Deux histoires vraies vécues la semaine dernière :
- chez un épicier : "je voudrais 500 grammes de ..."
L'employé (un jeune de 22-25 ans, sans doute un bac + 5 en emploi d'été) : "c'est quoi 500 grammes ?"
- dans une grande surface de bricolage l'employée du rayon revêtements de sol est incapable de calculer une surface en multipliant la largeur du revêtement par la longueur quelle vient de couper. Or le prix est au m2.
Il paraît que l'éducation nous sauvera de la crise. Monsieur le ministre de l'éduc nat merci de nous avoir donné d'aussi bons résultats pour le bac 2009. La moitié des bacheliers ont la mention (j'ai entendu cela répété à la radio qui a précisé "certains comme d'hab diront que le niveau baisse") !
Les parents sont contents, les marchands aussi. Des cadeaux en perspectives pour ces enfants géniaux.
Et il faudra bien remplir les L1, L2, etc en fac...sinon on va supprimer des postes !
Procès des viols de Mazan : comment les juges ont motivé leur décision de
condamnation
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soumission chimique de Gisèle Pelicot : les 106 pages rédigées par les
magistrat...
Il y a 3 heures
2 commentaires:
Une de plus : sur le marché près de chez moi, j'ai demandé une livre de carottes au jeune vendeur (environ 25/30 ans). Bien ennuyé le jeune homme, il ne savait pas ce que signifiait "une livre" !!!
Dans ce cas, on peut accepter. Le terme "livre" date d'avant la Révolution française. Je sais bien que les USA en sont toujours aux pouces, onces et gallons. Mais cela leur a coûté cher : une mission spatiale a vu le vaisseau s'écraser car confusion mètres et pieds ! D'où l'expression "bête comme ses pieds" ! Je rigole.
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