"Paris : When economics students returned this winter to the elite Ecole Normale Supérieure here, a simple one-page petition was posted along the corridors demanding an unlikely privilege: French as a teaching language."
[...] it declared that it was 'unacceptable' for a native French professor to teach standard courses to French-speaking students in the adopted tongue of English"
International Herald Tribune, April 11 2007
Ouf ! bien. Les mots et les choses, les mots et les concepts.
Je me souviens du temps où la B.N. (la Biscuiterie Nantaise) et L.U. étaient devenus l'un General Mills et l'autre General Foods (je ne me souviens plus de la correspondance). A la B.N. j'avais appris que le "quatre-heure" étant spécifiquement français, le choco B.N. se trouvait dans la nomenclature de la multi-nationale (tiens, on n'emploie plus ce terme aujourd'hui !) dans la même classe que le jeu du Monopoly.
Pour les Anglais, saucisson, saucisse de Toulouse, de Strasbourg, de Morteau, boudin, salami ... tout ça c'est saussage.
Lisez les articles scientifiques en anglais et vous verrez qu'il y en a les 3/4 qui est de la langue de bois.
Au Japon, les auteurs qui sont financés par l'Etat doivent publier en Japonais.
Cependant, je trouve bien que l'on offre des cours en Anglais (j'aurais préféré que le Français soit la langue "pivot", mais les Français ont vraiment mal joué !) pour avoir une université comme à ses débuts au Moyen Age avec beaucoup d'étudiants étrangers. Et petit à petit les étudiants étrangers se mettraient au Français comme de mes étudiants qui ont appris l'Italien en stage à Bologne.
En résumé, soyons raisonnables.
Dans l'article cité, le journaliste cite des étudiants étrangers à l'Essec : les étudiants français s'intéressent à l'anglais uniquement pour passer le test d'admission à l'école. Ensuite :
"Once you were in, then you were finished. [...]You could have fun because you will get the degree and you will get all the best jobs."
Jusqu'à quand ?
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*L’homme ayant inventé l’appareil à raclette aurait pu s’arrêter là, mais
il faut croire que son effort acharné n’aura pas de terme.*
*Je veux bien pa...
Il y a 3 heures
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