"Je songe quelquefois à mon commencement ; L'azur venait d'éclore Et déjà je vivais, avec un cœur charmant, Éparse dans l'aurore. Je suis comme le temps, ma vie est faite avec La matière du monde, Je fus avant l'immense Égypte, avant les Grecs, Aux premiers jours de l'onde ; Je crois me souvenir de ce matin où vint Sur mes lèvres mouillées Se poser à jamais le lyrisme divin Aux ailes éployées" Anna de Noailles, princesse Bibesco de Brancovan, "Commencements", 1907. |
« Il faut que l’aide à mourir relève d’un juge et non de la décision des
médecins »
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La décision de mourir est une affaire de liberté et non un soin médical
parmi d’autres, rappellent, dans une tribune au « Monde », les philosophes
Jean Bau...
Il y a 14 heures
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