vendredi 27 décembre 2019

Larmor-Baden, le passage du gois pour l'Ile de Berder



"Cette île est entièrement vouée aux loisirs. Elle a été aménagée et entretenue comme centre de vacances par Loisirs Vacances Tourisme (association sans but lucratif loi de 1901) qui en avait la location. Le bail est détenu jusqu’en 2013 par Yves Rocher qui a loué cette île à l’association. En 2012, l'île est vendue au groupe rennais Giboire qui projette d'y construire un hôtel 4 étoiles horizon 2020, avec des premiers travaux paysagers dès 20161.
Le pourtour de l'île est accessible aux promeneurs. Il permet de découvrir une végétation de type méditerranéen peu commune dans la région2.
Le recouvrement du passage lors des grandes marées est souvent synonyme de la présence d’amateurs de freestyle en kayak. En effet, à partir d’un certain niveau d’eau, le gois se transforme en rouleau offrant ainsi un « spot » (qui évolue au fur et à mesure de la marée) à ces sportifs."


Ile Berder / © DRIle Berder / © DR



Un hôtel 5 étoiles ! qu'en faire ! la Bretagne ne suffit pas !
Il y en a qui veulent venir là faire ce qu'ils peuvent faire dans la grande ville !

Nous on a trouvé un appartement dans l'ancien bel hôtel sur la côte à 5 minutes.




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 Coucher de soleil en face de nos fenêtres


Il nous reste à faire le carnet de voyage en aquarelle



jeudi 19 décembre 2019

Saint-Pierre-de-Frugie, Montcigoux : Ernest n'est pas Ernest

tps://www.sudouest.fr/2019/11/28/dordogne-ernest-le-squelette-est-vieux-de-six-ou-sept-siecles-6880697-1980.php

Le célèbre squelette de Saint-Pierre-de-Frugie a été daté au carbone 14. Les résultats, révélés ce jeudi, annihilent la légende qui en faisait l’auteur et la victime de crimes horribles commis au XIXe siècle.
Les résultats communiqués ce jeudi 28 novembre par le Ciram, laboratoire girondin, enfoncent le clou : Ernest n’est pas Ernest.
La datation au carbone 14 du célèbre squelette de Saint-Pierre-de-Frugie (Dordogne), exposé dans la tour du manoir de Montcigoux, retient une période comprise entre 1278 et 1388, comme l’ont révélé nos confrères de France 3 Périgord sur Twitter dans la matinée.
Voilà qui confirme les recherches de Bernard Aumasson, ce généalogiste affirmant de longue date que les ossements découverts en 1913 ne peuvent être ceux d’Ernest Pagnon de Fontaubert, mort en 1862.

Je me souviens de mon voisin qui avait une orange dans le chausson pour Noël

Derrière chez nous habitaient les Brachet. Les parents, les enfants et la grand-mère. Je me souviens que pour Noël, la grand-mère reproduisait ce qu’elle avait sans doute vécu (ma grand-mère paternelle avait connu la même chose) pour Noël, une orange. Et rien d’autre.

Résultat de recherche d'images pour "orange"
Ce qui me rappelle ce que m’a dit Jean-Pierre Reauly, celui qui a créé la défunte association des anciens du lycée Darnet, quand il rentrait le samedi chez lui du  côté de Saint-Priest-les-Fougères, il ramenait du lycée, par le car Gayou,  les oranges pour ses parents.

Et nous ne sommes pas nés avant 1900 !

Ok Greta ?

Il faut sauver le châtau de Jumilhac, le plus beau du Périgord


Allez lire le Populaire. Merci à lui. Jumilhac n’est pas sur ses terres. On est en Dordogne. Mais c’est une inattention lors de la Révolution qui en est la cause. Qui connaît la route de Jumilhac à Thiviers comprend. On est sur les terres de Sud-Ouest ou de la Dordogne Libre.

Grace au Populaire nous en apprenons sur notre château. On y tient beaucoup. On ne se lasse pas de le regarder quand nous sommes dans le pays. Allez le voir à Jumilhac ! Sortez des sentiers battus de Sarlat, remontez à Brantôme puisen visitant en chemin, filez à Jumilhac.




« En arrivant dans le bourg de Jumilhac-le-Grand, à un jet de pierre (de 7 km précisément) de la Haute-Vienne, l’œil glisse irrémédiablement vers sa silhouette imposante. Une masse qui s’étire irrésistiblement vers le ciel dans une succession de tourelles et cônes qui culminent à plus de 25 mètres, à la finesse rehaussée de faîtières en plomb ciselées. Le château de Jumilhac a inspiré en son temps Gustave Doré. « Il disait que cette toiture était la plus romantique de France », sourit Henry de la Tour du Pin, l’actuel propriétaire qui perpétue une histoire familiale débutée en 1927, par l’acquisition du domaine par ses grands-parents maternels.
Cette spectaculaire toiture recouverte de plus d’un hectare d’ardoises corréziennes taillées à la main, certaines d’un bon centimètre d’épaisseur, d’autres guère plus grandes qu’un paquet d’allumettes, est parfaitement emblématique du site. Pourtant, en la scrutant, on y décèle les ravages du temps qui passe. Et un petit tour dans les combles confirme le diagnostic. Outre l’invasion de la mousse et la détérioration des épis de faîtage, les trous sont nombreux et l’infiltration de l’eau, inévitable.
Une situation qui a poussé Henry de la Tour du Pin à lancer, le 15 novembre 2019, un appel à contribution sur la plateforme de financement participatif dartagnans.fr. Car si, « sur un exercice triennal, le château se suffit à lui-même avec les visites, entre 11.500 et 12.00 par an, les réceptions et les mariages organisés sur place », soit des recettes de l’ordre de 100.000 euros qui permettent de régler les impôts, les salaires, dès qu’une dépense imprévue survient, elle grève immédiatement le budget. Et dans le cas de la toiture, la note s’élève à… 120.000 euros, avec notamment le recours à une nacelle et le démontage d’une partie du mur d’enceinte pour la faire passer. A terme, un portail devra y être installé.

Comment en est-on arrivé là ?

La situation a empiré de jour en jour depuis… vingt ans, alors que les derniers travaux effectués sur la toiture remonte à 1967 avec la restauration de la couverture de l’aile gauche. Pour l’aile droite, il faut remonter à 1940 et à 1937 pour le vieux château (la partie centrale). Un premier devis avait en effet été réalisé en 1998 et se chiffrait à 6.000 euros pour quelques fuites dans le grand salon. « Il s’agissait juste d’une reprise. Mais ma mère n’avait pas très envie d’entreprendre ses travaux alors on a attendu. »
Les fuites se multipliant, un nouveau devis est réévalué en 2004, puis en 2007. « Mais avec le décès de ma mère en 2008, on n’a rien fait. Et puis ici, dès qu’on tourne la tête on voit autre chose à faire et on oublie. On a laissé traîner les choses… », reconnaît le châtelain, qui vit à Périgueux et ne dort que très occasionnellement dans le château. Comme ses aïeux d’ailleurs : les derniers habitants ont quitté les lieux en 1964. Un état de fait qui a sûrement contribué à la détérioration de l’état des lieux.
« La problématique de Jumilhac, finalement, c’est que lorsqu’ils ont racheté le château, qui appartenait jusque-là à deux habitants et qui hébergeait plusieurs activités de la commune _ les jardins à la française étaient même devenus un champ de blé, un verger et un potager, ndlr _, ils songeaient à le laisser en héritage à leur fils aîné, Antoine. Mais il a disparu pendant la « drôle de guerre » en 1940, ma grand-mère ne s’en est d’ailleurs jamais remise. Ma mère et ma tante avaient leurs vies loin de Jumilhac. L’espoir de voir leur descendance reprendre le domaine disparaissait à jamais. »

L’engagement d’un homme, dans la lignée de sa mère

C’est la mère d’Henry de la Tour du Pin, dont le premier souvenir au château remonte à ses 13 ans et une semaine passée avec son frère à déblayer un petit escalier dans une tourelle,  qui va pourtant donner un nouvel élan à Jumilhac. « En 1964, ma mère a eu l’idée d’ouvrir le château aux visites. » Classé aux Monuments historiques en trois temps (1922, 1923, 1924) autant pour l’extérieur que l’intérieur, il attire rapidement les curieux. Et Henry, qui se destinait à une carrière de vétérinaire avant de se réorienter vers l’informatique, s’est peu peu glissé dans son sillage.
« Rien ne me prédestinait à m’orienter vers le patrimoine, je n’y étais pas préparé. Ça s’est fait naturellement. En 1983, ma mère s’est cassé le col du fémur, on a retardé l’ouverture du château d’avril à juillet et j’ai commencé à l’aider de plus en plus pour les visites. J’y ai mis une rognure d’ongle et je me suis retrouvé absorbé par le château ! » s’amuse-t-il. Dès la fin des années 90, il prend en charge la comptabilité. En 2000, il relance les jardins à la française, puis il fait créer une partie réceptive dans l’aile gauche.

Un engouement populaire et international

C’est aussi lui qui découvre, au début des années 2000, la symbolique alchimique que l’on retrouve un peu partout dans le château, et tout particulièrement sur la fameuse toiture. Car les dix épis de faîtage, qui ont également besoin d’un petit ripolinage, ne figurent pas n’importe quoi… « Il y a surtout des détails pas clairs pour ne pas dire absurdes. Mais il s’agit en fait d’un résumé entier de la quête de la Pierre philosophale ! Cette découverte donne un autre intérêt au château, c’est l’histoire dans l’histoire. »
Une part d’ésotérisme mise en avant lors des visites guidées qui intrigue et séduit… et cela se retrouve dans l’engouement suscité pour la cagnotte lancée à 5.000, puis 10.000 euros sur dartagnans.fr : au bout de quinze jours, 4.000 euros ont été récoltés. Deux semaines plus tard, la somme a doublé. Et elle dépasse désormais allègrement les 10.000 euros espérés alors qu’il reste encore quelques jours jusqu’au 31 décembre 2019 sa clôture officielle.
Une somme qui ne représente certes que 10 % du budget global. Elle représente par exemple la seule restauration de la faîtière qui représente la Justice. « Mais cela permet de donner l’élan. […] C’est un château qui frappe, c’est sûr. Tous les dons viennent de particuliers, beaucoup de locaux , du village ou de la Dordogne, mais aussi de beaucoup plus loin car les dons viennent de sept pays différents. Jumilhac a une aura certaine. » Difficile de le contredire. »

lundi 7 octobre 2019

Naples par Jean-Noël Schifano

Nous venons de l'écouter dans l'émission La marche de l'histoire d'aujourd'hui.

https://www.franceinter.fr/emissions/la-marche-de-l-histoire/la-marche-de-l-histoire-07-octobre-2019

 

Il nous a appris comment le nord de l'Italie a produit le recul du sud. Garibaldi un sanguinaire, etc.

"Colonisation du sud très riche par le nord très pauvre" 

" Les migrants vers l'Amérique venaient du nord "

Naples ! quelle ville ! ses quartiers, son sous-sol, ses gens, ses églises en décomposition, ses croyances, etc.



  • Dictionnaire amoureux de Naples (Plon, 2007)
  • Sous le soleil de Naples (Gallimard poche, 2004)
  • Everybody is a star. Suite napolitaine (Gallimard, 2003)
  • L’éducation anatomique (Gallimard, 2001)
  • Désir d’Italie (Gallimard, 1996)
  • Les rendez-vous de Fausta (Gallimard, 1989)
  • La danse des ardents (Gallimard, 1986)
  • Chroniques napolitaines (Gallimard, 1984)
  • Naples (Seuil, 1981)


"
Argumentaire de Dictionnaire amoureux de Naples :
La Naples de son Dictionnaire amoureux est la Naples qu’il a vue et vécue au quotidien, de l’intérieur, au fil d’années douces, voluptueuses et violentes traversées par les tremblements de terre et les guerres de clans camorristes ; il dénonce ici, sans détours, les clichés, les préjugés et les contrevérités ou « trucages » historiques les plus tenaces. Mais, surtout, et à partir de son expérience intime, sensuelle et culturelle, il célèbre le « génie » de la vie napolitaine, d’une « civilisation » unique en Europe ; son rapport à Naples passe d’abord par une gourmandise insatiable pour tous les dons qui croulent, nourritures, beautés, merveilles et bizarreries apparentes, de cette immense corne d’abondance qu’est l’ex-capitale du Royaume des Deux Siciles – toujours ville capitale. Ouvrez n’importe quelle entrée du Dictionnaire : elle vous décrit une débauche de couleurs, de cris, de saveurs, d’intelligences et vous êtes à Naples. Dans une Naples baroque, de ce « baroque existentiel » qui se retrouve et circule partout, de la sfogliatella, « blond coquillage chaud » dégusté le matin à deux pas des hypogées où le culte des morts donne tout son poids à la vie, aux volutes d’or des monastères et aux voix du San Carlo - premier théâtre lyrique du monde.
Face à une ville aux racines trimillénaires, l’auteur se mue en historien, de la plus scrupuleuse précision, lorsqu’il évoque en traits fulgurants, comme dans le feu de l’action, les destinées individuelles nouées et souvent tragiquement accomplies sous le soleil de Naples : Spartacus, Néron, Masaniello, Joachim Murat ; mais aussi les destinées collectives moins connues et qui passent par la rivalité – jamais dite ou édulcorée – entre Rome et Naples, et le prix payé par Naples à l’Italie au nom d’un Garibaldi et de l’Unité d’un Pays qui se cherche depuis cent trente ans..."

Ecoutez cet interview qui est passé sur Radio Classique


et en italien, la femme italienne


dimanche 6 octobre 2019

Pour les cantines, plus d'assiette mais des trous dans les tables en porcelaine

Un Arédien vient de faire l'invention du siècle (mais il en fera d'autres !)
La table en porcelaine avec un creux pour chaque convive. Plus d'assiette.

Car c'est bien beau de revenir au couverts en porcelaine. On oublie les cantinières. Ca pèse lourd la porcelaine. C'est d'ailleurs pour cela qu'on nous avait expliqué que le plastique c'était fantastique. Ce ne l'est plus.

Et banc en porcelaine. On a essayé au musée des Casseaux. C'est confortable. Ils sont bien faits. Et c'est hygiénique. Et les enfants ne risquent pas s'envoyer des assiettes à la figure. La porcelaine cassée c'est coupant. Anticonstitutionnel !

Limoges four des Casseaux 8

Le Platusseur reconnaît que notre Arédien s'est peut-être inspiré des tables bretonnes du siècle dernier.

Le Platusseur a bien voulu nous autoriser à reproduire son article

Le Platusseur vous apprend où J. Chirac a eu l'idée de " Cela m'en touche une sans faire bouger l'autre "











A l'Ehpad, elle comptait les voitures rouges qui passaient sous sa fenêtre, elle a écouté Greta, depuis, elle compte les vélos

Le Platusseur peut vous certifier que cette information est exacte. La dame qui à 98 ans a fait du vélo jusqu'à 80 ans. Elle allait faire ses courses au marché, au Leclerc.

Elle trouve que Greta pousse mémé dans les orties. Et tout le monde applaudit Greta !

On sait maintenant pourquoi J. Chirac avait choisi la pomme !

Le Platusseur nous permet de reproduire ses articles. https://wordpress.com/post/leplatusseur.wordpress.com/3013


Le Platusseur a beaucoup fréquenté la Corrèze et les cafés fréquentés par J. Chirac.
J. Chirac avait fait ses confidences à notre journaliste. Et notre collaborateur a tenu sa promesse. Ne pas révéler l'origine de ce choix de la pomme avant la mort de Jacques au cas où il serait élu.
On connaît l'histoire.

Chirac était reconnaissant à Pompidou de l'avoir mis sur le chemin de l'Elysée. Et Chirac aimait bien


Le Platusseur sera dorénavant cité dans les livres d'histoire. On n'en est pas peu fiers à la rédaction.

mardi 1 octobre 2019

Tour de Bretagne, Jour 3, Port-Blanc, Guingamp


Port-Blanc
 

"Shakespeare a évoqué Port-Blanc dans sa pièce Richard II ; il a écrit : « Port-le-Blanc, a bay in Brittany ! »."

La commune compte de nombreux sites pittoresques, comme la chapelle Notre-Dame de Port-Blanc 3 qui date du XVIe siècle, avec les vestiges de sa tour de garde du XIIe siècle et le manoir de Kerpeulven 4, inscrit au titre des Monuments historiques. Plusieurs mégalithes sont également visibles, parmi lesquelles les menhirs de Kerbelven et le menhir de Kervéniou et les sépultures néolithiques de Roch-Las-en-Port-Blanc.
Sur le littoral de Port-Blanc, on trouve de nombreux îlots et ses paysages sauvages, comme l'île des Femmes, l'île du Château-Neuf et l'île Saint-Gildas. Un sentier des Douaniers rejoint Port-Blanc à Buguélès, et permet de découvrir la côte des Ajoncs et de suivre de petits circuits balisés qui mènent aux différents calvaires et chapelles.

Personnages célèbres
Parmi les personnages célèbres à l'histoire entremêlée au Port-Blanc, on trouve notamment Anatole Le Braz dont l'ouvrage célèbre La légende de la mort en Basse-Bretagne évoque à plusieurs reprises le Port-Blanc et ses alentours. Il reçut vraisemblablement dans sa demeure au Port-Blanc Ernest Renan, auteur en 1882 de la célèbre conférence à la Sorbonne « Qu'est-ce qu'une Nation ? ». Theodore Botrel habita également le Port-Blanc.






















Guingamp 














Tour de Bretagne, Jour 3, Ile Grande, côte de granit rose

Notre logement à Pleumeur-Bodou






Trégastel 







































Ile Grande 

Bé didon ! vous avez vu ce qu'on peut pêcher à pied dans le coin !
 On en Rugy de plaisir !






Le sommet de l'Ile Grande, bruyère
 








Landrelec


On voit l'Ile Grande
































Ploumanac'h

Le moulin à marée








































Perros-Guirec












 
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