" Ce charmant volatile vivait dans le couvent des Visitandine de Nevers et
son langage particulièrement recherché faisait l’admiration de tous. Sa
réputation dépassa les limites du Nivernais et les Visitandines de
Nantes voulurent en faire la connaissance. Le merveilleux animal fut
envoyé à Nantes par la Loire et apprit au fil des jours le grossier
langage des mariniers, car « dragons et mariniers, race assez peu dévote, ne parlait là que langage de gargote ».
À son arrivée, Vert-Vert horrifie les religieuses par la verdeur de ses propos.
Il est renvoyé à Nevers où il est condamné au cachot et au pain sec.
Cependant, cantiques et prières lui reviennent en mémoire et les Visitandines fêtèrent son retour en grâce mais, «
Du sein des maux d’une longue diète, passant trop tôt dans des flots de
douceurs, bourré de sucre, et brûlé de liqueurs, Vert-Vert tombant sur
un tas de dragées, en noirs cyprès vit ses roses changées ». "
Extrait de La Gazette d'Orléans
http://www.gazettedorleans.fr/?Le-Perroquet-et-les-Visitandines
Ah, les mariniers...dont celui de Couéron
Y avait un' fois un marinier
Qu'avait bien envie d' s'amuser
S'en fut à la Courti-ille!
Ousque le vin péti-i-i-ille!
Refrain
Il nous faut du vin-in!
Et du vin nouveau-eau!
Du vin nouveau!
[...]
Celui-là qu'a fait la chanson
C'est un marinier de Couëronn.
Couëron, tout près de Nantes,
Ville très commerçante.
Ce qu’il faut retenir de l’actualité du week-end : attaque mortelle au
marché de Noël de Magdebourg, aide humanitaire attendue à Mayotte…
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Vous n’avez pas suivi l’actualité, samedi 21 et dimanche 22 décembre ?
Voici ce qu’il s’est passé ces dernières quarante-huit heures.
Il y a 41 minutes
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