La "pédagogie" du brevet de secourisme, revue et corrigée par l'IUFM...

Pour que l'acte de secours soit vraiment démocratique et débarrassé de son
fascisme intrinsèque, il faut que l'accidenté soit acteur de son propre
arrêt cardiaque. Laissez-le exprimer son ressenti profond. Demandez-lui
"et toi, qu'est-ce que tu penses ?" Ensuite, laissez-le reformuler ses
impressions pendant un quart d'heure. Puis, mettez les choses en commun au
terme d'un processus délibératif de négociation médicale. A ce stade,
surtout, il faut donner du sens au fait que le cœur ne batte plus. Enfin,
remplissez un questionnaire de 158 items répartis en savoirs, valeurs,
savoirs-être, savoirs-faire, procédures, comportements et compétences,
avant de procéder aux gestes de premier secours, s'il reste du temps avant
la fin de l'heure.

On m'a fait parvenir ce texte. J'en ignore la source.