jeudi 16 avril 2020

Les médecines parallèles qui se rencontrent


Cette année, comme je n'est pas planté mes (oui mes !) tomates, mes courgettes (je ne les plante pas, je les sème. Mais je connais des nouveaux jardiniers qui ont eu la révélation avec le confinement, qui plantent des radis. Ils se les font livrer par le supermarché. Idem pour les poireaux. ... donc je vais me rendre au drive du :


J'ai autre chose à vous proposer.

Coronavirus, le savon de Marseille vs le syndet ( synthetic detergent) ou savon sans savon

savon vs syndet
 
Laurence Coiffard
 
@Cosmetexpert
 
Petit point sur la différence entre un savon et un syndet (je me rends compte que ce n'est pas évident pour tout le monde et qu'il y a beaucoup de confusions !
 
Bonjour, doit-on comprendre que syndets ne sont pas ( ou peu ) efficaces pour lutter contre le coronavirus ?
 
Le savon ayant été seul étudié (à ma connaissance) mieux vaut s'en tenir à lui. Cela tient aussi au fait qu'il existe de très grandes disparités entre les syndets
 
 
Le potentiel hydrogène, noté pH, est une mesure de l'activité chimique des hydrons (appelés aussi couramment protons ou ions hydrogènenote 1) en solution. Notamment, en solution aqueuse, ces ions sont présents sous la forme de l'ion hydronium (le plus simple des ions oxonium).
Plus souvent, le pH mesure l’acidité ou la basicité d’une solution. Ainsi, dans un milieu aqueux à 25 °C :
  • une solution de pH = 7 est dite neutre ;
  • une solution de pH < 7 est dite acide ; plus son pH diminue, plus elle est acide ;
  • une solution de pH > 7 est dite basique ; plus son pH augmente, plus elle est basique.
Voila pourquoi j'ai la peau qui desquame ! c'est basique !

"Le savon est un produit liquide ou solide composé de molécules amphiphiles obtenues par réaction chimique entre un corps gras et une base forte, spécifiquement l'hydroxyde de sodium pour le savon ou l'hydroxyde de potassium pour le savon noir, c'est donc le sel d'un corps grasnote 1 et du potassium ou du sodium2. Cette réaction est en général opérée à chaud ; elle est possible à froid avec certains ingrédients.
Son caractère amphiphile lui donne des propriétés caractéristiques, notamment la capacité de ses composants moléculaires à se placer à l'interface entre la phase aqueuse (solvant hydrophile) et la phase lipidique (graisse hydrophobe), la formation de mousse et la stabilisation d'émulsions utiles pour le lavage3.
Ces sels sont aussi utilisés comme épaississants en entrant dans la composition de certains lubrifiants et de précurseurs de catalyseurs."
"Une eau dure, c'est-à-dire riche en cations calcium ou magnésium, a pour effet de faire disparaître le savon, c'est-à-dire de substituer les carboxylates de sodium ou potassium en carboxylates de calcium ou magnésium insolubles dans l'eau, formant la « crasse de savon ». "
J'en ai fait l'expérience dans ma chambre à la Cité U à Poitiers ! pas facile de laver dans le lavabo avec l'eau calcaire de Poitiers, puis ensuite même expérience à Montpellier. Pour les mains je l'avais constaté à Excideuil.
Quand on a vécu en Limousin (je ne parle pas du sud de la Corrèze !) on sait la différence !

un savon sans savon, comme son nom l'indique, ne contient pas de molécules de savon. Appelé aussi pain dermatologique ou syndet (pour synthetic detergent), il est à base de tensioactifs synthétiques. Son pH est proche du pH de la peau ;

A ceux qui sont contre la chimie : il ne faut pas utiliser le savon ou de syndet mes amis ! Nous à Bourdoux, à Jumilhac, l'été, on utilise de la saponaire bio (bon, je sais, elle pousse en bord de route, mais il ne passe guère de voitures !)
J'en entends "oui, mais du savon noir c'est bio " !
Le savon de Marseille s'est avec de la soude  et le noir c'est avec de la potasse !
Le savon de Marseille est principalement fabriqué à Nantes ! Nantes fournit les entreprises qui ajoutent des trucs dans le savon. La base c'est le savon nantais i.e. marseillais ! comme les melon charentais vient souvent du Maroc !
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Vous avez compris, le bleu c'est le breton, en sol acide (on y a aussi de l'oseille !)

Oh m.... !

"Quant au savon d'Alep, un ingrédient pose problème. Il s'agit de l'huile de laurier. En effet, si l'on se réfère à la liste des substances interdites dans les cosmétiques, on voit figurer sous le numéro d'ordre 359 "huile de graines de Laurus nobilis L". Il est donc étonnant de voir sur le marché ce type de savon. Un autre élément à prendre en compte est le mode de fabrication de ce produit qui est loin de respecter les bonnes pratiques de fabrication applicables dans l'industrie cosmétique. "


J'espère que nos lecteurs savent que :
"Parmi tous les lauriers, le laurier rose est une des plantes les plus dangereuses et toutes ses parties sont toxiques. L'ingestion d'une simple feuille peut s'avérer mortelle pour un adulte, en raison des troubles cardiaques provoqués. Cet arbre vivace possède d'élégantes fleurs parfumées qui peuvent être blanches, rouge-rose, jaune, orangées ou rouge-orangé."

Confinement : comment les vieux vont pouvoir s'en sortir, un truc

 Je monte mes escaliers plusieurs fois de suite,
j'ai mis une affiche des sommets des Alpes (les Ecrins !)  dans les chiottes à l'étage


et celle de la mer dans ceux d'en bas (la plage de la Mine d'Or à Pénestin) !
Quand je suis à l'étage je vais chier et pisser au rdc


Quand je suis au rdc je vais chier et pisser à l'étage
Et j'ai inventé ça sans cotche ! je n'en suis pas peu fier !



Je pars faire le tour des maisons d'à côté pour qu'on me prête un rouleau à pâtisserie. Avec le mien, je vais faire un home-trainer. Certes il ne sera pas connecté comme ils disent, mais j'ai encore ma tête pour visionner la route de la Bérarde ! Je me méfie des gendarmes et policiers justiciers qui font de la jurisprudence avec le règlement sur les sorties autorisées. Du coup je fais manifestement comme 99% des cyclistes urbains, je laisse le vélo au garage.

Le jour d'après, qui croit que le Français va renoncer à la "part significative de son pouvoir d'achat" qui vient des prix bas de ce qu'on importe de Chine ?

"Quant au consommateur des pays développés, il n’a pas longtemps hésité à se tourner vers ces produits importés pour bénéficier de la rente qu’ils portaient en eux. Et ce dernier ne renoncera pas aisément à une part significative de son pouvoir d’achat."
D.S.K.


Extrait de https://www.leclubdesjuristes.com/letre-lavoir-et-le-pouvoir-dans-la-crise/



Quand on sait que beaucoup faisaient des kilomètres pour économiser quelques centimes (ont-ils effectivement fait le calcul ! j'en doute ! mais le business c'est la psychologie primaire) au lieu de faire le plein à côté. Du coup, on n'a plus de pompe.
Il paraît que les tout petits supermarchés ont du succès maintenant, ceux qui restent.
Le jour d'après vous pensez qu'ils survivront ? Vous allez voir que le client va se rattraper !
Si on se met à fabriquer en France les composants des médicaments, vous allez voir des manifs contre cette chimie qui tue.
Vous vous souvenez de celui qui a dit que l'idéal était une économie sans industrie.


Et avec stock zéro ! du fluide, de l'agile, du sautillant, du bienveillant !



Ça baigne dans l'huile



Idem si on recycle en France (encore faut-il savoir le faire ! et on en est fort loin) les smart-phones qu'on jette au bout d'un an, vous allez voir des manifs contre ces usines. Si on les construit au fond du Limousin ou du Périgord (Vert bien sûr), on n'aura pas de Zad. Bé une Zad faut une grosse ville à côté. Allez fermer des routes où ne passe pas plus de deux voitures par jours ! ridicule ! Alors on pourra faire jouer le faux-culisme qui va prospérer dans le jour d'après.
Et de l'or pour nos ordinateurs, etc. Du local, de l'or du Bourneix ! bé non, on fera appel aux voleurs qui savent en obtenir dans les maisons sans polluer et savent transformer les bijoux de famille en lingots inodores.
Et va-t-on remplacer nos beaux mitigeurs en inox par des robinets en cuivre brut de notre enfance ? Quand j'ai voulu remplacer les tirettes des chiottes par des boules en cuivre brut, je n'en ai pas trouvé. Est-ce que dans les fachionnes ouiques on nous en mettra en valeur ? On vient de redécouvrir que le cuivre c'est chic. Et dire que les rois de l'agriculture bio, eux, ne pensent qu'au sulfatage qui transforme les terres en terres vierges !
"D'un côté, une petite plaque de cuivre avec une goutte contenant 10 millions de cellules de staphylocoque doré; de l'autre une plaque d'acier inoxydable avec la même quantité de cellules bactériennes connues pour leur résistance aux antibiotiques. Les deux sont placées sous un microscope. Grâce à une coloration verte fluorescente, la population bactérienne est visible. Dix minutes plus tard : la plaque de cuivre est presque redevenue noire, tandis que l'autre est toujours vert fluo. L'expérience (voir la vidéo) vaut mieux qu'un long discours pour comprendre que le cuivre est une surface antibactérienne très efficace."






Jamais on a autant discuté dans le lotissement. Hier on m'expliquait que la nourriture c'était la grande part du budget, que depuis l'euro les prix avaient flambé etc etc ! Bé, c'est que souvent ce qu'on paye avec des billets et des pièces (et que ça fait chier ces centimes ! on aurait pu les supprimer ! ben voyons !) c'est la nourriture. Pas au big-supermarkete.
C'est là qu'on voit que l'on est un pays de haute culture ! Les pourcentages c'était bon pour l'école primaire du temps de ces salauds de boomers qui nous ont conduit dans la merde.


Mais en même temps on m'expliquait qu'on va fabriquer enfin en France.
On ne m'a pas dit si on allait ouvrir encore plus de bouisiness scoules et si on allait dans les écoles d'ingénieurs arrêter de remplacer les profs de sciences et de techniques par des profs de management. Et de mettre dans la tête des étudiants qu'ils n'ont pas à s'y connaître en ingénierie : ils feront bosser les ingénieurs d'Asie. Ils contrôleront leur travail. Mais n'y connaissant rien, ils feront appel à des sociétés de contrôleurs asiatiques. On n'est pas idiots !
On nous a appris à ne plus prendre le vélo pendant le confinement. Et après on aura ces images bien nettes dans la tête !


prenez la voiture c'est hygiénique

P.S.
https://www.insee.fr/fr/statistiques/1379769

" Depuis 1960, les ménages consacrent à l'alimentation une part de plus en plus réduite de leur dépense de consommation : 20 % en 2014 contre 35 % en 1960.
En cinquante ans, la consommation alimentaire par habitant a malgré tout augmenté régulièrement en volume, mais moins rapidement que l'ensemble de la consommation.



La composition du panier alimentaire s'est par ailleurs modifiée. La viande, les fruits et légumes, les pains et céréales et les boissons alcoolisées progressent moins vite que les autres produits alimentaires. Ils cèdent notamment du terrain aux produits transformés et aux plats préparés. La hausse du pouvoir d'achat des ménages, l'évolution contrastée des prix des différents produits et la baisse du temps consacré à la cuisine contribuent à la modification des pratiques alimentaires. Enfin, la consommation d'alcool au domicile devient plus occasionnelle ; elle intègre en outre de plus en plus d'alcools forts et de vins de qualité supérieure. Les prix pratiqués dans les cafés et restaurants s'accroissent sensiblement plus vite que ceux de l'alimentation à domicile."



Gardez vos bidets ! c'est tendance avec le manque de papier torchecul. A cheval sur mon bidet !

J'ai connu le bidet en tôle portatif. On l'a conservé même après l'installation d'une salle de bain à la maison. Ma mère l'amenait en camping aux Abatilles sur le bassin ... celui d'Arcachon !


Je n'ai pas conservé ce bidet et à la maison comme il servait pour faire tremper le linge, finalement je l'ai supprimé le bidet en porcelaine. Je n'étais pas le seul. A Emmaüs il y en a un stock pas prêt de se vider.


Avec le covid19 le bidet est "tendance" aux USA et donc il va l'être en France (quoique ce ne soit pas une connerie, nous on leur pique les conneries).


It took a pandemic, but the US is finally discovering the bidet’s brilliance

The stress hoarding is forcing Americans low on toilet paper and ‘bidet curious’ to finally purchase one – and to some, it’s even a pandemic lifehack
I had been “bidet curious” for years. But it wasn’t until my husband sent me a photo of the ransacked paper products aisle at the supermarket that I finally decided to take the plunge.
Cleaning yourself with water just makes sense to me. If I step in dog poo, I wash my shoes off with water. Bidets are also a lot gentler on your nether regions than toilet paper. You still use a little paper, but much less – a reduction of as much as 80%, according to one bidet purveyor.
A couple of days later, I got a text from a friend running low on toilet paper. I told her about my recent bidet purchase. Minutes later she messaged me again: the company I suggested was backordered through the end of the month.
It seems that America, too, has discovered the bidet.
In the first week of March, “we saw sales starting to double what they had been the month prior”, said Jason Ojalvo, CEO of Tushy, a bidet company founded in 2015. “Then two days later they were triple what they usually are, and then suddenly it was 10 times what normal sales are. A few days later it peaked at a million-dollar sales per day.”
Owing to shelter-in-place restrictions across the country, families need more toilet paper at home. While previously they used the bathroom at work, school and restaurants, they are now going at home. The type of toilet paper in short supply are luxury brands – double-ply and made of virgin fiber – as opposed to the single-ply recycled paper that businesses tend to use.
Rather than chasing rumors of where toilet paper was last seen on shelves, some millennials see purchasing a bidet as a kind of pandemic lifehack. Kaitlyn Braswell, a management analyst in Chicago who ordered hers a few days ago, is looking forward to what she describes as a new level of cleanliness. She only wishes she had ordered it sooner – it’s expected to ship in mid-May.
In Italy, where bidets are in every household, the American rush for toilet paper remains a mystery. It’s completely unthinkable that American bathrooms would be without such an essential piece of equipment. As far back as 1975, a hygiene law stated: “For each accommodation, at least one bathroom must be equipped with the following sanitary facilities: toilet, bidet, bath or shower, washbasin.”
America’s disdain for bidets has no clear basis. Douching was once thought to be a kind of birth control, and in 1936 an onlooker suggested that “the presence of a bidet is regarded as almost a symbol of sin”, according to the Atlantic. One convoluted theory holds that American soldiers in Europe during the second world war visited French brothels and saw the basins, which they instantly associated with prostitution.
Today the stress hoarding of toilet paper has become exactly the incentive that many people needed to make a decision they may have been mulling for years.
For Brandon Krajewski, a film-maker living in Los Angeles, a combination of the rumored paper shortage and Tushy’s marketing convinced him to wash instead of wipe.
“We had a bidet experience several months prior while staying at an Airbnb and liked it. Once we saw all the toilet paper flying off the shelves, we realized we could reduce our costs and paper waste.”
Tushy isn’t the only bidet brand seeing an incredible spike in sales.
Business Insider has reported that Brondell is “selling a bidet on Amazon every two minutes, or about 1,000 units per day”. The demand for some of the bidet attachments that Hygiene for Health sells has doubled over the last two weeks.
The timing could be a boon for the environment. Trees are a carbon sink, and a (controversial) study published last year claimed the world has the capacity for at least another trillion trees, which could mitigate climate change.
If Americans gave up toilet paper, they could keep 15m trees from being turned into pulp every year. Instead of deforesting Canada’s boreal forest, one of the largest carbon stores on the planet would be preserved.
Bidets can, surprisingly, also help conserve water. Manufacturing one roll of toilet paper requires 37 gallons of water, Scientific American has reported. Some bidets, by comparison, use one-eighth of a gallon a flush. Also contributing to toilet paper’s carbon footprint are the hundreds of thousands of tons of chlorine required to make toilet paper white, the energy required in the manufacturing process, the single-use plastic that it gets packaged in, and the fuel for shipping .
Now quarantined at his house in Madison, Wisconsin, Josh Faulkes, manager of the Wisconsin Society of Cytology, said the pandemic has changed the bidet from a fantasy item to a necessity.
“This situation moved the product from a ‘one of these days’ luxury item to a more practical purchase, up there with replacing our back door and changing our tires.”
Though he views ownership of a bidet as entirely practical, Faulkes is actually splashing out and getting one with warm water, a heated toilet seat and a warm air dryer.
“It’s actually a birthday present,” Faulkes confessed. For himself.


Ma mère avait raison ! c'était une sage ! une sage-femme !


Ca marche aussi pour faire tremper les serviettes hygiéniques en coton !
et se laver les pieds !


 

Et que vois-je sur Youtube !

Est-ce un faux ? On voit et entend de tout de nos jours.

Même le vrai de vrai qu'on lit est super étonnant. Ce qui fait passer le faux pour du vrai et parfois le vrai pour du faux. On a bien le savon sans savon. Et ça ne choquera pas votre pharmacien. Même les écrits de notre Didier Raoult. Et je ne compte pas ses youtubes papers.


En tout cas si c'est un vrai, ça a bien changé depuis les années 60. Certes c'est à Marseille.



C'est intitulé " Harcèlement moral et sexuel à l'IHU Méditerranée Infection ? Gala 2017 des Internes de Marseille "

Et on a les paroles. Une paillarde du XXIe siècle. On est loin du Père Dupanloup ! de la rue Cuvier, etc.

Covid 19, Je me souviens du plastique Gilac, plastique miracle, maintenant on a le Schweppes médicament miracle !

remède miracle

Ça marche à Melun. Est-ce que ça marche dans le sud ? On a contacté Douste de Lourdes, il ne nous a pas répondu.


Idem pour l'Orl Michel Cymes, pourtant lui il a l'oreille de beaucoup de monde et il est marrant. Et il fait de bonnes affaires.


J'ai voulu relire Karl Marx et comme j'ai laissé mes volumes papier en Limousin couverts de cobweb - toile d'araignée in french - , je suis allé sur la Rentela en occitan (la toile, le web in ingliche), et je suis tombé sur



Bé  on lui en veut : il n'est pas joueur de foot !

Masques. Pourquoi tu tousses ? "Un million d’euros de cocaïne caché parmi des masques anti-Covid-19 au tunnel sous la Manche"

Un million d’euros de cocaïne caché parmi des masques anti-Covid-19 au tunnel sous la Manche #ConfinementJour31




jeudi 2 avril 2020

Je me souviens du mot le plus long » anticonstitutionnellement « , maintenant je connais le mot le plus sale de la langue française : » Concupiscent «


PATHER
Le mot le plus sale de la langue française : Concupiscent.
 
 
 » anticonstitutionnellement  » je l’ai appris à l’école des casernes à Saint-Yrieix. L’instit avait tenté de nous expliquer ce qu’il voulait dire. C’est au collège en  » Instruction civique  » que j’ai compris.
 
Je me souviens de la Constitution de la Ve République. Je l’avais conservée dans la pochette des documents fournis au collège pour cet enseignement. »
 
Mon blogueur m’écrit :
« Pour le plus long avec l’Europe on est passé à INTERGOUVERNEMENTALISATIONS« 
Bé non, nous dit l’Académie française !
 
 
 »
 
Non, l’Académie n’a pas changé le mot le plus long du dictionnaire
Sur les réseaux sociaux, la rumeur est tenace. Les Immortels auraient élu «intergouvernementalisations» en tant que mot le plus long de la langue française, détrônant le célèbre «anticonstitutionnellement». Billevesée ! « 
 »
Est-ce à dire que notre «anticonstitutionnellement» peut continuer son règne sans partage au titre de mot le plus long de la langue française? Certes non! Il s’agit là aussi d’un mythe populaire. En réalité, les dictionnaires regorgent de mots bien plus tarabiscotés qui dépassent les 25 lettres. «Ils ne sont pas utilisés dans la langue courante et ne sont, de ce fait, enregistrés que par des lexiques techniques et spécialisés», explique Virginie Chouraqui. Le mot
«cobaltidithiocyanatotriaminotriéthylamine»,
que l’on retrouve dans le Dictionnaire de la chimie de Duval, par exemple, possède 41 lettres!
Désolé donc pour les
hippopotomonstrosesquippedaliophobiques,
qui ont la peur des mots trop longs, mais il existe bien pire que notre «anticonstitutionnellement» et que cet hypothétique «intergouvernementalisations». Nos voisins allemands possèdent d’ailleurs un sacré monstre (aujourd’hui désuet) composé de 63 lettres:
«Rindfleischetikettierungsüberwachungsaufgabenübertragungsgesetz»,
soit «loi sur le transfert des obligations de surveillance de l’étiquetage de la viande bovine». La vache ! « 

Covid19, avec les achats de masques, je me souviens de » Cash and carry «

 » La clause Cash and Carry (Payez et emportez) est une disposition introduite dans deux lois de neutralité adoptées par les États-Unis à la fin des années 1930 : la première (1er mai 1937) autorise le commerce en direction d’un pays belligérant, mais en exclut les armes et fait obligation à l’acquéreur de payer au comptant et d’assurer lui-même le transport des marchandises ; la seconde (4 novembre 1939) lève l’embargo sur les armes et leur applique la clause Cash and Carry. »
 »
Le but était de conserver la neutralité des États-Unis vis-à-vis des pays européens, tout en accordant une aide à la Grande-Bretagne, en exploitant le fait que l’Allemagne n’avait pas de fonds et ne pouvait pas assurer le transport transatlantique alors sous contrôle britannique. Diverses politiques, telles que les lois de neutralité de 1935, 1936 et 1937, prohibait la vente de matériel de guerre ou le prêt d’argent aux pays belligérants quelles que soient les conditions. L’économie américaine rebondissait à ce moment, après la Grande Dépression, mais il y avait toujours un besoin de créer des emplois dans l’industrie manufacturière. Le programme Cash and Carry aida à résoudre ce problème et la Grande-Bretagne bénéficia de la possibilité d’acheter des armes et d’autres marchandises.

Ce programme empêcha également les entreprises américaines de miser sur le succès ou l’échec des nations en guerre. À la suite de la conclusion du Comité Nye, qui affirmait que l’implication des États-Unis dans la Première Guerre mondiale avait été motivée par des intérêts privés de fabricants d’armes, les Américains pensaient que l’investissement dans un belligérant conduirait à terme à une participation américaine à la guerre.

Les navires de transports américains furent interdits d’entrer dans les zones de conflit et les passagers américains voyageant à bord de navires étrangers le faisaient à leurs risques et périls.

La législation Cash and Carry, adoptée en 1939, mit fin à l’embargo sur les armes qui avait été en place depuis la loi de neutralité de 1936. Elle a ouvert la voie au Prêt-bail (Lend-Lease).

La loi Cash and Carry, adoptée en 1939, ne fut pas un échec, elle n’était tout simplement plus une mesure efficace après que l’Allemagne eut commencé à envahir ses voisins. Après la chute de la Belgique et des Pays-Bas, et l’invasion et la capitulation de la France, Roosevelt a fait pression pour l’introduction du Prêt-bail. En outre, le concept de Cash and Carry avait permis au Japon de continuer à beaucoup commercer avec les États-Unis tandis que le commerce avec la Chine avait chuté à presque rien, compte tenu de leurs faibles ressources économiques5. Aider un ennemi au détriment d’un allié n’était pas ce que Roosevelt avait espéré. Cela affecta également l’Italie. Le Prêt-bail était un régime dans lequel les alliés européens n’avaient pas à payer rubis sur l’ongle ou à organiser le transport. Au lieu de cela, les États-Unis demandaient le paiement à une date ultérieure.

Conformément à la doctrine Monroe, les États-Unis ne participèrent pas activement à la guerre jusqu’à ce que le Japon et l’Allemagne leur déclarent la guerre, après quoi ils sont passés d’une aide à une participation active. »

Il y a aussi le


Bien des restaurateurs ne cuisinent pas. Ils vont à coté de chez moi au cash and carry. Mais on y vend aussi des matières premières pour cuisiner.

Quatre moyens de détruire les coronavirus : savon et eau, solution d’eau de Javel, désinfectant pour les mains à base d’alcool, peroxyde d’hydrogène


Four-ways-to-destroy-coronavirus


»
How do you fight something you can’t see? That’s the question when it comes to the coronavirus crisis which currently has many of us holed up at home. Physical distancing is one important answer to preventing the spread of the virus, as avoiding catching it in the first place stops you from spreading it to others. But how can we take the fight directly to the virus?
First, the bad news. You’ve probably seen this virus referred to as ‘novel coronavirus’. This has nothing to do with long reads — it’s just another way of saying that it’s a type of coronavirus we haven’t seen in humans before. Coronaviruses are actually a big virus family, and some of them cause types of what we call the common cold. SARS-CoV-2 is the particular member of this family that’s causing this outbreak.

Anyway, because it’s a new virus, we don’t have a vaccine for it, and making vaccines tends to take a while. And we don’t have any proven treatments for it either (regardless of whatever claims to the contrary you’ve heard from random WhatsApp groups/social media/US presidents). This is why stopping the disease from spreading rapidly and overwhelming hospitals is currently our best bet.

Outside of the body, there are ways for us to destroy the virus and reduce our own chances of contracting it. To understand how these work, it’s useful to know about the structure of this particular virus. SARS-CoV-2 is a type of enveloped virus. This just means it’s got an outside layer around its genetic material. The outside layer is made of fat molecules and is one of the possible targets for destroying the virus. We can also target proteins in this layer, or even the genetic material itself.

‘Wash your hands for 20 seconds’ is a mantra you’ll have heard oft-repeated over the past month. That’s because it’s comfortably the best way to destroy the virus. Soap contains molecules called surfactants, which have two ends: one end dissolves really well in fats, while the other end dissolves really well in water. When these molecules come into contact with the fatty outside layer of SARS-CoV-2, they dissolve it and tear the virus apart.

All types of soap contain these surfactant molecules, so it really doesn’t matter which type you use. Some soaps contain additional antibacterial ingredients, but these are active against (you guessed it) bacteria, so they don’t affect the virus. The surfactant molecules these soaps contain still do the job, though.
If you want to delve deeper into the chemistry of soaps and surfactants, The Chronicle Flask has a great explainer of the history of soap and how it works. Soap and water isn’t just good for your hands — it’s also effective at cleaning surfaces, too, so you don’t need to rush out and buy any fancy surface cleaners.
Right, so soap is great. But what if you can’t wash your hands right away? If you’re popping to the supermarket to pick up your food shopping, you probably won’t have easy access to soap and a sink. This is where hand sanitisers come in — assuming you managed to get your hands on some before it seemingly sold out everywhere.

Firstly, it’s important to note that hand sanitisers are not all created equal. Alcohol-based hand sanitisers are the type that you want. There are non-alcohol-based sanitisers, but these have been shown to be less effective against viruses. The alcohol-based sanitisers, on the other hand, are effective against many types of virus, including SARS-CoV-2.

Another point is that they need to contain at least 60% alcohol. If you’re using it to clean surfaces, the CDC recommends that a minimum concentration of 70% alcohol is needed. The alcohol molecules are doing the dirty work here — they damage the structure of virus proteins, destroying the virus. In a double whammy, they also dissolve the fatty outside layer of the virus. There’s a whole graphic dedicated to how they work here.
Hand washing and alcohol-based sanitisers
are the best options for destroying any traces of virus on your hands. For hard surfaces, you’ve also got a couple of other options which work in similar ways against the virus.

A bleach solution is very effective at cleaning hard surfaces. The Centers for Disease Control and Prevention (CDC) explain how to make a 0.1% solution from household bleach on their website. Bleach reacts with and destroys virus proteins and the virus genetic material. It’s important to spray it on the surface and then leave it to act for around 10 minutes for the maximum effect.

It’s also very important not to mix bleach with other cleaners. There’s no need to anyway, as it does a very effective job on its own. And if you do, there’s the risk of the cleaner reacting with the bleach and generating toxic chlorine gas. We’re trying to kill the virus here, not you.

A 3% hydrogen peroxide solution is also effective against viruses. It works in a similar manner to chlorine bleaches, reacting with and destroying virus proteins and genetic material. Similarly, it should be left to act for up to ten minutes. It’s also a good idea not to mix it with other cleaners, particularly those containing vinegar. Vinegar and hydrogen peroxide makes corrosive peracetic acid, and while this is also used in some cleaners, it’s not a good idea to mix it up like this yourself.

Really, the bleach and peroxide options are overkill. Soap and water will do an effective job on any surface you can clean with them. Soap’s less hazardous to work with, too, and can be easily used to regularly clean surfaces you touch frequently.

With all the above said, it’s disclaimer time. You could be washing your hands every five minutes, and cleaning the surfaces in your house on loop. It still doesn’t guarantee you won’t catch the virus. What we’re trying to do here is to decrease the risk of you catching it, but it’s very difficult to reduce that risk to zero.

But outside of the physical distancing you’r
e hopefully all practising, washing our hands and surfaces are the best direct action we can take to prevent the virus spreading. By doing so, we’re reducing the burden on our health services and hopefully helping save lives.  »

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Épurge ( Euphorbia lathyris ) contre les taupes ? !



J’ai longtemps cru qu’il s’agissait de fritillaire. Est-ce dû à une erreur de ma mère ? ou à un défaut de ma mémoire visuelle ?

Ma mère m’avait dit avoir planté des fritillaires à Bourdoux contre les taupes qui habitent le coin depuis longtemps. Mais je ne reconnaissais pas les fritillaires dont je voyais les photos dans les livres. En fait la plante qui s’est répandue est l’épurge, facilement reconnaissable.

 » Cette plante bisannuelle a un port très particulier : une tige dressée, droite, simple, creuse, se ramifiant seulement vers son sommet et portant des feuilles opposées décussées, c’est-à-dire disposées par paires en croix, à l’horizontale. La tige se prolonge en terre par une racine pivotante. La hauteur de la plante est de 30 à 150 cm.

Les feuilles, d’un vert bleuté (glaucescentes), sont sessiles, entières, allongées, glabres, un peu embrassantes, se rétrécissant vers leur extrémité terminée par une petite pointe. Elles n’ont qu’une seule nervure blanchâtre. La largeur des feuilles atteint 15 mm.

Les fleurs sont en réalité de petites inflorescences condensées (cyathes), dont les glandes ont ici une forme de croissant à cornes courtes. Les fleurs, jaunes ou verdâtres, sont réunies en grandes ombelles à 4-6 rayons qui se subdivisent plusieurs fois. Les bractées, libres, qui marquent ces bifurcations ont une forme ovale différente de celle des feuilles. L’involucre à la base des ombelles est composée de 4 bractées réunies en croix.

Les fruits (capsules), de la taille d’une grosse câpre (jusqu’à 2 cm), sont formés de trois parties arrondies, lisses, spongieuses. Les graines globuleuses sont brunes, rugueuses.  »

Cette année elles s’est particulièrement répandue.

Les taupes s’en moquent ! je trouve des taupinières aux pies des épurges !
Wikipedia nous dit tout !

 » Comme toutes les euphorbes, la plante laisse s’écouler un latex blanc quand on la coupe.
L’huile extraite des graines a été utilisée pour l’éclairage.
C’est une plante qui a la réputation, non vérifiée, de faire fuir les taupes. Cette réputation doit être attribuée aux tiges fraîches que l’on introduit cassées dans les galeries de taupe ou de campagnol, c’est le latex corrosif qui irrite le nez de la taupe et non pas la plante proprement dite. On peut réaliser un extrait fermenté et le répandre dans les galeries, son effet est considéré comme répulsif.
Les graines ont été utilisées comme purgatif, plutôt violent. Le latex a servi à traiter les verrues. Elle fait partie des plantes dont la culture est recommandée dans les jardins du domaine royal par le capitulaire De Villis. C’est une plante toxique. Le contact du latex avec la peau crée une irritation assez rapide et persistante. En cas d’ingestion, des brûlures des muqueuses de la bouche et de l’œsophage sont à craindre ainsi que des douleurs d’estomac pouvant entraîner des vomissements.  »

Je vais tenter ! ce sera mieux que de mettre des bouts de verre cassé ! Les taupes ne sont pas hémophiles !

Avant nos photos voici celles de Tela Botanica


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Ça pousse comme du chiendent !
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 » des feuilles opposées décussées, c’est-à-dire disposées par paires en croix, à l’horizontale »
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 » Les feuilles, d’un vert bleuté (glaucescentes), sont sessiles, entières, allongées, glabres, un peu embrassantes, se rétrécissant vers leur extrémité terminée par une petite pointe. Elles n’ont qu’une seule nervure blanchâtre. La largeur des feuilles atteint 15 mm. «

Confinement : on va pouvoir devenir auto-suffisants alimentaires !



Coronavirus. Plants potagers : leur vente considérée comme « de première nécessité 


 » Ce mercredi 1er avril 2020, après avoir été interpellée par le sénateur du Maine-et-Loire Emmanuel Capus, la secrétaire d’État auprès du ministre de l’économie et des finances Agnès Pannier-Runacher a annoncé l’autorisation, pour les horticulteurs, de commercialiser leurs plants potagers. «  Ouest-France


Si je comprends bien, les Français n’ont pas fait ce qu’il fallait. Mais ils ne sont pas responsables. On ne leur a pas dit qu’il fallait faire des semis. Et ne pas attendre la crise !

Du coup, heureusement que les horticulteurs ont fait le boulot. Mais y aura-t-il assez de plants pour tous ? Ou va-t-on crever de faim ?

Mais je suis sûr que tous ceux qui ont un bout de terre autour de leur maison ont déjà préparé le terrain. Et ceux qui avaient bétonné parce que les plantes natures c’est chiant, ont cassé le béton et ameubli la terre. Et ont commencé le compost.
 
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