" Il (le chartreux) vit tout seul sur sa montagne, de prière, de macération, de la distillation des boissons alcooliques, de deux ou trois sardines qui rôdent dans un vivier et qu'on se partage les jours de fête, et d'un petit troupeau de chèvres misogynes. Ces chèvres, en effet (faites-en l'expérience), n'acceptent de sel que des hommes. Et la morale de cette histoire, c'est que tout ce qui porte barbe et corne ferait bien, comme ces sages mammifères, de se méfier d'un sexe trompeur. "
Alexandre Vialatte, chronique 1153, du 27 décembre 1955
Un moment de bonheur : « Je cours jusque dans les bras de ma grand-mère
venue d’Alger »
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Qu’est-ce qui nous rend heureux ? Chaque jour, des témoins racontent au
« Monde » un épisode de leur vie qui leur a apporté une joie intense.
Aujourd’hui :...
Il y a 7 heures
1 commentaire:
De là à forniquer avec un bouc !!!
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