on mâche trop, on est trop pressé. On annonce tous les virages, trois heures avant ... [...] Non, il faut se paumer une bonne fois, tout seul, avec angoisse, pour se mettre à repérer les lieux, pour acquérir le sens de l'orientation. Si les campagnards ont tant d'attention, à part le silence, c'est peut-être parce que la campagne ne porte ni flèches ni écriteaux. "
Claude Duneton, Je suis comme une truie qui doute, Points, Actuels, 1976, page 111
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Il avait dû entrer par une fenêtre ouverte et s’était tapi dans un coin. Il
se levait la nuit, quand nous dormions, et saccageait le salon, faisait
claqu...
Il y a 12 heures
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