sur le trottoir. L’âne régalait petits et grands avec ses roulades et ses braiments dans la rue. En face se trouvait un assureur, Monsieur Bureloup. A côté, c’était la boutique de l’étameur, Monsieur Gadoneix. Un correspondant m’a écrit : « j’allais aider l’étameur Gadoneix avec son fils à passer un coup de coton sur les cuillères et fourchettes rutilantes sortant du bain d’étain. Plein de choses me reviennent. J’ai aidée la mère Tarade en tirant sa charrette depuis les casernes jusque chez elle. Je l’entendais bien crier quelque chose en patois derrière moi mais ne comprenant pas – je suis né en région parisienne – j’ai continué ma BA et le lendemain j’avais une nouvelle réputation : le parigot ramassait les peaux d’lapins po… ». Claude m’a raconté que, lors du décès de Gadoneix, l’archiprêtre Parouty s’est déplacé rue des Barris avec un enfant de chœur. Sans doute des obsèques d’une classe supérieure. Je me suis déjà posé la question de savoir si ce Gadoneix était le grand-père de Pierre Gadoneix, directeur puis président de Gaz de France et d’Edf. Une deuxième fontaine se trouvait à côté. Elle alimentait la rue des Barris qui commence. Dans un immeuble attenant exerçait un menuisier monsieur Mazy. Une couturière, madame Laroche pédalait sur sa machine à coudre. Devait se situer à cet endroit l’emplacement de la porte de Saint-Yrieix.

En face, une petite épicerie que madame Chameau désigne par « chez Mme Reine ». Il me semble qu’il s’agissait de Mme Vaniouls, nom qui s’écrit peut-être comme le Banyuls qu’elle ne devait pas manquer de vendre. Suivait une échoppe de rempailleuse de chaises, madame Dupuy, personne affable et bavarde. Les enfants y récupéraient des pailles pour faire des bulles. Une extrémité de la paille était fendue longitudinalement en quatre morceaux qui étaient repliés à angle droit. La bulle de savon tenait ainsi suffisamment longtemps pour pouvoir être soufflée et atteindre une belle taille.  A côté il y avait le petit café de Madame Vallade, rendez-vous des joueurs de cartes, toujours accueillis avec plaisir par la patronne qui leur servait à boire. Les voisins étaient Mr et Mme Guyonaud (dits Ricou) avec leur épicerie à l’approvisionnement varié. La clientèle des enfants était nombreuse. Ils y trouvaient bonbons, roudoudous, réglisse en bâtons et en en rouleaux noirs et surtout les caramels gagnants. On y achetait aussi  boules, guirlandes de Noël et santons pour la crèche. Ils avaient une activité secondaire : ils tenaient un stand de tir à la carabine et de nombreux jeux simples dans les fêtes foraines. En face, Monsieur Fondeur fabriquait des articles de pèche et était spécialiste des mouches qu’il confectionnait avec des plumes de coq. Son voisin était un cordonnier, Monsieur Roux. A côté, à l’angle de la rue des Barris et de la rue se trouvait la boucherie de Mr et Mme Descamps, qui deviendra la laiterie Steiner quand Steiner quittera la Halle de la place du marché. En face se trouvait la célèbre boulangerie Bordes à côté du menuisier Pagnon. Et à la suite, un magasin de vêtements, principalement des bleus de travail de la marque Adolphe-Lafont, une marque qui existe toujours, tenu par Mr Soulier. Il me semble qu’il faisait les foires et marchés. Puis on trouvait un petit café attenant et un artisan carreleur, Monsieur Toralba. Un marchand de sabots, Mr Mas faisait face à un petit magasin de légumes. Et on trouvait encore un atelier de menuiserie, celui de Mr Monteilhet qui avait un magasin avenue Marceau à côté de chez mon copain B. Faurel. On trouvait enfin la famille Auzémery, père et fils, artisans plombiers. Le magasin qui faisait l’angle avec l’avenue Marceau était du côté gauche en descendant, le magasin Massias, cycles et matériel de pêche. C’est là que j’ai acheté mon solex avec ma première paye. Lui faisait face, le restaurant Audevard.

Madame Chameau termine en remarquant que la convivialité était omniprésente. Souvent les gens sortaient leurs chaises sur les trottoirs et bavardaient gentiment en attendant la tombée de la nuit. Mais c’est avec tristesse qu’elle voit tant de maisons fermées, délabrées, abandonnées et la rue déserte. Aujourd’hui la municipalité a rénové cette rue. Un beau travail. Mais chaque fois que nous la parcourons, nous sommes bien seuls ! Il faut dire que nous avons constaté que dans la région, la voiture est reine. On marche bien moins en pays arédien que dans une ville importante où il faut au moins se déplacer vers les stations des transports en commun ou vers les parkings. Et comme la rue du Pont est une rue piétonne,  Madame Chameau a peu d’espoir de voir sa rue animée par les passants.

 

 

Des vidéos avec Jean-Louis :

https://www.youtube.com/watch?v=rmnC31LptPA 

Jean-Louis, 75, has lived in the heart of the Limousin countryside since childhood. Born in Saint-Yrieix-le-Perche, in Haute-Vienne, he continues the farming and rural traditions inherited from his father and grandfather. Ancestral tools, livestock farming techniques, abandoned sacred sites—Jean-Louis shares all these anecdotes and thoughts on social media, where he has over 300,000 followers. He hosted us for a day for neo. 

 

https://www.youtube.com/watch?v=r9hGUjOAWLM&t=308s

Je corrige Jean-Louis ! la foire c'était toutes les deux semaines le vendredi (comme de nos jours, mais de nos jours il n'y a plus de bestiaux et le marché au cadran de Bourdelas n'a pas vécu plus de 2 ans !) le deuxième et le quatrième du mois.

Les "gros veaux" de St-Yrieix partaient à l'embouche en Italie.

 Mon ami Marc Dutheil m'a raconté que ses parents partaient à la foire à pied de Payzac et que quand le tacot passait, ils se planquaient dans le fossé pour ne pas montrer qu'ils économisaient en allant à la foire à pied.

https://saintyrieixlaperche.wordpress.com/2020/11/26/japprends-le-deces-de-mon-camarade-du-lycee-darnet-marc-dutheil/ 

Je me souviens avoir vu des paysans arriver très tôt le matin à pied avec leurs bêtes sur la route de Montluc. 

 

https://www.francebleu.fr/emissions/meitat-chen-meitat-porc/jean-louis-marginier-75-ans-star-des-reseaux-sociaux-avec-les-memoires-de-jean-louis-4970510 

"Originaire de Saint-Yrieix-la-Perche, en Haute-Vienne, Jean-Louis Marginier a passé toute sa vie dans son village natal, à une quarantaine de kilomètres de Limoges. Très jeune, il entre dans la vie active : de 14 à 20 ans, il travaille comme plâtrier avant d’effectuer son service militaire, au cours duquel il passe son permis poids lourd. À son retour, il est embauché comme routier aux carrières de Corgnac, en Dordogne, où il entame une carrière dans le transport routier, métier qu’il exercera jusqu’à sa retraite"

 

Ne dîtes pas aux habitants de St-Yrieix qu'ils habitent un village ! ceux de Glandon, Jumilhac, Ladignac, Coussac, etc que vont-ils penser ?

St-Yrieix, un village où on a un Centre Hospitalier avec IRM etc, un lycée, des Ehpad (c'est tendance en Périgord-Limousin), un centre aqua-sportif comme celui où je vais à Nantes, une collégiale qui ressemble à une grande cathédrale, ... mais des routes vicinales.

On y fabrique même des 

https://arediennedeclotures.com/ 

comme on en voit à Pénestin et Assérac sur la côte. 

Et on a une carrière de pierres exploitée par une entreprise... bretonne ! ils ont du courage les chauffeurs qui doivent venir chercher la pierre à St-Yrieix.  D'ailleurs maintenant, j'ai appris pourquoi la scierie de Bourdoux ne fabrique plus de palettes (en sapin !) : il ne se vend plus assez de pierre de St-Yrieix. 

 https://www.cupastone.fr/gneiss-saint-yrieix-batiment-nantes/

 Ouf à Nantes on en utilise ! c'est très bobos, il paraît même que c'est anti-tags ! ben dame ! 

 

dimanche 17 août 2025

Pédagogie, les objets mathématiques, des couteaux sans lame auquel il manque le manche ?

 

J’eus la chance, jeune, d’être étudiant d’été au  Un jour, le grand Victor Weisskopf, physicien splendide, commença son cours en nous expliquant qu’il avait passé sa vie à se demander si les objets mathématiques ont ou non une réalité physique : ne sont-ils qu’une invention humaine, un simple langage, ou ont-ils une existence indépendante de nous ? Il cita Platon, Aristote, Kant et Husserl, car bien sûr, le monsieur avait des lettres. Puis il entama son cours proprement dit. Pour les besoins d’une démonstration, il dut tracer à la craie un repère à trois dimensions. Suivant la règle, il représenta les axes Ox et Oy dans le plan même du tableau, puis figura l'axe Oz, perpendiculaire aux deux premiers, par un simple point entouré d'un cercle, donnant l'impression que cet axe jaillissait tel un bâton hors du tableau. Quelques minutes plus tard, alors qu’il s’apprêtait à passer devant la figure qu’il avait ainsi dessinée, il se baissa ostentatoirement pour éviter l’axe Oz, et se tourna vers nous en soufflant d’un air malicieux : « On ne sait jamais, l’axe Oz existe peut-être vraiment… ».

samedi 16 août 2025

Le chef-reliquaire de Saint-Yrieix-la-Perche, ce trésor volé que les Américains ne veulent pas rendre au Limousin

Qui a son chef-reliquaire à Niouyorque ? moi ! et je n'en suis pas peu fier !

 https://www.lepopulaire.fr/saint-yrieix-la-perche-87500/actualites/le-chef-reliquaire-de-saint-yrieix-la-perche-ce-tresor-vole-que-les-americains-ne-veulent-pas-rendre-au-limousin_14343216/

"Il a fallu attendre juin 1949 pour que des premiers soupçons surgissent sur l’authenticité du chef-reliquaire de la collégiale de Saint-Yrieix-la-Perche. Un certain Antoine de la Tour, passionné d’art médiéval et originaire du Chalard, un village du sud de la Haute-Vienne, se rend à New York, visite le Metropolitan Museum of Art, et s’étonne de découvrir le chef-reliquaire du chef-lieu de canton. L’érudit local parvient à rencontrer le conservateur, qui lui confirme que le musée de Manhattan expose bien l’œuvre originale.

C’est en 1962 qu’un inspecteur général des monuments historiques compare la copie et les photographies du reliquaire de New York, pour lever tout doute, et établir que Saint-Yrieix-la-Perche a été victime d’un vol par substitution."

 

Ce n'est pas https://fr.wikipedia.org/wiki/Antoine_de_Latour !

Philippe Tenant de la Tour, plus connu sous le pseudonyme de Marie-Antoinette, qu’il s’était choisi au sein des réseaux de la Résistance est décédé en 2013 et ses obsèques ont eu lieu au Chalard. 

https://www.sudouest.fr/dordogne/payzac/le-deces-d-une-figure-de-la-resistance-8696461.php 

https://saintyrieixlaperche.wordpress.com/2021/07/17/en-1969-jai-vecu-a-new-york-la-meme-histoire-quantoine-de-la-tour-en-1949/ 

https://france3-regions.franceinfo.fr/nouvelle-aquitaine/haute-vienne/saint-yrieix/ostensions-limousines-du-limousin-a-new-york-l-incroyable-histoire-du-buste-d-aredius-2768494.html  

Il avait créé la patrouille libre (les fouloirs noirs) des Scouts de France vers 1962-63. Mais ne m'avait pas dit qu'il savait pour le chef-reliquaire. J'ai su quand je suis allé  à NYC ! J'en ai même informé un ancien maire.

La dernière fois que j'ai vu Ph. Tenant de la Tour (la tour c'est la tour qu'on disait de "César" , près du pont qu'on  disait "romain" sur la Loue au Chalard ?) c'est lors d'ostensions. Il était alors en fauteuil roulant électrique. 

https://lechalard87.blogspot.com/ 

Il y a une semaine j'ai relu le Guide Vert Berry-Limousin. Il datait de 2000, il n'y était pas dit qu'on avait une copie du chef-reliquaire d'Aredius. Pourtant j'en avais écrit des choses sur ce blog !!! 

https://leplatusseur.wordpress.com/2018/04/11/les-yrieix-leaks-le-platusseur-sest-procure-lenregistrement-de-la-conversation-telephonique-entre-daniel-boisserie-et-donald-trump

 

In memoriam, Marguerite (dite Maggie) Trouvat

Maggie à côté de Daniel Boisserie maire de Saint-Yrieix (il a démissionné cette année). extrait d'un cliché du Popu https://www.lepopulaire.fr/saint-yrieix-la-perche-87500/actualites/le-club-aredien-des-seniors-voit-son-effectif-augmenter-regulierement_11758959/
 

 

 En discutant avec une personne dans la rue à Saint-Yrieix, j'ai appris le décès de Maggie Trouvat.

La cérémonie religieuse a eu lieu le mercredi 10 janvier 2024 à 09 h 30, en la collégiale de Saint-Yrieix-la-Perche.

Pendant plusieurs années quand je revenais "fermer" à Bourdoux pour l'hiver, je faisais un tour de St-Yrieix, et la seule personne que je rencontrais c'était Maggie ! Elle m'avait dit qu'elle était la seule à habiter rue du marché (j'ai bien dit "rue" et non "place". Car notre maison du 2 place du marché a maintenant plusieurs locataires !)

Maggie était prof d'anglais à l'Ecole libre. Puis elle en fut directrice. Son père était menuisier ébéniste.

Des voisins.    

vendredi 15 août 2025

Mais pourquoi Nantes est recouverte de graffitis ? Montpellier, Clermont-Ferrand, Saumur etc, ne le sont pas ?

 A Nantes, on en a dans le centre. Partout, sur les portes, les murs, etc. Et quand une belle œuvre de "street art" (causons chic !) est réalisée il y a très vite des gribouillis dessus. On retrouve les mêmes un peu partout. Des enfants bridés par leurs parents ? une thérapeutique ? allez savoir. 

 

Oh lalala ! mais je cause mal ! les graffitis c'est de l'art ! et si on tape graffitis à Nantes sur Gougueule, on obtient des peintures pas mal du tout. Les visiteurs à Nantes heureusement passent leur temps à regarder leur smart-phone (ou les avions, étonnés de leur voir les roues, le nom de la cie, et d'entendre leur bruit si prisé des écolos de Notre Dame des Landes, et ne photographient pas ce que je nomme graffitis. Il me faut dire "tag" comme les montres de luxe suisse ! je pensais aux étiquettes, aux métadonnées 

 Lisez cet article ! et les exigences imposées par nos élus ! On me dit dans le dos que le faux-culisme nantais est au top level !

https://france3-regions.franceinfo.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/nantes/street-art-a-nantes-l-equivalent-de-12-stades-de-la-beaujoire-a-nettoyer-chaque-annee-le-cout-faramineux-du-nettoyage-des-graffs-clandestins-et-des-tags-2533540.html 

et vérifiez ce qui vous est raconté. 

 


Nantes est PS depuis des décennies, Montpellier aussi, Clermont aussi, mais pas Saumur. Je vous cite des villes visitées ou revisitées tout récemment. Georges Frêche s'est fait virer du PS, mais son Antigone n'est pas gribouillée ! Je ne sais de quel parti était le père de Blaise Pascal en 1624. Mais on me dit qu'à l'époque Leclerc ne vendait pas des bombes de peinture pour les enfants bridés par leurs parents. Des enfants qui ne taguent pas le mur de leurs chers parents. Ben dame ! on est bien éduqué

 Nantais voici des photos prises dans le villes citées en titre. Comparez !

 Prenons Clermont


 Une palissade de chantier sur l'avenue de la République reliant Monferrant à Clermont. Si vous me trouvez une palissade de chantier non gribouillée à Nantes envoyez moi la photo.









 Passons à Montferrand (a beaucoup de monuments classés historiques) le quartier historique (XIIe)





Sont des nuls les Auvergnats ! ils ne savent pas grimper pour taguer les façades !

Même big pharma n'est pas taguée ! ah les bougnats ! ne valent pas les enfants de bobos nantais, ben  dame !


A Montpellier


Montpellier est devenu super bobo. Les commerces de "bouche" sont rares. Le marché de la place J. Jaures a disparu, les halles sont vides, les autres n'ont même pas un boucher et les quelques fruits en vente sont à des prix exorbitants. Un des rares commerces (excellent). 

Rue Fabre où j'ai vécu en 1971



Je partageais la douchiotte avec les propriétaires espagnols. La douchiotte j'en ai fait un exercice sur les automates pour mes étudiants.



J'ai pensé à Jacques et à son musée du vélo du Haut Limousin ! ne le manquez pas. 





 Saumur

voir 

https://lefenetrou.blogspot.com/2025/06/on-visite-saumur.html 

 

Question 

Est-ce qu'on peut changer à Nantes ? Je connais une ville très proche. Le "skate park" (je sais toujours mon latin de cuisine !) est resté non tagué pendant pas mal de mois. Puis un jour un tag. On a laissé. Alors alors devinez ce qu'il en est maintenant !

Les candidats d'opposition à Nantes ne vous diront pas leur solution secrète ! Et notre député élu au premier tour, avec un programme pour les squats et qui comme Trump nous annonçait qu'avec son parti on aurait la paix immédiate à Gaza, un certain Andy K. s'en fout, il va s'approvisionner en sexe chimique à Paris. Il n'est de blanc bec qu'à Parisse ! 

 

Question 

Pourquoi les villes cités ne sont pas gribouillées ? Elles n'ont pas autant de mentions TB au brevet et au bac ? ou les cahiers sont distribuées gratos par la mairie ?  

 

 
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